L'Énéide, Volume 2Michaud Frères, 1813 |
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... dieux paternels arrosés de son sang , >> Cet étranger lui seul , dans mon ame constante , » Ébranla , j'en conviens , ma vertu chancelante , » Lui seul , apprivoisant ma farouche pudeur , >> M'a fait ressouvenir de ma première ardeur ...
... dieux paternels arrosés de son sang , >> Cet étranger lui seul , dans mon ame constante , » Ébranla , j'en conviens , ma vertu chancelante , » Lui seul , apprivoisant ma farouche pudeur , >> M'a fait ressouvenir de ma première ardeur ...
Page 11
... Dieux ! combien cet hymen vous promet de grandeur ! » Qu'llion de Carthage accroîtra la splendeur ! » Voyez vos murs peuplés , vos villes florissantes , >> Et la mer se courbant sous vos flottes puissantes . >> Vous , seulement des dieux ...
... Dieux ! combien cet hymen vous promet de grandeur ! » Qu'llion de Carthage accroîtra la splendeur ! » Voyez vos murs peuplés , vos villes florissantes , >> Et la mer se courbant sous vos flottes puissantes . >> Vous , seulement des dieux ...
Page 17
... dieux est - il rien qu'on refuse ? » J'y consens , dit Vénus souriant de la ruse . » L'Aurore enfin se lève et sort du sein des flots . Aussitôt , arrachée aux douceurs du repos , De jeunes Tyriens une brillante élite En foule hors des ...
... dieux est - il rien qu'on refuse ? » J'y consens , dit Vénus souriant de la ruse . » L'Aurore enfin se lève et sort du sein des flots . Aussitôt , arrachée aux douceurs du repos , De jeunes Tyriens une brillante élite En foule hors des ...
Page 19
... dieux A charmé tous les coeurs , et fixé tous les yeux . Mais déjà l'on s'éloigne , on brave avec audace Et des monts escarpés , et des routes sans trace . Des taillis ténébreux , des antres enfoncés , Les peureux habitants en foule ...
... dieux A charmé tous les coeurs , et fixé tous les yeux . Mais déjà l'on s'éloigne , on brave avec audace Et des monts escarpés , et des routes sans trace . Des taillis ténébreux , des antres enfoncés , Les peureux habitants en foule ...
Page 23
... dieux , Sur cent autels de marbre il lui portait ses vœux . Là , de nombreux taureaux , couronnés de guirlandes , Chaque jour sous le fer expiraient en offrandes ; Là , cent lampes brûlaient autour de ses autels , Et , veillant en l ...
... dieux , Sur cent autels de marbre il lui portait ses vœux . Là , de nombreux taureaux , couronnés de guirlandes , Chaque jour sous le fer expiraient en offrandes ; Là , cent lampes brûlaient autour de ses autels , Et , veillant en l ...
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Common terms and phrases
Aceste Æneas æquora æther affreux agmina amante amor amour Anchise antè arma armis arva Ascagne atque brillante Carthage ciel cieux cœlum cœur conjux corpore cùm d'Aceste d'Anchise Darès Denys d'Halicarnasse destin dictis Dido Didon dieu dieux divine Eneas Énée enfers Eryx Eurytion fata feux fils flamme flots flotte fureur genus gloire guerrier hæc Haud héros Homère Hunc ille imité Infelix ingens inter ipse Jamque Junon Jupiter l'amour L'ÉNÉIDE l'onde lieux littora livre magni main malheureux mihi Misène Mnesthée mort Multa Nisus nuit nunc ombres omnes omnia Palinure pectore pelago Pergame peuple Phlégéthon pleurs poète prêtresse primùm procul puppes quæ Quam Quid Quis Quò quondam quos reine rivage rivaux sese seul Sibylle Sicile soror sort super talia tandem temple terrâ terre Teucri tibi triste Troie Troyens Tuque umbras urbem urbes vaisseaux Vénus verò Virgile viri voix vole yeux
Popular passages
Page 265 - vers de Virgile, en faisant dire à Mentor : « L'âme » universelle du monde est comme un grand océan » de Lumière : nos esprits sont comme de petits ruis» seaux qui en sortent et qui y retournent pour s'y
Page 82 - Malheureuse ! voilà comme tu m'as perdue ! Au jour que je fuyais c'est toi qui m'as rendue. Tes prières m'ont fait oublier mon devoir : J'évitais Hippolyte , et tu me l'as fait voir.
Page 81 - de m'égayer , m'attristait. Peu à peu je sentis • augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un » ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de
Page 185 - II n'est que trop aisé de descendre aux enfers, » Les palais de Pluton nuit et jour sont ouverts ; » Mais rentrer dans la vie et revoir la lumière » Est un bonheur bien rare, un vœu bien téméraire. » Le destin n'accorda ce privilège heureux » Qu'à peu de favoris issus du sang des dieux.
Page 117 - de qui le bras, sous les murs d'Ilion, Près du tombeau d'Hector, par un combat célèbre Honorant ce héros et sa pompe funèbre, De l'énorme Butés, ce Bébryce orgueilleux, Qui comptait Amycus au rang de ses aïeux, Terrassa la fureur, et de sa main puissante Coucha son front altier sur la poudre sanglante. Il se
Page 37 - sien. De ces mers où le jour va plonger sa lumière , Des bornes de l'Afrique où sur sa tête altière L'infatigable Atlas porte le poids des cieux , Une antique prêtresse est venue en ces lieux : Consacrée aux autels des jeunes Hespérides, C'est elle qui jadis contre des mains avides
Page 195 - amers, Et des Remords rongeurs l'escorte vengeresse ; , La pâle Maladie, et la triste Vieillesse; L'Indigence en lambeaux , l'inflexible Trépas, Et le Sommeil son frère, et le Dieu des combats; Le Travail qui gémit, la Terreur qui frissonne, Et la Faim qui frémit des conseils qu'elle donne; Et l'Ivresse du crime, et les Filles d'enfer
Page 49 - que du glaive cruel Ses suivantes ont vu partir le coup mortel, Ont vu sur le bûcher la reine défaillante, Dans ses sanglantes mains l'épée encor fumante. La funeste nouvelle est semée en tous lieux , Les dômes du
Page 47 - En tribut à ta reine offre un sang qu'elle abhorre : » C'est ainsi que mon ombre exige qu'on l'honore. )> Sors de ma cendre , sors, prends la flamme
Page 37 - De ma ruine , hélas ! le complice fatal. » Pour chasser de mon cœur un amour trop funeste , » II nous faut de l'ingrat détruire ce qui reste. » Elle dit, et pâlit. Mais cependant sa sœur Ne peut de son projet soupçonner la fureur. Elle n'augure pas de sa douleur cachée Un désespoir plus grand qu'à la mort de Sichée, Et dresse innocemment