Historie De France1859 |
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alliés anglais anglo-batave août armée attaquer avaient Bade Barcelone bataille Bavière Berwick Bossuet Boufflers C'était Camisards camp campagne canons Catalogne catholiques Catinat cavalerie cent Chamillart Charles Colbert Cologne commandant commerce conseil corps côté dauphin défense devant Dieu duc de Bourgogne duc de Savoie ennemis escadre espagnole états États-Généraux Eugène eût Fénelon Flandre flotte forces française Freybourg garnison général gouvernement guerre Guillaume Hollande Impériaux Jacques juillet juin jusqu'à l'Angleterre l'armée l'Autriche l'électeur de Bavière l'empereur l'Empire l'ennemi l'escadre l'Escaut l'Espagne l'infanterie laissa Landau Leibniz Léopold Louis XIV Louvois Luxembourg madame de Maintenon madame Guyon maréchal marine maritimes Marlborough Mém ment mille hommes mille soldats millions ministre monarchie n'avait n'était Namur négociations Noailles paix pape passa Pays-Bas peuple Philippe Piémont politique presque prince protestants Quinci religion rentes reste Rhin Ryswick s'était Saint-Simon secours Seignelai septembre seulement siége Spinoza succès tion Tourville traité troupes vaisseaux Vauban Vendôme Versailles Villars Villeroi whigs
Popular passages
Page 193 - Comme je cherche de lui faire connaître par les plus fortes preuves que j'en puis donner, je suis bien aise aussi de faire savoir à Votre Sainteté que j'ai donné les ordres nécessaires pour que les choses contenues dans mon édit du 22...
Page 54 - Touchés de tant de merveilles, épanchons nos cœurs sur la piété de Louis; poussons jusqu'au ciel nos acclamations et disons à ce nouveau Constantin, à ce nouveau Théodose, à ce nouveau Marcien, à ce nouveau Charlemagne, ce que les six cent trente pères dirent autrefois dans le concile de Chalcédoine : Vous avez affermi la foi, vous avez exterminé les hérétiques : c'est le digne ouvrage de votre règne, c'en est le propre caractère.
Page 187 - Vous êtes né, Sire, avec un cœur droit et équitable ; mais ceux qui vous ont élevé ne vous ont donné pour science de gouverner que la défiance, la jalousie, l'éloignement de la vertu, la crainte de tout mérite éclatant, le goût des hommes souples et rampants, la hauteur et l'attention à votre seul intérêt.
Page 613 - Tâchez de conserver la paix avec vos voisins. » J'ai trop aimé la guerre. Ne m'imitez pas en cela, non plus que dans les trop grandes dépenses que j'ai faites.
Page 188 - Paris même, si près de vous, n'en est pas exempt. Les magistrats sont contraints de tolérer l'insolence des mutins, et de faire couler sous main quelque monnaie pour les apaiser ; ainsi on paie ceux qu'il faudrait punir.
Page 613 - Tellier avait dit au roi qu'il y avait dans ce livre plus de cent propositions censurables ; il n'a pas voulu passer pour menteur, et on m'a tenu le pied sur la gorge pour en mettre plus de cent, pour montrer qu'il avait dit vrai, et je n'en ai mis qu'une de plus. Voyez, voyez, monsieur Amelot, comment j'aurais pu faire autrement.
Page 49 - Sa Majesté veut qu'on fasse éprouver les dernières rigueurs à ceux qui ne voudront pas se faire de sa religion ; et ceux qui auront la sotte gloire de vouloir demeurer les derniers, doivent être poussés jusqu'à la dernière extrémité.
Page 554 - Le roi, dans la pratique, est plus chef de l'Église., que le pape , en France : libertés à l'égard du pape , servitude vers le roi.
Page 308 - Un peuple n'est pas moins un membre du genre humain, qui est la société générale, qu'une famille est un membre d'une nation particulière. Chacun doit infiniment plus au genre humain, qui est la grande patrie, qu'à la patrie particulière dans laquelle il est né...
Page 47 - Nous voyons présentement avec la juste reconnaissance que nous devons à Dieu, que nos soins ont eu la fin que nous nous sommes proposée, puisque la meilleure et la plus grande partie de nos sujets de ladite RPR ont embrassé la catholique...