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politique, il maniait avec adresse les lois faites contre l'adultère, 91. Abus énorme qu'il commit dans la distribution des honneurs et des dignités, 98. Attacha aux écrits la peine du crime de lèse-majesté 167. Raffinement de cruauté de ce tyran, ibid. Par une loi sage il fit que les choses qui représentaient la monnaie devinrent la monnaie même, 326. Ajouta à la loi Pappienne, 598.

".

TIMUR. S'il eût été Chrétien, il n'eût
pas été si cruel, 379.
TITE-LIVE. Erreur de cet historien, 91.
Toison d'or. Origine de cette fable, 286.
Tolérance. L'auteur n'en parle que
comme politique, et non comme
théologien, 400. Les théologiens
même distinguent entre tolérer une
religion et l'approuver, ibid. Quand
elle est accompagnée de vertus mo-
rales, elle forme le caractère le plus
sociable, ibid. Quand plusieurs re-
ligions sont tolérées dans un état,
on les doit obliger à se tolérer entre
elles, ibid. On doit tolérer les reli-
gions qui sont établies dans un état,
et empêcher les autres de s'y établir.
Dans cette règle n'est point com-
prise la religion chrétienne, qui est
le premier bien, 401. Ce que l'au-
teur a dit sur cette matière est-il un
avis au roi de la Cochinchine pour
fermer la porte de ses états à la re-
ligion chrétienne? 617.

Tonquin. Toutes les magistratures y
sont occupées par des eunuques,
216. C'est le physique du climat qui
fait que les pères y vendent leurs
filles, et y exposent leurs enfans, 361.
Toulouse. Ce comté devint-il hérédi-

taire sous Charles-Martel? 586. Tournois. Donnèrent une grande importance à la galanterie, 461. TRAJAN. Refusa de donner des rescrits pourquoi, 506. Traitans. Leur portrait, 153. Comment regardés autrefois en France; danger qu'il y a de leur donner trop de crédit, ibid. et suiv. Leur injustice détermina Publius Rutilius à quitter Rome, ibid. et suiv. On ne doit jamais leur confier les jugemens, ibid. Les impôts qui donnent occasion au peuple de frauder enrichissent les traitans, ruinent le peuple, et perdent l'état, 153. Tout est perdu lorsque leur profession, qui ne doit être que lucrative, vient à être honorée, 189. Les richesses doivent être leur unique récomrense, ibid.

Traités. Ceux que les princes font par

force sont aussi obligatoires que Traitres. Comment étaient punis chea ceux qu'ils font de bon gré, in les Germains, 530. Tranquillité des citoyens. Comment les crimes qui la troublent doivent être punis, 159 et suiv. Transmigration. Causes et effets de celles de différens peuples, 235. Transpiration. Son abondance dans les pays chauds y rend l'eau d'un usage admirable, 196.

Travail. On peut, par de bonnes lois, faire faire les travaux les plus rudes à des hommes libres, et les rendre heureux, 207. Les pays qui, par leurs productions, fournissent du travail à un plus grand nombre d'hommes, sont plus peuplés que les autres, 359. Est le moyen qu'un état bien policé emploie pour le soulagement des pauvres, 375. Trésors. Il n'y a jamais, dans une monarchie, que le prince qui puisse en avoir un 280. En les offrant à Dieu, nous prouvons que nous estimons les richesses, qu'il veut que nous méprisions, 399. Pourquoi, sous les rois de la première race, celui du roi était regardé comme nécessaire à la monarchie, 510. Tribunal domestique. De qui il était composé à Rome. Quelles matières, quelles personnes étaient de sa compétence, et quelles peines il infligeait, 88. Quand et pourquoi il fut aboli, 89.

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Tribunaux. Cas où l'on doit être obligé d'y recourir daus les monarchies, 61. Ceux de judicature doivent être composés de beaucoup de personnes pourquoi, 68. Sur quoi est fondée la contradiction qui se trouve entre les conseils des princes et les tribunaux ordinaires, ibid. Quoiqu'ils ne soient pas fixes dans un état libre, les jugemens doivent l'être, 131.

Tribunaux humains. Ne doivent pas se régler par les maximes des tribunaux qui regardent l'autre vie, 414. Tribuns des légions. En quels temps et par qui furent réglés, 149. Tribuns du peuple. Nécessaires dans une aristocratie, 44 et suiv. Lear établissement fut le salut de la république romaine, 47 et suiv. Occasion de leur établissement, 172. Tribus. Ce que c'était à Rome, et à qui elles donnèrent le plus d'autorité. Quand commencèrent à avoir lieu, 145 et suiv., 147.

Tributs. Par qui doivent être levés, dans une aristocratie, 43. Doivent être levés, dans une monarchie, de façon que le peuple ne soit point foulé de l'exécution, 46. Comment se levaient à Rome, 155. Rapports de leur levée avec la liberté, 178. Sur quoi et pour quels usages doivent être levés, ibid. Leur grandeur n'est pas bonne par elle-même, ibid. Pourquoi un petit état, qui ne paie point de tributs, enclavé dans un grand qui en paie beaucoup, est plus misérable que le grand. Fausse conséquence que l'on a tirée de ce fait, ibid. Quels tributs doivent payer les peuples esclaves de la glèbe, 179. Quels doivent être levés dans un pays où tous les particuliers sont citoyens, 180 et suiv. Leur grandeur dépend de la nature du gouvernement, 183. Leur rapport avec la liberté, 184. Dans quels cas sont susceptibles d'augmentation, 185. Leur nature est relative au gouvernement, ibid. Quand on abuse de la liberté pour les rendre excessifs, elle dégénère en servitude, et on est obligé de diminuer les tributs, ibid. et suiv. Leur rigueur en Europe n'a d'autre cause que la petitesse des vues des ministres, 186. Causes de leur augmentation perpétuelle en Europe, ibid., 187 et suiv. Les tributs excessifs que levaient les empereurs donnèrent lieu à cette étrange facilité que trouvèrent les Mahométans dans leurs conquêtes, 186 et suiv. Quand on est forcé de les remettre à une partie du peuple, la remise doit être absolue, et ne pas être rejetée sur le reste du peuple. L'usage contraire ruine le roi et l'état, 187 et suiv. La redevance solidaire des tributs entre les différens sujets du prince est injuste et pernicieuse à l'état, ibid. Ceux qui ne sont qu'accidentels, et qui ne dépendent pas de l'industrie, sont une mauvaise sorte de richesse, 324. Les Francs n'en payaient aucun dans les commencemens de la monarchie. Traits d'histoire et passages qui le prouvent, 517. Les hommes libres, dans les commencemens de la monarchie francaise, tant Romains que Gaulois, pour tout tribut, étaient chargés d'aller à la guerre à leurs dépens. Proportions dans lesquelles ils supportaient ces charges, 519 et suiv. Voyez Impóts, Taxes,

Tributum. Ce que signifie ce mot dans les lois barbares, 522. Triumvirs. Leur adresse à couvrir leur cruauté sous des sophismes, 170. Réussirent, parce que, quoiqu'ils eussent l'autorité royale, ils n'en avaient pas le faste, 254. Troupes. Leur augmentation en Europe est une maladie qui mine les états, 187. Est-il avantageux d'en avoir sur pied en temps de paix comme en temps de guerre? ibid. Pourquoi les Grecs et les Romains n'estimaient pas beaucoup celles de mer, 310. Troyes. Le synode qui s'y tint en 878 prouve que la loi des Romains et celle des Wisigoths existaient concurremment dans le pays des Wisigoths, 442.

:

Truste. Voyez In truste. Turcs. Cause du despotisme affreux qui règne chez eux, 130. N'ont aucune précaution contre la peste:pourquoi, 198. Le temps qu'ils prennent pour attaquer les Abyssins prouve qu'on ne doit point décider par les principes de la religion ce qui est du ressort des lois naturelles, 411. La première victoire, dans une guerre civile, est pour eux un jugement de Dieu qui décide, 452. Turquie. Comment les successions y sont réglées inconvéniens de cet ordre, 51. Comment le prince s'y assure la couronne, 52. Le despotisme en a banni les formalités de justice, 62 et suiv. La justice y est-elle mieux rendue qu'ailleurs? ibid. Droits qu'on y lève pour les entrées des marchandises, 183. Les marchands n'y peuvent pas faire de grosses avances, 185 et suiv. Tutelle. Quand a commencé en France à être distinguée de la baillie ou garde, 250. La jurisprudence romaine changea sur cette matière à mesure que les mœurs changerent, 265. Les mœurs de la nation doivent déterminer les législateurs à préférer la mère au plus proche parent, ou le plus proche parent à la mère, ibid.

Tuteurs. Etaient les maîtres d'accepter ou de refuser le combat judiciaire pour les affaires de leurs pupilles, 464.

Tyr. Nature de son commerce, 276, 278. Dut son commerce à la violence et à la vexation, 278. Ses colonies, ses établissemens sur les côtes de l'Océan, 291. Etait rivale de toute nation commerçante, 299.

Tyrannie. Les Romains se sont défaits de leurs tyrans sans pouvoir secouer le joug de la tyrannie, 17. Ce que l'auteur entend par ce mot: routes par lesquelles elle parvient à ses fins, 200. Combien il y en a de sortes, 254.

Tyrans. Comment s'élèvent sur les

ruines d'une république : 95. Sévérité avec laquelle les Grecs les punissaient, 167.

Tyriens. Avantages qu'ils tiraient pour leur commerce de l'imperfection de la navigation des anciens, 291. Nature et étendue de leur commerce, ibid.

V-U

Vaisseau. Voyez Navires. VALENTINIEN. Appela les petits-enfans à la succession de leur aïeul maternel, 435. La conduite d'Arbogaste envers cet empereur est un exem

ple du génie de la nation francaise par rapport aux maires du palais, 557. VALETTE (le duc DE LA ). Condamné

par Louis XIII en personne, 66. Valeur réciproque de l'argent, et des choses qu'il signifie, 326. L'argent en a deux, l'une positive, et l'autre relative manière de fixer la relative, 331 et suiv.

Valeur d'un homme en Angleterre, 362.

VALOIS (M. DE). Erreur de cet auteur sur la noblesse des Francs, 548. VAMBA. Son histoire prouve que la loi romaine avait plus d'autorité dans la Gaule méridionale que la loi gothe, 444.

Vanité. Augmente à proportion du nombre des hommes qui vivent ensemble, 81. Est très-utile dans une nation, 256. Les biens qu'elle fait, comparés avec les maux que cause l'orgueil, ibid.

VARUS. Pourquoi son tribunal parut insupportable aux Germains, 253. Vassaux. Leur devoir était de combattre et de juger, 469. Pourquoi n'avaient pas toujours dans leurs justices la même jurisprudence que dans les justices royales, ou même dans celles de leurs seigneurs suzerains, 475. Les chartres des vassaux de la couronne sont une des sources de nos coutumes de France, 492. Il y en avait che, les Germains, quoiqu'il n'y eût point de fief: comment cela 509. Diffe ens noms sous lesquels ils sont désignés dans les anciens monumens, 525. Leur origine, ibid. N'étaient pas comptés au nombre des hommes libres dans les commencemens de la monarchie, ibid. et suiv. Menaient autrefois les arrière-vassaux à la guerre, ibid. On en distinguait de trois sortes : par qui ils étaient menés à la guerre,

526. Ceux du roi étaient soumis à la correction du comte, 528. Etaient obligés, dans les commencemens de la monarchie, à un double service; et c'est dans ce double service que l'auteur trouve l'origine des justices seigneuriales, ibid. et suiv. Pourquoi ceux des évêques et des abbés étaient menés à la guerre par le comte, ibid. Les prérogatives de ceux du roi ont fait changer presque tous les alleux en fief: quelles étaient ces prérogatives, 561 et suiv. Quand ceux qui tenaient immédiatement du roi commencèrent à tenir médiatement, 586.

Vasselage. Son origine, 508 et suiv. Vénalité des charges. Est-elle utile ? 59.

Vengeance. Était punie chez les Germains, quand celui qui l'exercait avait reçu la composition, 532 et suiv.

Venise. Comment maintient son aristocratie contre les nobles, 11. Utilité de ses inquisiteurs d'état, 12. En quoi ils diffèrent des dictateurs romains, ibid. Sagesse d'un jugement qui y fut rendu entre un noble vénitien et un simple gentilhomme, 42. Le commerce y est défendu aux nobles, 44. Il n'y a que les courtisanes qui puissent y tirer de l'argent des nobles, 83. On y a connu et corrigé par les lois les inconvéniens d'une aristocratie héréditaire, 97. n. Pourquoi il y a des inquisiteurs d'état: différens tribunaux dans cette répablique, 132. Pourrait plus aisément être subjuguée par ses propres troupes que la Hollande, 138. Quel était son commerce, 276. Dut son commerce à la violence et à la vexation, 278. Pourquoi les vaisseaux n'y sont pas si bons qu'ailleurs, 293: Son commerce fut ruiné parla deconverte du cap de Bonne-Espérance, 318. Loi de cette république contraire à la nature des choses, 425. Vents alisés. Etaient une espèce de boussole pour les anciens,302. Vérité. Dans quel sens on en fait cas

dans une monarchie, 25. C'est par la persuasion, et non par les supplices, qu'on la doit faire recevoir, 403.

VERRES. Blâmé par Cicéron de ce qu'il avait suivi l'esprit plutôt que la lettre de la loi Voconienne, 431. Vertu. Ce que l'auteur entend par ce mot, 19, 28 et suiv. Est nécessaire dans un état populaire : elle en est le principe, 16. Est moins nécessaire dans une monarchie que dans une république, 17. Exemples célèbres qui prouvent que la démocratie ne peut ni s'établir ni se maintenir sans vertu, l'Angleterre et Rome, ibid. On perdit la liberté à Rome en perdant la vertu, ibid. Etait la seule force pour soutenir un état que les législateurs grecs connussent, ibid. Effets que produit son absence dans une république, ibid. Abandonnée par les Carthaginois, entraîna leur chute, 18. Est moins nécessaire dans une aristocratie pour le peuple que dans une démocratie, ibid. et suiv. Est nécessaire dans une aristocratie pour maintenir les nobles qui gouvernent, ibid. N'est point le principe du gouvernement monarchique, 19. Les vertus héroïques des anciens, inconnues parmi nous, inutiles dans une monarchie, ibid. Peut se trouver dans une monarchie, mais elle n'en est pas le ressort, 20. Comment on y supplée dans le gouvernement monarchique, ibid. et suiv. N'est point nécessaire dans un état despotique, 22. Quelles sont les vertus en usage dans une monarchie, 25. L'amour de soi-même est la base des vertus en usage dans une monarchie, ibid. Les vertus ne sont, dans une monarchie, que ce que l'honneur veut qu'elles soient, 26. Il n'y en a aucune qui soit propre aux esclaves, et par conséquent aux sujets d'un despote, 28. Etait le principe de la plupart des gouvernemens anciens, ibid. Combien la pratique en est difficile, ibid. et suiv. Ce que c'est dans l'état politique, 34. Ce que c'est dans un gouvernement aristocratique, 42. Quelle est celle d'un citoyen dans une république, 57. Quand un peuple est vertueux, il faut peu de peines: exemples tirés des lois romaines, 70. Les femmes perdent tout en la perdant, 87. Elle se perd dans les républiques avec l'esprit d'égalité, ou par l'esprit d'égalité extrême, 93 et suiv. Ne se trouve qu'avec la liberté bien enten

due, 95. Réponse à une objection tirée de ce que l'auteur a dit, qu'il ne faut point de vertu dans une monarchie, 634.

Vestales. Pourquoi on leur avait accordé le droit d'enfans, 369. Vicaires. Etaient, dans les commencemens de la monarchie, des officiers militaires subordonnés aux comtes, 526.

Vices. Les vices politiques et les vices
moraux ne sont pas les mêmes : c'est
ce que doivent savoir les législateurs,
257 et suiv.
Victoire (la). Quel en est l'objet, 5.
C'est le christianisme qui empêche
qu'on n'en abuse, 379.

VICTOR AMÉDÉE, roi de Sardaigne.
Contradiction dans sa conduite, 58.
Vie. L'honneur défend
dans une

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monarchie, d'en faire aucun cas, 27. Vie future. Le bien de l'état exige qu'une religion qui n'en promet pas soit suppléée par des lois sévères et sévèrement exécutées, 385. Les religions qui ne l'admettent pas peuvent tirer de ce faux principe des conséquences admirables: ceux qui l'admettent en peuvent tirer des conséquences funestes, 388.

Vies des Saints. Si elles ne sont pas véridiques sur les miracles, elles fournissent le plus grands éclaircissemens sur l'origine des servitudes de la glèbe et des fiefs, 516. Les mensonges qui y sont peuvent apprendre les mœurs et les lois du temps, parce qu'ils sont relatifs à ces mœurs et à ces lois, 537. Vieillards. Combien il importe, dans une démocratie, que les jeunes gens leur soient subordonnés, 41. Leurs priviléges à Rome furent communiqués aux gens mariés qui avaient des enfans, 366. Comment un état bien policé pourvoit à leur subsistance, 376.

Vignes. Pourquoi furent arrachées dans les Gaules par Domitien, et replantées par Probus et Julien, 312. Vignobles. Sont beaucoup plus peuplés que les pâturages et les terres à blé: pourquoi, 359.

Vilains. Comment punis autrefois en France, 70. Comment se battaient, 459. Ne pouvaient fausser la cour de leur seigneur, ou appeler de ses jugemens. Quand commencèrent à avoir cette faculté, 476.

Villes. Leurs associations sont aujourd'hui moins nécessaires qu'autrefois, 108. Il y faut moins de fêtes qu'à la campagne, 390 et suiv,

Vin. C'est par raison de climat que Mahomet l'a défendu. A quel pays il convient, 196. VINDEX. Esclave qui découvrit la conjuration faite en faveur de Tarquin. Quel rôle il joua dans la procédure, et quelle fut sa récompense, 168. Viol. Quelle est la nature de ce crime, 159.

Violence. Est un moyen de rescision pour les particuliers; ce n'en est pas un pour les princes, 422 et suiv. VIRGINIE. Révolutions que causèrent

à Rome son déshonneur et sa mort, 146. Son malheur affermit la liberté de Rome, 172. Visir. Son établissement est une loi fondamentale dans un état despotique, 15.

ULPIEN. En quoi faisait consister le crime de lèse-majesté, 164. Uniformité des lois. Saisit quelquefois les grands génies, et frappe infailliblement les petits, 506 et suiv. Union. Nécessaire entre les familles nobles dans une aristocratie, 45. Vœux en religion. C'est s'éloigner des principes des lois civiles que de les regarder comme une juste cause de divorce, 413.

Vol. Comment puni en Chine quand

il est accompagné de l'assassinat, 77. Ne devrait pas être puni de mort: pourquoi il l'est, 159 et suiv. Comment était puni à Rome. Les lois sur cette matière n'avaient nul rapport avec les autres lois civiles, 500. Comment Clotaire et Childebert avaient imaginé de prévenir ce crime, 520. Celui qui avait été volé ne pouvait pas, du temps de nos pères, recevoir sa composition en secret, et sans l'ordonnance du juge, 534.

Vol manifeste. Voy. Voleur manifeste. Voleur. Est-il plus coupable que le recéleur? 499 et suiv. Il était permis à Rome de tuer ce lui qui se mettait en défense: correctif que la loi avait ap

WARNACHAIRE établit, sous Clotaire, la perpétuité et l'autorité des maires du palais, 551. Wisigoths. Singularité de leurs lois sur la pudeur: elles venaient du climat, 200. Les filles étaient capables chez eux de succéder aux terres et à la couronne, 247. Pourquoi leurs rois portaient une longue chevelure, 248. Motifs des lois de ceux d'Espagne au sujet des donations à cause

porté à une disposition qui pouvait avoir de si funestes conséquences, 502. Ses parens n'avaient point de composition quand il était tué dans le vol même, 533.

Voleur manifeste, et voleur non menifeste. Ce que c'était à Rome : cette distinction était pleine d'inconséquences, 500.

Volonté. La réunion des volontés de tous les habitans est nécessaire pour former un état civil, 5. Celle du souverain est le souverain luimême, 7. Cèlle d'un despote doit avoir un effet toujours infaillible, 23 et suiv.

Volsiniens. Loi abominable que le trop grand nombre d'esclaves les força d'adopter, 214.

Usages. Il y en a beaucoup dont l'origine vient du changement des ar mes, 460.

Usure. Est comme naturalisée dans les états despotiques pourquoi, 54. C'est dans l'Evangile, et non dans les rêveries des scolastiques, qu'il en faut puiser les règles, 316. Pourquoi le prix en diminua de moitié lors de la découverte de l'Amérique, 329. Il ne faut pas la confondre avec l'intérêt : elle s'introduit nécessairement dans les pays où il est défendu de prêter à intérêt, 345. Pourquoi l'usure maritime est plus forte que l'autre, ibid. Ce qui l'a introduite et comme naturalisée à Rome, 346. Son taux dans les différens temps de la république romaine: ravages qu'elle fit, ibid. et suiv. Sur quelle maxime elle fut réglée à Rome après la destruction de la république, 350. Justification de l'auteur par rapport à ses sentimens sur cette matière, 621.-par rapport à l'érudition, 623 et suiv. Usage des Romains sur cette matière, 626.

W

Usurpateurs. Ne peuvent réussir dans une république fédérative, 109.

de noces, 266. Loi de ces barbares qui détruisait le commerce, 315. Autre loi favorable au commerce, 316. Loi terrible de ces peuples touchant les femmes adultères, 422 Quand et pourquoi firent écrire leurs lois, 436. Pourquoi leurs lois perdirent de leur caractère, ibid. et suiv. Le clergé refondit leurs lois, et y introduisit les peines corporelles, qui furent toujours inconnues

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