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VARIANTES

DU LIVRE DIXIÈME.

PAGE 7, VERS 27.

" Et que peut un enfant relégué sur ces bords? Voilà donc quel succès couronne nos efforts!

PAGE II, VERS 1.

« Seul ne peut-il s'armer pour les champs de ses pères, Quand son rival ravit des terres étrangères?

PAGE 15, VERS I.

Puis des dieux de la terre, et des cieux, et de l'onde, La foule reconduit le monarque du monde.

PAGE 19, VERS 13.

Sa proue offre aux regards les linos de Cybėle.
Sur sa proue on voyoit les lions de Cybėle.

PAGE 21, VERS 28.

Chefs des Liguriens, nobles fils de Cycnus!

Leur camp est peu nombreux; mais la fidèle histoire De leur malheureux père a gardé la mémoire.

PAGE 23, VERS 15.

Et traînant après lui trente légers vaisseaux,
De sa longue carène il sillonne les eaux.

PAGE 33, VERS 27.

Lichas le suit; Lichas, heureux dans son enfance,
Lichas qui doit au fer la mort et la naissance :
Par le tranchant acier, au gré d'un art savant,
De sa mère expirante il fut tiré vivant;
Au père d'Esculape on consacra sa vie,
Par le fils de Vénus, hélas! trop tôt ravie.
Le robuste Cisée et l'énorme Gyas
D'Énée à coups pressés écrasoient les soldats.

PAGE 37, VERS 27.

Impétueux enfant, Messape, dont l'audace
Sait dompter les coursiers dont il créa la race.

PAGE 39, VERS 9.

Plus loin combat Pallas: Mais, ô douleur extrême,

Un rapide torrent avoit, dans ce lieu même,

Emporté des débris de rochers, d'arbrisseaux.
Condamnés par le sol à quitter leurs chevaux,
Dans le combat à pied, etc.

PAGE 41, VERS 15.

Pour venger son ami levant sur lui le glaive,
Hisbon va le frapper: le héros se relève.

PAGE 43, VERS 13.

Lorsque Rhétus, fuyant sur son essieu rapide,
Et le vaillant Theuthras, et son frère intrépide,
Intercepte le coup, et frappé par autrui,
Tombe et périt d'un trait qui n'étoit pas pour

PAGE 47, VERS 17.

lui.

« Viens, dit-il, ou ma main t'arrache la victoire, Ou par un beau trépas j'honore ma mémoire.

PAGE 51, VERS 27.

Saisit son baudrier, l'en dépouille, s'en pare;
Chef-d'œuvre inimitable, où l'art a reproduit
Cet hymen exécrable et cet horrible nuit

Qui, cachant les forfaits sous leurs voiles perfides,
Souillèrent de cent morts cent couches homicides.
Ce superbe trophée et ce riche ornement,
Turnus s'en applaudit.

PAGE 55, VERS 4.

Son trait vole: aussitôt tombant sur ses genoux,
L'adroit Magus échappe à l'horrible tempête,
Et le fer, en passant, a sifflé sur sa tête.
A l'instant il se jette aux genoux du héros...

IBID., VERS 15.

«Des amas d'or, d'argent, travaillés, bruts encor, Dans la terre enfouis composent mon trésor.

PAGE 57, VERS 25.

Et malgré sa prière et tous ses vains discours,
L'acier tranche d'un coup et sa tête et ses jours.

PAGE 69, VERS 20.

« Vents jaloux, flots cruels, j'implore votre rage;
Prenez, prenez pitié du malheureux Turnus!
Poussez-moi, jetez-moi sur des bords inconnus,
Où je puisse cacher mon déshonneur extrême;
Fuir les regards des miens, l'univers, et moi-même.

PAGE 71, VERS 15.

Qui, s'avançant dans l'onde, et s'élançant dans l'air, Défiant et les vents, et la foudre, et la mer,

Résiste à leur fureur, etc.

PAGE 81, VERS 25.

De son rival à peine il voit couler le sang,

Le héros a saisi son glaive menaçant.

PAGE 89, VERS 20.

«Toi qui me consolas de la haine des hommes, Si rien peut sembler long sur la terre où nous sommes, Ensemble assez long-temps, etc.

PAGE 91, VERS 13..

« Fasse le roi des dieux, l'auteur de la lumière, Lui dit-il, que ta main m'attaque la première! »

PAGE 93, VERS 3.

Pour finir un combat dont sa valeur s'offense,
Dans le front du coursier qui fait voler Mézence
Le fier Troyen enfonce, etc.

IBID., VERS 15.

Ce guerrier à peine respirant,

Mais le bravant encor de son regard mourant: << Cruel! pourquoi, dit-il, menacer ta victime?

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