Gesammelte schriften ...: Abth. 1. Kleine SchriftenBrockhaus, 1844 - German language |
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Absicht Aristophanes Augen Begriffe Beschluß Bild Bitaubé Blige bloß Brief Charakter Curtius deutschen Dichter Dichterinn Dichtkunst dieſes Differentialrechnung eben einander einige Empfindungen endlich erhaben Erkenntniß Erklärung ersten Fabel feine find folgende Freunde ganze Gedanken Gedichte Gegenstand Geist Genie Geschmack gewiß giebt gleich glücklich Gott groß große Grund hålt Handlungen håtte heißt heit Herz Homer Horaz iſt kleine kommen könnte Kunst Kunstrichter Lambert lassen läßt Leidenschaften Leser lich Lichtwer Liebe Longin machen macht Medon Menschen Mischnah Moses Mendelssohn muß müſſen Natur neue Heloise neueste Litt parador philosophischen Plato Rede Reimarus Sache sagen sagt scheint Schluß Schönheiten Schriften Schriftsteller Seele sehen seyn ſich ſie Sokrates soll sollte Sprache spricht Stelle Stücke Talmud Theil Thiere thun Trauerspiel Tugend übersehung Ungenannte unsere Urtheil Verf Verfasser vermuthlich Vernunft Verstand viel vielleicht vollkommen vorstellen vortrefflich wahre Wahrheit wåre Weise weiß Welt Weltweisen wenig Werk wider wissen Wissenschaften wohl wollen Worte
Popular passages
Page 80 - Lorfque l'air s'épaiffit, un zéphire l'épure; Ces globes enflammés qui parcourent les cieux, De l'Aftre des faifons renouvellent les feux : La Nature, attentive, & de fon bien avare, Fait des pertes toujours, & toujours les répare; Depuis les élémens jufques aux végétaux, Tout change & reproduit quelques objets nouveaux: La Matière eft durable & fe métamorphofe ; Mais fi l'ordre l'unit, le terne la décompofe. Le Ciel pour peu de tems nous a prêté le jour...
Page 144 - And in a Poem, whether Epick or Dramatick, a compleat and perfect Character is the greatest Monster; and of all poetick Fictions not only the least engaging, but the least moral and improving.
Page 91 - L'amour à fes douceurs mêle un cruel poifon, II égare l'efprit & féduit la raifon ; Inquiet, foupçonneux, rempli de jaloufie, II produit la fureur ou la mélancolie. La colere eft fubite, aveugle...
Page 93 - Et fon fein abondant fournit au fuperflu : Elle fait que le gland peut reproduire un chêne ; Mais de ces glands perdus elle n'eft point en peine...
Page 74 - Et ménageait en lui les deftins de la France, Dans les bras de la paix qu'on dut à fa vaillance, Le frappe dans fon lit & lui laifle en mourant , Envier les deftins qu'ont eu en combattant , Le généreux Bellifle & l'illuftre Baviere.
Page 94 - Ses jugemens font faux , fes lumières trompeufes. Ce campagnard fe plaint que des fources bourbeufes Coulent par le gagnage à travers fes vallons , II accufe les Dieux; connaît-il leurs raifons?
Page 75 - Tout fe perd à la fin, l'immenfité des tems Abforbe jufqu'aux noms des plus grands Conquérans. Si MAURICE n'eft plus, dites, qu'at-il à craindre? Nous, qui l'avons perdu, c'eft à nous de nous plaindre; C'eft un pilote heureux qui vient d'entrer au port. Le...
Page 75 - Et vont fe diffiper dans l'efpace des airs; Tandis que le Grand -homme eft rongé par les vers. Nos foupirs, nos regrets...
Page 80 - Cent ans paifés font moins que l'inftant qui va naître, Tout change, & c'eft, cher Keith, la loi de l'Univers: Les fleuves orgueilleux renouvellent les mers, On...
Page 91 - Méritent -ils fur eux de diftraire fes foins? Ce moteur inconnu, cette caufe premiere En donnant une forme à l'antique matiere, Aux êtres impofa fes immuables loix: Vers un centre commun gravitent tous les poids,, Le feu dans l'air éleve une flamme ondoyante , L'eau fans rétrograder fuit le cours de fa pente,. Tout genre eft limité dans fon petit circuit; D'un pepin de...