Œuvres completes, Volume 5 |
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Popular passages
Page 116 - Élève ton mât, et, les voiles ouvertes, abandonne ton navire au souffle de Borée. Quand tu auras franchi l'empire de Neptune, tu verras un rivage bas, d'un facile abord, et ombragé de hauts peupliers, de saules stériles, et d'autres arbres, noires forêts de Proserpine. Arrête ton navire à cette plage, bordée des gouffres profonds de la mer ; toi, entre dans l'horrible demeure de Pluton. Là s'élève un rocher où le Cocyte, roulant lentement du lit du Styx, et le Phlégéthon enflammé,...
Page 225 - Charybdis 420 obsidet, atque imo barathri ter gurgite vastos sorbet in abruptum fluctus rursusque sub auras erigit alternos et sidera verberat unda.
Page 203 - ... où s'élève le palais de l'Aurore, où sont les chants et les danses des Heures, et renaît le Soleil. Nous heurtons au sablonneux rivage ; et sortant du navire, nous goûtons le repos dans l'attente des rayons sacrés de l'astre du jour. Dès que nous voyons paraître la lueur matinale de l'Aurore, une partie de ma troupe va, par mon ordre, au palais de Circé; elle revient chargée du cadavre glacé d'Elpénor. Nous abattons des chênes pour le bûcher ; et le dressant sur la pointe la plus...
Page 57 - Là demeure un terrible géant, loin de tous les habitants de ces bords, sa seule occupation est de mener paître ses troupeaux ; il n'a de commerce avec aucun des autres Cyclopes, et roule en son esprit des projets noirs et cruels. Monstre affreux, il inspire l'épouvante : il ne ressemble point à la race que nourrit le froment ; on croit voir un roc isolé, dont le front hérissé de forêts domine toute une longue chaîne de montagnes. J'ordonne à mes compagnons chéris de m'attendre, de veiller...
Page 145 - Durant le jour entier sont tendues les voiles du vaisseau qui franchit l'empire des ondes; et lorsqu'enfin le soleil disparaît, et que les ténèbres de la nuit se répandent, nous touchons à l'extrémité de la profonde mer. Là sont les habitations des Cimmériens, toujours couvertes d'épais nuages et d'une noire obscurité. Jamais le dieu brillant du jour n'y porte ses regards, soit qu'il gravisse vers le haut sommet de la voûte étoilée, soit que son char descende des cieux et roule vers...
Page 52 - Lo tophages, peuple tranquille, qui ne leur dresse aucun piège mortel; il leur, présente le lotos, ses délices. Au moment où mes guerriers ont porté à leurs lèvres ce fruit aussi doux que le miel, loin de songer à mes ordres ni à leur départ, ils n'aspirent qu'à couler leurs jours parmi ce peuple; savoorer le lotos est leur seul charme ; ils ont oublié jusqu'au nom de leur patrie.
Page 246 - Dans l'intérieur de liantre sont de grandes urnes et des cruches de belles pierres, où des essaims d'abeilles déposent leur miel. On y voit de longs métiers de marbre, où les nymphes tissent des robes de pourpre, ouvrage merveilleux. Des fontaines intarissables y font jaillir leurs eaux. La grotte a deux entrées : l'une, tournée au septentrion et ouverte aux humains ; l'autre, qui regarde le midi, est sacrée, et leur est inaccessible ; c'est la route des immortels.
Page 305 - Homère, bien qu'il ait composé deux poèmes, chacun plus gros que l'Enéide, et qu'il n'y ait point d'écrivain qui descende quelquefois dans un plus grand détail que lui , ni qui dise si volontiers les petites choses , ne se servant jamais que de termes nobles , ou employant les termes les moins relevés avec tant d'art et d'industrie , comme remarque Denys...
Page 100 - Par un heureux essor, loin de ces roches qui pleuvaient sur nous , mon navire a gagné la plaine liquide. Mais, hélas ! les autres, sans qu'il en échappe un seul, sont ensevelis au sein de ce port dans une ruine commune. • Nous poursuivons notre course ; et la joie de notre délivrance était troublée par les.regrets douloureux que nous donnions à nos amis.
Page 205 - ... Mais Circé, me prenant la main, me conduit loin de leur troupe ; et, assise près de moi, me demande un fidèle récit de ma route au séjour des morts. J'obéis, et la déesse me tint ce discours : Tous ces périls sont évanouis. Prête-moi une oreille attentive ; je te dirai ceux qui t'attendent encore : veuille un dieu te rappeler le souvenir de mes paroles ! D'abord se présenteront sur ta route les Sirènes, ces enchanteresses qui fascinent tous les hommes venus près de leurs bords. Malheur...