Philosophie du droit |
From inside the book
Results 1-5 of 38
Page 15
... monarchie , l'aristocratie , la démocratie et la république , peuvent avoir leur im- portance , mais elles n'attaquent pas le fond même des choses , et c'est avoir peu de philosophie dans l'esprit , que de s'at- tacher avec une ...
... monarchie , l'aristocratie , la démocratie et la république , peuvent avoir leur im- portance , mais elles n'attaquent pas le fond même des choses , et c'est avoir peu de philosophie dans l'esprit , que de s'at- tacher avec une ...
Page 16
... monarchie royale , comme parle Bodin , réprime la féodalité , et l'é- glise abat l'aristocratie , élève le peuple , sert puissamment la liberté et rend une révolution nécessaire . A la monarchie royale s'enchaine un nouveau progrès , la ...
... monarchie royale , comme parle Bodin , réprime la féodalité , et l'é- glise abat l'aristocratie , élève le peuple , sert puissamment la liberté et rend une révolution nécessaire . A la monarchie royale s'enchaine un nouveau progrès , la ...
Page 23
... monarchie fran- çaise ; et cependant ces hommes étaient libres en accomplissant des actes nécessai- res . Ainsi , quand même la dialectique de Bayle déconcerterait sur quelques points les saintes et pures croyances de Leib- nitz ( 1 ) ...
... monarchie fran- çaise ; et cependant ces hommes étaient libres en accomplissant des actes nécessai- res . Ainsi , quand même la dialectique de Bayle déconcerterait sur quelques points les saintes et pures croyances de Leib- nitz ( 1 ) ...
Page 34
... monarchie re- présentative , affranchissant l'Amérique , éclatant en 1789 , relevant son drapeau en 1850 ; la liberté , la seule divinité qui nous trouve aujourd'hui croyans et pieux , cette volonté de Dieu , cette destinée des peuples ...
... monarchie re- présentative , affranchissant l'Amérique , éclatant en 1789 , relevant son drapeau en 1850 ; la liberté , la seule divinité qui nous trouve aujourd'hui croyans et pieux , cette volonté de Dieu , cette destinée des peuples ...
Page 42
... monarchie chez tous les peu- ples , ne pas reconnaître dans la famille et l'état deux ordres de choses distincts que le progrès de l'histoire a séparés pour jamais , c'est vouloir ramener l'homme à son berceau . Quel est le fondement de ...
... monarchie chez tous les peu- ples , ne pas reconnaître dans la famille et l'état deux ordres de choses distincts que le progrès de l'histoire a séparés pour jamais , c'est vouloir ramener l'homme à son berceau . Quel est le fondement de ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Aristote César chap chiavel chose christianisme Cicéron citoyens civil civilisation constitution Contrat Contrat social démocratie développement Dieu divine doctrine doit enfans esprit Étrusques féodalité Fichte générale génie gloire gouvernement Gracques Grèce guerre Hegel historique Hobbes hommes idées institutions justice Kant l'Angleterre l'antiquité l'aristocratie l'état l'Europe l'his l'histoire l'homme l'humanité l'in l'individualité l'intelligence l'Italie Latium législation légitime liberté libre livre Locke lois long-tems losophie Louis XIV lui-même Machiavel ment mœurs monarchie monde mont Palatin Montesquieu morale nation nationale naturel nécessaire Niebuhr panthéisme passé passions patriciens pensée peuple philoso philosophie Platon politique poser pouvoir premier principe progrès propriété protestantisme puissance quæ raison réforme religieuse religion république révolution révolution française rois romaine Rome Romulus Rousseau s'est Saint-Simon saurait science sentiment sera seulement siècle sociale société Socrate sortir Spinosa stoïcisme système tems tems modernes théorie tion Tite-Live toire tout-à-fait trouve véritable vertu veut voilà volonté Voltaire
Popular passages
Page 99 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 99 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression. » ART. 3. — Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Page 99 - ... afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la constitution, et au bonheur...
Page 99 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit , et légalement appliquée.
Page 100 - Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable: elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
Page 170 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 100 - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 99 - Les représentants du peuple français, constitués en ASSEMBLÉE NATIONALE, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une déclaration solennelle, les Droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme...
Page 163 - Tout est bien , sortant des mains de l'Auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme.
Page 32 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.