Adelaïde du Guesclin. Alzire. L'enfant prodigue. Le fanatisme; ou, Mahomet le prophèteT. Dabo, 1820 |
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ADÉLAÏDE affreux aime Allez ALVAREZ ALZIRE amant amour Angoulême autels barbare bienfaits bonheur bras cher cieux cœur COUCY courroux crains crime CROUPILLA cruel daigne DANGESTE déja destin dieu dieux dois douleur ÉMIRE ennemis époux esclave esprit EUPHÉMON FILS EUPHÉMON PÈRE FIEREN FIERENFAT fille forfaits frémis frère funeste fureur gloire Guesclin Gusman hélas Hercide héros heureux homme horrible hymen infortuné j'ai j'aime j'ose Jacques Clément JASMIN jour l'amour larmes lieux LISE lois m'accable m'aime MADAME CROUPILLAC Mahomet main maître malheureux MARTHE Mecque Médine meurs monsieur MONTÈZE mort mortels mourir NEMOURS ô ciel OMAR outrage PALMIRE pardonne parle patrie peuple PHANOR pieds pitié pleurs prince puis-je punir qu'un remords RONDON sais sang sauver SCÈNE secret SÉIDE seigneur sentiments serments servir seul soldat sort supplice TAÏSE Tartuffe tendresse Théâtre trahir traître tremble trépas trève triste tyrans VENDÔME vengeance venger vertu veux vois voix Voltaire yeux ZAMORE ZOPIRE
Popular passages
Page 304 - J'abolis les faux dieux, et mon culte épuré De ma grandeur naissante est le premier degré. Ne me reproche point de tromper ma patrie ; Je détruis sa faiblesse et son idolâtrie : Sous un roi, sous un dieu, je viens la réunir ; Et, pour la rendre illustre, il la faut asservir.
Page 289 - Les mortels sont égaux; ce n'est point la naissance, C'est la seule vertu qui fait leur différence.
Page 303 - Je suis ambitieux ; tout homme l'est , sans doute ; Mais jamais roi , pontife , ou chef, ou citoyen , Ne conçut un projet aussi grand que le mien. Chaque peuple à son tour a brillé sur la terre, Par les lois, par les arts, et surtout par la guerre; Le temps de l'Arabie est à la fin venu.
Page 178 - Et de porter le nom de son amant ! Votre maison , vos gens , votre livrée , Tout vous retrace une image adorée ; Et vos enfans , ces gages précieux , Nés de l'amour , en sont de nouveaux nœuds. Un tel hymen , une union si chère , Si l'on en voit , c'est le ciel sur la terre.
Page 157 - ... mit à rire plus fort que les autres. Nous n'inférons pas de là que toute comédie doive avoir des scènes de bouffonnerie et des scènes attendrissantes. Il ya beaucoup de très bonnes pièces où il ne règne que de la ga!té; d'autres toutes sérieuses, d'autres mélangées, d'autres où l'attendrissement va jusqu'aux larmes.
Page 304 - J'apporte un joug plus noble aux nations entières : J'abolis les faux dieux, et mon culte épuré De ma grandeur naissante est le premier degré. Ne me reproche point de tromper ma patrie ; Je...
Page 75 - On a tâché dans cette tragédie, toute d'invention et d'une espèce assez neuve, de faire voir combien le véritable esprit de religion l'emporte sur les vertus de la nature.
Page 18 - Je vois que de l'Anglais la race est peu chérie; Que leur joug est pesant; qu'on aime la patrie; Que le sang des Capets est toujours adoré.
Page 155 - Si la comédie doit être la représentation des mœurs , cette pièce semble être assez de ce caractère. On y voit un mélange de sérieux et de plaisanterie , de comique et de touchant. C'est ainsi que la vie des hommes est bigarrée; souvent même une seule aventure produit tous ces contrastes.
Page 81 - L'esprit philosophique fait tant de progrès en France depuis quarante ans , que si Boileau vivait encore , lui qui osait se moquer d'une femme de condition, parce qu'elle voyait en secret Roberval et Sauveur, il serait obligé de respecter et d'imiter celles qui profitent publiquement des lumières des Maupertuis , des...