Memoires des sages et royalles oeconomies d'estat ... de Henry le grand ... et des seruitudes vtiles ... & administrations loyales de Maximilian de Bethune. Tom. 3,4 [ed. by J. Le Laboureur].

Front Cover
 

Other editions - View all

Common terms and phrases

Popular passages

Page 330 - LOUIS , par la grace de Dieu , Roi de France & de Navarre : A tous ceux qui ces préfentes Lettres verront; SALUT.
Page 322 - ... cousin le duc de Lunebourg et de Brunsvik, porteur de la presente , m'ayant fait supplier de commander qu'il soit payé de sept mille escus qu'il pretend estre deubs audit duc, attendu la modicité de la somme, je vous fais celle-cy, afin qu'estant informé du merite de cette pretention , vous y fassiez pourvoir autant favorablement que mes affaires le pourront porter: dont je me remets en vous, priant Dieu, mon cousin, qu'il vous ait en sa sainte et digne garde. Escrit à Fontaine-bleau , le...
Page 368 - Venus sont en bonne intelli« gence ; mais neantmoins , si nous voulons avoir de « bons succez par le premier, il faut que l'autre cede, « encore qu'il nous pourra bien donner quelque « pointe aux affaires pour les accelerer, qui est ce « en quoy nous devons esperer de meilleurs succez. « Or, allons doncques, mon cousin. » Vous dittes l'un et l'autre, tout cela assez haut devant nous tous. Voila pourquoy il nous a esté fort facile de le recueillir mot à mot. Estant arrivé au Louvre, comme...
Page 67 - tous mes enfans malades. Ma fille de Verneuil « a la rougeole; mais elle s'en va éteinte, avec peu « de fièvre. Mon fils le dauphin eut hier deux vo...
Page 343 - Roy catholique ou archiducs , leurs officiers et sujects ; et sera aussi entendu ledit trouble et ernpeschement , tant s'il est fait aux sujects desdits sieurs Estats qu'à ceux qui ont fait ou feront ledit commerce avec eux , ou bien si les princes et peuples qui leur auront donné la permission d'exercer ledit trafic en leurs...
Page 150 - Pour ce qui touche la ruine des eaux, Dieu m'a >' baillé mes sujets pour les conserver comme mes enfants. » Que mon Conseil les traite avec charité : les aumônes » sont très-agréables devant Dieu, particulièrement en > cette circonstance.
Page 233 - ... mesnager, qu'ils se sont rendus maistres absolus « de tous, et rejoint à leur couronne tout ce qui « avoit esté lors comme demembré , reservé les « comtez de Flandres et d'Artois. « Philippe Auguste doit estre estimé au nombre « des plus magnanimes roys de France, tant pource
Page 128 - Enfin ils concluent qu'une telle treve ne se peut terminer qu'à la ruïne de l'Estat. Que si au bout de la treve il faut recommencer la. guerre, que l'on aura bon marché d'eux , parce qu'alors ils l'auroient beaucoup plus desavantageuse qu'à cette heure. Si c'est une paix, qu'elle ne sera paix qu'entant qu'ils n'auront pas moyen de se défendre , qui seroit à dire une paix de servitude et misere perpetuelle. Cela est la voix du peuple et de tous ceux qui ont encore assez de ressentiment de...
Page 48 - Mais quant à l'autre chef de sa broûillerie , il est un peu plus intrigué ; et partant , ayant besoin d'un plus long recit pour en donner quelque intelligence , nous vous dirons , non par ce que nous en avons appris de vous, mais par les discours quasi communs d'un...
Page 68 - Sully étoit accouchoe d'un fils*, j'ai hâté son partement pour vous assurer que comme je crois que nul de mes serviteurs n'a eu plus de joie de la naissance de mon fils d'Anjou que vous, aussi veux-je que vous croyiez que je surpasse en aise tous vos amis de la naissance de votre fils.

Bibliographic information