Œuvres choisies de Delille ... |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
OEuvres Choisies de Delille: Les Géorgiques de Virgile, Texte Et Traduction ... Jacques Delille No preview available - 2018 |
Common terms and phrases
abeilles acanthi airs amour anciens arbres atque beauté beaux belle bois bords brillants bruit champs chants charme chéris ciel cieux coup cours Delille dieu dieux différents doit donne douce douleur doux eaux enfants enfin féconde fils fleurs flots fond force forme foule fruits gloire goût Grecs Hélas heureux insecte j'ai jardins jeune jouir jour l'air l'art l'autre l'homme l'onde l'un laisse langue lieu lieux livre loin lois long main malheur maux mers monde monts mort mots nature noirs nourrit nouveau objets ouvrage parle passé peine père peuple Pitié place plaisir plante plein pleurs poëme poëte porte premier qu'un regards reste riant riche rois Romains roule sait sang séjour sent seul soins soleil sort souvent sujet surtout tableaux Tantôt tendre terre tombe touchante tour traits travaux triste troupeaux trouve vents veut vient vieux Virgile voit voix vole Voyez yeux
Popular passages
Page 202 - ... c'est une créature qui renonce à son être pour n'exister que par la volonté d'un autre, qui sait même la prévenir; qui, par la promptitude et la précision de ses mouvements, l'exprime et l'exécute; qui sent autant qu'on le désire, et ne rend qu'autant qu'on veut; qui...
Page 202 - ... il fléchit sous la main de celui qui le guide, mais il semble consulter ses désirs, et obéissant toujours aux impressions qu'il en reçoit...
Page 211 - ... d'une ardeur nouvelle, le chien marque sa joie par les plus vifs transports, il annonce par ses mouvements et par ses cris l'impatience de combattre et le désir de vaincre; marchant ensuite en silence, il cherche à reconnaître le pays, à découvrir, à surprendre l'ennemi dans...
Page 343 - ... ce modeste et pieux presbytère ? Là vit l'homme de Dieu, dont le saint ministère Du peuple réuni présente au ciel les vœux. Ouvre sur le hameau tous les trésors des cieux , Soulage le malheur, consacre l'hyménée, Bénit et les moissons et les fruits de l'année ; Enseigne la vertu , recoit l'homme au berceau , Le conduit dans la vie, et le suit au tombeau.
Page 96 - Sollicitant alii remis freta caeca, ruuntque in ferrum, penetrant aulas et limina regum ; hic petit excidiis urbem miserosque penates, 505 ut gemma bibat et Sarrano dormiat ostro ; condit opes alius defossoque incubat auro...
Page 417 - O fortuné séjour ! ô champs aimés des cieux ! Que, pour jamais foulant vos prés délicieux , Ne puis-je ici fixer ma course vagabonde, Et , connu de vous seuls , oublier tout le monde...
Page 202 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal , qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats : aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte ; il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche et s'anime, de la même ardeur : il partage aussi ses plaisirs ; à la chasse , aux tournois, à la course, il brille, il étincelle.
Page 94 - D'agréables poisons ne brûlent point ses veines; Tyr n'altéra jamais la blancheur de ses laines; II n'a point tous ces arts qui trompent notre ennui; Mais que lui manque-t-il? la nature est à lui. Des grottes("'), des étangs, une claire fontaine Dont l'onde, en murmurant, l'endort sous un vieux chêne; Un troupeau qui mugit, des vallons, des forêts; Ce sont là ses trésors, ce sont là ses palais. C'est dans les champs qu'on trouve une mâle jeunesse; C'est là qu'on...
Page 522 - Impossible encore ; il se laissa • alors conduire à l'endroit , où on l'attacha et où il s'est écrié très-haut : « Peuple, je meurs innocent! Ensuite, se retournant vers nous, il • nous dit : Messieurs, je suis innocent de tout ce dont on m'inculpe. Je • souhaite que mon sang puisse cimenter le bonbeur des Français. Voilà, « citoyen , ses dernières et véritables paroles.
Page 18 - Un jour le laboureur, dans ces mêmes sillons Où dorment les débris de tant de bataillons, Heurtant avec le soc leur antique dépouille, Trouvera, plein d'effroi, des dards rongés de rouille, Verra de vieux tombeaux sous ses pas s'écrouler, Et des soldats romains les ossements rouler.