L'Enéide, Volume 4Giguet et Michaud, 1804 |
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... , ne les prévenez pas , » Où l'Afrique aux Latins envoyant le trépas , » De leurs monts protecteurs s'ouvrira le passage , » Et contre les Romains déchaînera Carthage , O pater , o hominum divûmque æterna potestas , Namque L'ÉNÉIDE .
... , ne les prévenez pas , » Où l'Afrique aux Latins envoyant le trépas , » De leurs monts protecteurs s'ouvrira le passage , » Et contre les Romains déchaînera Carthage , O pater , o hominum divûmque æterna potestas , Namque L'ÉNÉIDE .
Page 37
... presse . » Tu vois ces pins sacrés , présent d'une déesse , » Ces verts enfans des monts qu'autrefois te céda » L'immortelle forêt qui couronne l'Ida . Et dedit esse deas , ævumque agitare sub undis . v . 333 . 37 L'ÉNÉIDE , LIVRE X.
... presse . » Tu vois ces pins sacrés , présent d'une déesse , » Ces verts enfans des monts qu'autrefois te céda » L'immortelle forêt qui couronne l'Ida . Et dedit esse deas , ævumque agitare sub undis . v . 333 . 37 L'ÉNÉIDE , LIVRE X.
Page 73
... monts paternels les végétaux fameux . Énée avec fureur s'avance au - devant d'eux . Le bouclier d'Anxur , avec sa main coupée , D'abord vole en éclats sous sa terrible épée . Ombron , fier de son art , par de magiques mots Sans doute a ...
... monts paternels les végétaux fameux . Énée avec fureur s'avance au - devant d'eux . Le bouclier d'Anxur , avec sa main coupée , D'abord vole en éclats sous sa terrible épée . Ombron , fier de son art , par de magiques mots Sans doute a ...
Page 89
... divers leur ennemi les frappe ; Du hardi Latagus le lourd débris d'un mont Vient frapper le visage , et lui brise le front ; Nec non Evanthen Phrygium , Paridisque Mimanta Equalem comitemque , v . 909 . 89 L'ÉNÉIDE , LIVRE X.
... divers leur ennemi les frappe ; Du hardi Latagus le lourd débris d'un mont Vient frapper le visage , et lui brise le front ; Nec non Evanthen Phrygium , Paridisque Mimanta Equalem comitemque , v . 909 . 89 L'ÉNÉIDE , LIVRE X.
Page 93
... mont élevé se découvre à son ceil Un cerf au front superbe , un timide chevreuil , Soudain , les crins dressés et mugissant de joie , Ouvre une gueule immense , arrive sur sa proie , Et , couché tout entier sur son corps palpitant ...
... mont élevé se découvre à son ceil Un cerf au front superbe , un timide chevreuil , Soudain , les crins dressés et mugissant de joie , Ouvre une gueule immense , arrive sur sa proie , Et , couché tout entier sur son corps palpitant ...
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Common terms and phrases
acies Ænean Æneas æquore æthera agmina alta arma armes armis Ascagne atque Auleste avoit bello bouclier bras brave Camille camps char cieux coeur combat conjux contrà corpore courage coursier d'Évandre dedit destins dextrâ dictis dieux discours douleur Drancès Énée enfans ennemis ensem equos étoit Évandre fata fatal ferro fils fugit fureur gloire guerrier hæc hastam Haud héros Homère hostem Hunc Ille illi infelix ingenti inter ipse Jamque Junon Jupiter Juturne l'Énéide l'Iliade lance Latins Latinus Latium Lausus Lavinie longè main malheureux manu manus Messape Mézence mihi moenia mort muros neque nunc omnes Opis Pallanta Pallas paroît pater pectore père pleurs poëme poëte Priam proelia pugnæ quæ Quid Quò quos quum rage remparts rival Rutuli s'élance sang sanglante sanguine secat superbe Tarchon tectis telum Teucri Teucros tibi Toscans traits trépas Troie Troyens Turni Turno Turnus urbem vainqueur Vénus verò Virgile viri vole yeux
Popular passages
Page 396 - Equidem merui, nee deprecor," inquit ; " Utere sorte tua. Miseri te si qua parentis Tangere cura potest, oro, — fuit et tibi talis Anchises genitor — Dauni miserere senectae, Et me, seu corpus spoliatum lumine mavis, 935 Redde meis. Vicisti, et victum tendere palmas Ausonii videre; tua est Lavinia coniunx : Ulterius ne tende odiis.
Page 12 - Nunc sinite ; et placitum laeti componite fœdus." 15 Jupiter haec paucis ; at non Venus aurea contra Pauca refert : " O Pater, o hominum rerumque Beterna potestas, — " Namque aliud quid sit, quod jam implorare queamus ? — " Cernis, ut insultent Rutuli, Turnusque feratur...
Page 386 - Sermonem Ausonii patrium moresque tenebunt, utque est nomen erit ; commixti corpore tantum 835 subsident Teucri. Morem ritusque sacrorum adiciam faciamque omnis uno ore Latinos. Hinc genus Ausonio mixtum quod sanguine surget, supra homines, supra ire deos pietate videbis, nec gens ulla tuos aeque celebrabit honores.
Page 366 - Nam quid ago ? aut quae iam spondet Fortuna salutem ? ' Vidi oculos ante ipse meos me voce vocantem ' Murranum, quo non superat mihi carior alter, ' Oppetere ingentem atque ingenti volnere victum. 640 ' Occidit infelix, ne nostrum dedecus Ufens ' Aspiceret; Teucri potiuntur corpore et armis. /* Exscindine domos, — id rebus defuit unum...
Page 213 - Déjà brûlant de vaincre , il a pris son essor : Tel un coursier captif, mais fougueux et sauvage , Las des molles langueurs d'un oisif esclavage, Tout à coup rompt sa chaîne, et loin de sa prison Possesseur libre enfin de l'immense horizon , Tantôt fier, l'œil en feu, les narines fumantes, Demande aux vents les lieux où paissent ses amantes ; Tantô»t, par la chaleur et la soif enflammé, Court , bondit, et se plonge au fleuve accoutumé; Tantôt le cou...
Page 320 - Tartara solvat; 205 ut sceptrum hoc' (dextra sceptrum nam forte gerebat) ' numquam fronde levi fundet virgulta nee umbras, cum semel in silvis imo de stirpe recisum matre caret, posuitque comas et bracchia ferro, olim arbos, nunc artificis manus aere decoro 210 inclusit, patribusque dedit gestare Latinis.
Page 418 - Et toi, fatal tissu, malheureux diadème, Instrument et témoin de toutes mes douleurs, Bandeau que mille fois j'ai trempé de mes pleurs, Au moins, en terminant ma vie, et mon supplice, Ne pouvais-tu me rendre un funeste service?
Page 111 - Triste, il paraît sentir et partager ses maux ; Mézence le ranime, et lui parle en ces mots : « Toi, qui me consolas de la haine des hommes, » Si rien peut sembler long sur la terre où nous sommes, .» Ensemble assez long-temps tous deux avons vécu, » Tous deux assez long-temps ensemble avons vaincu ; » Mais un dernier triomphe a nos efforts s'apprête : » Il me faut du Troyen la dépouille et la tête.
Page 93 - Acron , dont les ayeux étoient nés dans la Grèce, Pour éviter des siens la fureur vengeresse , Avoit quitté Corythe ; et ses tendres désirs D'un hymen imparfait regrettoient les plaisirs. Sur lui brilloient de loin , donnés par son amante, Un vêtement de pourpre , une aigrette éclatante ; II couroit dans les rangs , échauffoit ses soldats.
Page 152 - ... c'est une créature qui renonce à son être pour n'exister que par la volonté d'un autre, qui sait même la prévenir; qui, par la promptitude et la précision de ses mouvements, l'exprime et l'exécute; qui sent autant qu'on le désire, et ne rend qu'autant qu'on veut; qui...