PAGE 231, VERS 20. Mille guerriers sans nom. Herbésus, Abaris, sont devenus sa proie: PAGE 237, VERS 15. Il regarde, ô douleur! il voit tout ce qu'il aime Trainé par des soldats; la nuit, les bois, lui-même, Et l'excès de son trouble, etc. PAGE 243, VERS 7. Plus loin on se console, on revoit avec joie PAGE 247, VERS 17. Mais la trompette sonne, et ses sons belliqueux Suivis de mille cris ont ébranlé les cieux. PAGE 251, VERS 27. Hélénor, que la jeune et belle Licymnie Ravit encore enfant au roi de Méonie. Jeune, esclave, il courut, s'armant contre les lois, Des héros d'Ilion partager les exploits, etc. A la corne dorée, à l'œil fier, aux poils blancs, PAGE 263, VERS 13. Troie étoit peu pour toi, ton empire est sans fin, A ces mots il descend de la céleste plage: PAGE 267, VERS 15. Tout-à-coup il apprend que les enfants de Troie Eux-mêmes aux Latins osent offrir leur proie... Aussitôt Mars accourt, et leur soufflant sa rage, Des Latins abattus ranime le courage; Et, tandis qu'il envoie aux Troyens la terreur, De la soif des combats rallume en eux la flamme, FIN DU TOME III DE L'ÉNÉIDE. |