Oeuvres complètes de Voltaire, Volume 20de l'Imprimerie de la Société littéraire-typographique, 1784 |
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affez ainfi armée auffi avaient bataille c'eft C'eſt cardinal de Richelieu cardinal Mazarin Charles chofes compofé comte confeil confervé d'Angleterre d'Autriche d'Eſpagne deffein Efpagnols efprit eftimé enfuite ennemis eſt faibleffe fans favant fecond fecours fecret fecrétaire d'Etat fefait femblait fervice fervir feul fiècle fiége fingulier Flandre foit foldats fon fils fon frère fon père font fous Louis fouvent fouverains françaiſe Franche-Comté fuccès fuivi fujets furtout général génie gloire gouvernement guerre Guillaume Henri IV hiftoire Hollande Jacques jamais Jean de Witt jéfuite jufqu'à l'armée l'efprit l'électeur l'empereur l'Empire l'Europe l'hiftoire laiffé Léopold long-temps Louis XIV Louvois maifon maréchal mémoires mille hommes miniftre mort n'avait n'eft nation néceffaire ouvrages paffer paix pape parlement penfait perfonne peuple Philippe IV philofophe plufieurs prefque preſque prince d'Orange prince de Condé puiffance refte reine rois royaume s'eft ſes Siècle de Louis ſon teftament troupes Turenne vaiffeaux
Popular passages
Page 262 - Pour mériter son cœur, pour plaire à ses beaux yeux, J'ai fait la guerre aux rois; je l'aurais faite aux dieux'.
Page 96 - Quelque autre te dira d'une plus forte voix Les faits de tes Aïeux et les vertus des Rois. Je vais t'entretenir de moindres Aventures, Te tracer en ces vers de légères peintures. Et, si de t'agréer je n'emporte le prix, J'aurai du moins l'honneur de l'avoir entrepris.
Page 425 - Mon fils, en vous envoyant commander mes armées, je vous donne les occasions de faire connaître votre mérite : allez le montrer à toute l'Europe, afin que, quand je viendrai à mourir, on ne s'aperçoive pas que le roi soit mort.
Page 128 - Il prit un tour très-adroit pour mettre le ministre dans ses intérêts; il fit faire en peu de jours une nouvelle édition de son livre ' , dans laquelle on retrancha ou on adoucit tout ce qui pouvait être condamné par un cardinal et par un ministre.
Page 208 - Le quatrième siècle est celui qu'on nomme le siècle de Louis XIV; et c'est peut-être celui des quatre qui approche le plus de la perfection. Enrichi des découvertes des trois autres, il a plus fait en certains genres que les trois ensemble.
Page 120 - Par votre humeur le monde est gouverné} Vos volontés font le calme et l'orage ; Vous vous riez de me voir confiné Loin de la...
Page 209 - La saine philosophie n'a été connue que dans ce temps, et il est vrai de dire qu'à commencer depuis les dernières années du cardinal de Richelieu...
Page 92 - D'en laisser terminer le cours A l'ennuyeuse indifférence ? Alors j'aperçus dans les airs L'enfant maître de l'univers, Qui, plein d'une joie inhumaine, Me dit en souriant : « Tircis, ne te plains plus, Je vais mettre fin à ta peine; Je te promets un regard de Caylus.