Clément Marot's Verhältnis zur Antike |
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... esveiller les Muses , Nymphes des boys et déesses haultaines Suyvans jardins , boys , fleuves et fontaines . Les oyseletz par grand joye et deduyt De leurs gosiers 2 17 ment Marots Gedichte für die Behandlung der griechisch- ...
... esveiller les Muses , Nymphes des boys et déesses haultaines Suyvans jardins , boys , fleuves et fontaines . Les oyseletz par grand joye et deduyt De leurs gosiers 2 17 ment Marots Gedichte für die Behandlung der griechisch- ...
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... Muse “ ( III 153 ) , so darf dem gegenüber wohl behauptet werden , daß wir es bei dem Zusatze : „ si peu je y comprins " lediglich mit einer jener Bescheidenheitsformeln zu tun haben , die für Widmungen und sonstige Anreden an ...
... Muse “ ( III 153 ) , so darf dem gegenüber wohl behauptet werden , daß wir es bei dem Zusatze : „ si peu je y comprins " lediglich mit einer jener Bescheidenheitsformeln zu tun haben , die für Widmungen und sonstige Anreden an ...
Page 59
... Muses ; Adieu , par qui les Muses desolées Souventesfois ont esté consolées ; Adieu qui veoir ne les peut en souffrance , Adieu la main qui de Flandre en la France Tira jadis Jean Le Maire Belgeois , Qui l'ame avoit d'Homere le Gregeois ...
... Muses ; Adieu , par qui les Muses desolées Souventesfois ont esté consolées ; Adieu qui veoir ne les peut en souffrance , Adieu la main qui de Flandre en la France Tira jadis Jean Le Maire Belgeois , Qui l'ame avoit d'Homere le Gregeois ...
Page 62
... muse chanter , Trop plus que moy tu as de vehemence : Pour esmouvoir à mercy et clemence : Mais assez bon persuadeur me tien , Ayant un prince humain plus que le tien . Si tu me vaincz en l'art tant agréable , Il te surmonte en fortune ...
... muse chanter , Trop plus que moy tu as de vehemence : Pour esmouvoir à mercy et clemence : Mais assez bon persuadeur me tien , Ayant un prince humain plus que le tien . Si tu me vaincz en l'art tant agréable , Il te surmonte en fortune ...
Page 63
... muse . Que dy je amusée ! Mais incitée à renouveller , pour vous en faire offre , l'une des plus latines antiquitez , et des plus antiques latinitez . Entre lesquelles celle de la Metamorphose d'Ovide me sembla la plus belle , tant pour ...
... muse . Que dy je amusée ! Mais incitée à renouveller , pour vous en faire offre , l'une des plus latines antiquitez , et des plus antiques latinitez . Entre lesquelles celle de la Metamorphose d'Ovide me sembla la plus belle , tant pour ...
Common terms and phrases
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Popular passages
Page 96 - Aonio rediens deducam vertice Musas; primus Idumaeas referam tibi, Mantua, palmas, et viridi in campo templum de marmore ponam propter aquam, tardis ingens ubi flexibus errat Mincius et tenera praetexit harundine ripas.
Page 78 - Estaindre peult le feu que je sens bien, Non point par eau, par neige ne par glace, Mais par sentir un feu pareil au mien.
Page 30 - Tityre, duco. hic inter densas corylos modo namque gemellos spem gregis, a, silice in nuda conixa reliquit.
Page 95 - Dieux m'ont faict naistre, Où le soleil non trop excessif est; Parquoy la terre avec honneur s'y vest De mille...
Page 97 - Exegi monumentum aere perennius Regalique situ pyramidum altius, Quod non imber edax, non Aquilo impotens Possit diruere aut innumerabilis Annorum series et fuga temporum.
Page 94 - Causa fuit pater his, qui macro pauper agello Noluit in Flavi ludum me mittere, magni Quo pueri magnis e centurionibus orti, Laevo suspensi loculos tabulamque lacerto, Ibant octonis referentes Idibus aera : Sed puerum est ausus Romam portare docendum Artes quas doceat quivis eques atque senator Semet prognatos.
Page 96 - D'aller toucher & faire tes massacres Au cabinet des sainctes Muses sacres...
Page 95 - De mille fruictz, de mainte fleur et plante : Bacchus aussi sa bonne vigne y plante, Par art subtil, sur montaignes pierreuses...
Page 99 - Ne forte credas interitura, quae longe sonantem natus ad Aufidum non ante volgatas per artes verba loquor socianda chordis...
Page 93 - A ta louenge (ô Pan, dieu tressacré), Voyre chansons qui te viendroyent à gré. Et me souvient que bien souvent aux festes, En regardant de loing paistre noz bestes...