Revue des deux mondes, Volume 6; Volume 24; Volume 131

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Au bureau de la Revue des deux mondes., 1859 - France
 

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Popular passages

Page 479 - And thinking of the days that are no more. Fresh as the first beam glittering on a sail, That brings our friends up from the underworld, Sad as the last which reddens over one That sinks with all we love below the verge; So sad, so fresh, the days that are no more.
Page 903 - Dieu, en donnant à l'homme des besoins, en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait du droit de travailler la propriété de tout homme, et cette propriété est la première, la plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.
Page 681 - Je vous aurais envoyé beaucoup plus loin, si ce n'était l'estime particulière que j'ai pour madame la duchesse de Choiseul dont la santé m'est fort intéressante. Prenez garde que votre conduite ne me fasse prendre un autre parti. Sur ce, je prie Dieu, mon cousin, qu'il vous ait en sa sainte garde.
Page 483 - And the vitriol madness flushes up in the ruffian's head, Till the filthy by-lane rings to the yell of the trampled wife, And chalk and alum and plaster are sold to the poor for bread, And the spirit of murder works in the very means of life...
Page 480 - ... and burgher, lord and dame, And round the prow they read her name, The Lady of Shalott. Who is this? and what is here? And in the lighted palace near Died the sound of royal cheer; And they cross'd themselves for fear, All the knights at Camelot: But Lancelot mused a little space; He said, "She has a lovely face; God in his mercy lend her grace, The Lady of Shalott.
Page 461 - En tout genre de travail, il doit arriver et il arrive en effet que le salaire de l'ouvrier se borne à ce qui lui est nécessaire pour lui procurer sa subsistance.
Page 681 - Mon cousin, le mécontentement que me causent vos .services me force à vous exiler à Chanteloup, où vous vous rendrez dans vingt-quatre heures. Je vous aurais envoyé beaucoup plus loin, si ce n'était l'estime particulière que j'ai pour madame la duchesse de Choiseul dont la santé m'est fort intéressante; prenez garde que votre conduite ne me fasse prendre un autre parti.
Page 695 - Mais en même temps si on voulait nous faire plus de mal, ce serait lui qui retiendrait ; on n'oserait pas. Il y aurait révolte générale. Qu'on le laisse donc aller, cet intérêt, il est trop flatteur pour nous en priver. Qu'on le perpétue, s'il est possible. Il assure la gloire de mon mari ; il le récompense de douze ans de travaux et d'ennuis ; il le paye de tous ses services; nous pouvions l'acheter encore à plus haut prix, et nous ne l'aurions pas cru trop payer par le bonheur immense...
Page 903 - La plus sacrée et la plus inviolable de toutes les propriétés de l'homme est celle de sa propre industrie, parce qu'elle est la source originaire de toutes les autres propriétés. Le patrimoine du pauvre est dans la force et l'adresse de ses mains, et l'empêcher d'employer cette force et cette adresse de la manière qu'il...
Page 523 - Kriidener vient de me donner. Elle vous supplie de venir la moins belle que vous pourrez. Elle dit que vous éblouissez tout le monde, et que par là toutes les âmes sont troublées et toutes les attentions impossibles. Vous ne pouvez pas déposer votre charme ; mais ne le rehaussez pas.

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