 | France - 1842 - 1054 pages
...fonder. Le ciel n'avait donné de la force à mon esprit que pour un temps, et ce temps est passé. J'ai souvent touché du bout des lèvres la coupe...aux communes, et les autres seulement pour miennes. Quand je luis... je me consume. Mon esprit aime à v oyager dans des espaces ouverts , et à se jouer... | |
 | Joseph Joubert - 1842 - 442 pages
...fonder. Le ciel n'avait donné de la force à mon esprit; que pour un temps, et ce temps est passé. J J'ai souvent touché du bout des lèvres la coupe...aux communes , et les autres seulement pour miennes. Quand je luis... . je me consume. •> Mon esprit airne à voyager dans des espaces ouverts, et à... | |
 | Periodicals - 1862 - 648 pages
...semer, mais non pas à bâtir et à fonder. — Le ciel n'a mis dans mon intelligence que des rayons — Je suis comme une harpe éolienne, qui rend quelques beaux sons, mais qui n'exécute aucun air — J'ai souvent touché du bout des lèvres la coupe ou était l'a/tondance; mais c'est une eau qui... | |
 | Ed - 1908 - 488 pages
...Montaigne, impropre au discours continu " ; and once more, pointing his meaning with a simile this time : " Je suis comme une harpe éolienne, qui rend quelques...aucun air. Aucun vent constant n'a soufflé sur moi." He was open, perhaps to an unusual degree, to external promptings, and this may have been one element... | |
 | Joseph Joubert - Authors, French - 1914 - 236 pages
...fui. » « Je suis propre à semer, mais non pas à bâtir et à fonder. » « Je suis, je l'avouerai, comme une harpe éolienne qui rend quelques beaux sons, mais qui n'exécute aucun air. » En revanche, et si le talent d'expression ne trahit pas trop la pensée qu'il sert, on risque d'écrire... | |
 | Werner Krauss - Literary Collections - 1997 - 816 pages
...eine ewig schwankende Seele verhärtet: „Je suis comme une harpe éolienne", sagte Joubert von sich, „qui rend quelques beaux sons, mais qui n'exécute...aucun air. Aucun vent constant n'a soufflé sur moi" („Ich bin wie eine äolische Harfe" — sagte Joubert von sich — „welche manchmal schöne Töne... | |
 | François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1910 - 990 pages
...fui. » « Je suis propre à semer, mais non pas à bâtir et à fonder. » « Je suis, je l'avouerai, comme une harpe éolienne qui rend quelques beaux sons, mais qui n'exécute aucun air. » vn revanche, et si le talent d'expression ne trahit pas trop la mséc qu'il sert, on risque d'écrire... | |
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J'ai souvent touché du bout des lèvres la coupe où était l'abondance ; mais c'est une eau/ qui m'a toujours fui. Je suis comme une harpe éolienne , qui rend quelques beaux sons, mais qui n'exécute aucun air. 