« Joubert me disait encore : « Il y a dans tout votre ouvrage une circulation qui anime tout. On voit la vie et le sang partout. Il y a de l'harmonie de pensée et de l'harmonie pour l'oreille. >> Nous arrêtons ici ces extraits. Ceux qui voudront étudier de plus près le milieu littéraire dans lequel vivait M. Joubert et la façon dont se jugeaient entre eux ces illustres amis devront se reporter au livre de M. Sainte-Beuve et à la Correspóndance de M. Joubert lui-même. FIN. TABLE ANALYTIQUE DES PENSÉES, MAXIMES ET ESSAIS. (Le chiffre arabe indique la page; le chiffre romain marque la Leur vice réel et leur effet, 155, xxvIII. Nécessaires comme les métaphores, XXIX. — Leur abus, xxx. - Leur difficulté, 156, xxx1.- Actions (bonnes). -- - Mises au rang des belles pensées, 16, xxvIII. - Penser à Dieu est une action, 19, XLVI. — Inefficacité des bons mouvements, 73, LXXV. — Sont un progrès, LXXVI. On doit en faire, LXXIX. Les faire soi-même, LXXX. Faire du bien et faire plaisir; quand, LXXXI. - -Agir beaucoup, parler peu, 110, LXXIII. - Innocente mais non louable, 119, xx. - Nous rendent chaque jour De qui on doit l'espérer, 69, XLVII. - La multitude des affections élargit le cœur, 71, Lx et LXI. -Les affections philosophiques le dessèchent, LXII. - Affectation. Chez l'écrivain tient surtout aux mots, 308, XXXVIII. Un seul peut recevoir les semences de la religion, 87, vII.- Bonheur - Voir Son. Air (1'). Est sonore, 164, xxiii. Son tremblotement en été, xxix. (Chant) à quels sentiments convient l'air périodique, 262, XLIX. Aimer.- Aimer Dieu et se faire aimer de lui, 19, XLIII. Aimer ses ennemis, XLIV. Aimer Dieu, ses dons et ses refus, XLVII. — Les jansénistes et les jésuites, 35, cxXXII. - Dieu aime l'âme, 35, XLVIII et 38, III. — Ce que nous aimons malgré nous, ne pas l'aimer par choix, ibid. Ceux qui aiment toujours n'ont pas le loisir de se plaindre, 68, xxxII.- Pourquoi il faut se faire aimer, 69, XLVI. - On aime ceux qu'on craint, 69, XLIX et 70, L. Châtiment de ceux qui ont trop aimé, LII. — Qui mérite d'être aimé, 71, LXIV. — Voir Amitié, Affection, Amour. Alembert (d').— Son style géométrique, 371, LVII. Ame. Celle de la mort est odieuse à mettre sur la tombe de nos amis, Forçat condamné par la nature aux galères du Permesse, 379, Est impitoyable, 75, xcvII. - Ne peut se mouvoir sans sentir Dieu, 12, v. — Immortelle, 14, xvii. -Toujours vivante, et plus encore après la mort, xvIII.- Dieu en fait ses délices, 19, XLVIII, 38, III. - -Est une vapeur allumée, 45, xvI. — Est aux yeux ce que la vue est au toucher, xvII. — A ses plaisirs dans les sens, XVIII. - Sans ailes et sans pieds, xix. - Aime le bien, 46, xx.- Il faut la colorer, la parfumer, xxi. — Son atmosphère, xxII. — Est invariable, xxiv. Sentir son âme bonne, 67, xxx. Région où l'orgueil ne peut atteindre, 74, xc.— Meilleure que nous-mêmes, 87, vi. - - Les âmes douces ménagent et se ménagent, 111, LXXXII. Ce qu'elle est et ce qu'elle fait chez l'écrivain, 301, III. — Ce qu'elle produit en poésie et en éloquence, 302, iv. Aménité. Est un billet d'invitation qui circule toute l'année, 104, xxxI. Améric-Vespuce. Son caractère, 200, LXXXVII. Amis, Amitiés. Les cultiver en soi, 68, xxxIII. Les voir en beau, xxxiv, XXXV, XXXVI. — C'est le cœur qui juge, xxxvII. — Ses faiblesses et ses forces, XXXVIII. Amitié et estime, xxxIx. Ne pouvoir hair ceux qu'on ne peut aimer, XL. Le temps calme les ivresses, 69, XLII. — Voir Aimer, Amour, Affection. - Amour. Amour de soi et amour des autres, 18, XLII. — Est tout, en morale comme en religion, 19, XLIII. - L'amour des corps sépare les âmes de Dieu, 38, III.- Amours secrets se trahissent, 70, LVI. L'amour que nous portent les anges, 72, LXIX. — N'en point faire une thèse en plaçant dans la tète ce qui doit être dans le cœur, 235, xv. L'ancienne prose française fut modifiée par son style, 360, 1. — Sa traduction est devenue un livre original, 361, II. Avaient besoin Anciens. - Les anciens et les modernes, 203, 1. — - Patria et patrie, 11. — Liberté, dominium, 204, 111. — Spiritualisés par leur poésie, Iv. — de la vertu, v. — Ce qu'ils demandaient à leurs dieux, vi. -Leur mépris des injures, 205, x. Leur sensibilité, xI. gratuite, XII. Leurs genres de beau, 206, XIII. - Beauté Plus difficile d'être un moderne, xvII.— - Délicats, 207, XIX. Leur politesse, vii. du naturel, xv. — Exercice pour con - server les forces, xx. - Leur méthode d'invention, xx1. Leur style, xxii. Se servaient du mot vague, 208, xxIII. Ne savaient pas nettement ce qu'ils pensaient, xxv. — Leur goût, ibid. Ce qu'ils disaient d'un discours trop orné, XXVI. Avaient l'esprit plus à l'aise, 210, xxxII. -Leur langage, xxxIII. Leurs livres, xxxiv.- Emploient leur autorité, 211, xxxv.-Les lire lentement, xxxvII. - Comment ils regardaient les fautes des grands écrivains, xxxIx. - Ce n'est pas la faute de l'auteur, mais du temps, XL. L'estime qu'ils faisaient des lettres, 212, XLI.- Déplissaient et déployaient tout, XLII. Une gauche et une droite dans toute œuvre, 213, XLIII. Comment procède chez eux la pensée, XLIV. Avaient plus de dignité dans l'esprit, xLv. Non dressé à l'effort, XLVII. — Abondant en figures, 214, XLVIII.-Éloquents, pourquoi? 225, LIX.-Voir Grecs, Romains, Antiquité. Angleterre.- Sa situation, 198, LXXVII. Ses idées métaphysiques ont tout obscurci, LXXVIII. — Ce que sont les Anglais pour leur pays, LXXIX. - Le peuple anglais, LXXX. — Son éducation, LXXXI. Animal.. Anson. Son roi, LXXXII. Commence chez l'homme au-dessous de la tête, 43, vi. De quoi elle se compose, 162, VII. Voyagea avec faste, 200, LXXXVIII. Antiquité. · - Tit. xvII, p. 203 à 214. La saine et la délirante, 206, xvIII. - Les ruines et les reconstructions, 211, xxxvIII. qu'elle cause, xxiv. Doit peindre les hommes, 251, xxi. Classe les dialogues de Platon dans les poésies épiques, 345, xIx. Le savoir a découlé de lui comme d'une source, 346, xxII. Il y a en lui Son style, xxIV. exactitude, facilité, profondeur, clarté, xxIII. Arnauld (l'abbé). Donne de la littérature grecque une idée fausse, 361, III. Arts, Art. Comment on les doit Son objet, 11. Ce qu'il est, 247, 1. — Est considérer, III. — Doit prétendre aux effets de l'intelligence, 249, vIII. — inutile si le beau ne s'y trouve pas, 249, 1x. - L'illusion sur un fond vrai, x. — Ce qu'on doit en Beaucoup d'art pour que les beautés y soient naturelles, x1. — · Pourquoi il faut bannir, XII. — Un ouvrage de l'art doit être un être, XIII. — une symétrie, 250, xiv. - Y être naturel pour y être sincère, 251, xvIII. trois âges, xx. — Idée inconnue à l'art ancien produite par la religion, 258, Athéniens. Douceur de leurs mœurs, 205, Ix. - Étaient délicats, 207, xix. - Avaient l'esprit naturellement noble, 213, xlvi. Attention. - Sert d'accompagnement, 108, LXII. d'autrui, LXIII. Est d'étroite embouchure, 270, LXXIX. dans la lecture, 332, CLXXV. Fait fleurir les pensées Augustin (saint). — Est le Platon de la théologie, 350, 1. Auteur 1') fait son portrait, 1 à 10. Ce qu'elle doit voir Chacun a son dictionnaire, 285, LXII. |