| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - French letters - 1790 - 448 pages
...ravie. Nos pauvres Bas-Bretons s'attroupent quarante , cinquante par les champs ; et dès qu'ils voient les soldats, ils se jettent à genoux , et disent meâ culpâ : c'est le seul mot de français qu'ils sachent; comme nos François qui disoient qu'en Allemagne le seul mot de latin qu'on... | |
| 1821 - 526 pages
...de Trianon ». (i) Ces bonnets bleus sont les habitans des côtes de Léon , vets, v ' Lesnevon. ) Depuis chancelier de France. ! • Dans une autre...soldats , ils se jettent à genoux et disent meâ y culpâ. C'est le seul mot de François qu'ils sçachent , » comme nos François qui disoient qu'en... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1823 - 548 pages
...qu'on nous vient d'apprendre, s'attroupent quarante, cinquante par les champs; et dès qu'ils voient les soldats, ils se jettent à genoux, et disent meâ culpâ : c'est le seul mot de français qu'ils sachent; comme nos François qui disoient qu'en Allemagne, le seul mot de latin qu'on... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1823 - 520 pages
...qu'on nous. vient d'apprendre, s'attroupent quarante, cinquante par les champs; et dès qu'ils voient les soldats, ils se jettent à genoux, et disent meâ culpâ : c'est le seul mot à.% françois qu'ils sachent ; comme nos François qui disoient qu'en Alle-, magne, le seul mot de... | |
| Pierre Antoine Noël Bruno Daru - 1826 - 432 pages
...« Nos pauvres bas Bretons s'attroupent quarante, cinquante par les champs, et, dès qu'ils voient les soldats, ils se jettent à genoux, et disent meâ culpâ: c'est le seul mot de François qu'ils sachent ; on ne laisse pas de les pendre. Ils demandent à boire et du tabac, et qu'on les dépêche;... | |
| A. F. Couturier de Vienne - Civil law - 1845 - 588 pages
...hommes. «Nos pauvres Bas-Bretons s'attroupent quarante , cinquante par les champs, et dès qu'ils voient les soldats, ils se jettent à genoux , et disent meâ culpâ; c'est le seul mot de francais qu'ils sachent. » (Lettre du 24 septembre 1675.) « M. de Chaulnes està Rennes avec quatre... | |
| Lyon (France) - 1849 - 800 pages
...n'avait pas su combattre. « Nos pauvres Bas« Bretons, raconte madame de Sévigné, s'attroupent par quarante, « cinquante, par les champs, et dès qu'ils...les soldats, ils se •< jettent à genoux et disent : Meà culpû...Qn ne laisse pas de pendre •• ces pauvres Bas-Bretons. Ils demandent à boire et... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1861 - 542 pages
...qu'on nous vient d'apprendre, s'attroupent quarante, cinquante par les champs ; et dès qu'ils voient les soldats, ils se jettent à genoux et disent meâ culpâ : c'est le seul mot de françois qu'ils sachent; comme nos François qui disoient qu'en Allemagne le seul mot de latin qu'on disoit à la messe,... | |
| Eugène Pelletan, Pierre Eugène Pelletan - France - 1861 - 516 pages
...toujours madame » de Sévigné, s'attroupent quarante, cinquante par » les champs, et dès qu'ils voient les soldats, ils se » jettent à genoux et disent meâ culpâ, c'est le seul » mot français qu'ils sachent. On ne laisse pas de » pendre ces pauvres Bas-Bretons ; ils demandent à... | |
| Octave Noël - Finance, Public - 1881 - 544 pages
...écrivait madame de Sévigné, S'attroupent quarante, cinquante par les champs, et, dès qu'ils voient les soldats, ils se jettent à genoux et disent meâ culpâ; c'est le seul mot de français qu'ils sachent; on ne laisse pas de les pendre. Ils demandent à boire et du tabac et qu'on... | |
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