| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - Cambrai, France - 1787 - 706 pages
...langue, pour enhardir notre poésie, et pour dénouer notre versification naissante. Mais, en fait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu...l'usage. . .L'excès choquant de Ronsard nous a un peu jettés dans l'extrémité opposée : on a appauvri, desséché et gêné notre langue. Elle n'ose... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - Cambrai, France - 1787 - 742 pages
...langue, pour enhardir notre poésie, et pour dénouer notre versification naissante. Mais, en fait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu...multitude. La singularité est dangereuse en tout: ellene peut être excusée dans les choses qui ne dépendent que de l'usage. L'excès choquant de Ronsard... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - Oratory - 1787 - 420 pages
...naiflante. Mais en fait de LanËue, on ne vient à bout de rien ms l'aveu des hommes pour lefquels on parle. On ne doit jamais faire deux pas à la fois , & il faut s'arrêter , dès qu'on ne fe voit pas fuivi de la multitude. La fingularité eft dangereufe... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - French literature - 1810 - 474 pages
...langue , pour enhardir notre poésie , et pour dénouer notre \ersilication naissante. Mais , en fait de langue , on ne vient à bout de rien sans l'aveu...hommes pour lesquels on parle. On ne doit jamais faire deUK pas à la fois ; et il faut s'arrêter dès qu'on ne se voit pas suivi de la multitude. La singularité*... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1824 - 506 pages
...langue, pour enhardir notre poésie, et pour dénouer notre versification naissante. Mais, en fait de langue , on ne vient à bout de rien sans l'aveu...l'usage. L'excès choquant de Ronsard nous a un peu jetes dans l'extrémité opposée : on a appauvri , desséché et gêné notre langue. Elle n'ose jamais... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1825 - 466 pages
...langue, pour enhardir notre poésie, et pour dénouer notre versification naissante. Mais, en fait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu...faut s'arrêter dès qu'on ne se voit pas suivi de la multitude..La singularité est dangereuse en tout; elle ne peut être excusée dans les choses qui... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1857 - 590 pages
...Od. lib. iv , od. m , vi Tel que le noble oiseau ministre du tonnerre. liABU. en fait de langue, cm ne vient à bout de rien sans l'aveu des hommes pour...ne dépendent que de l'usage. L'excès choquant de Bonsard nous a un peu jetés daus l'extrémité opposée : on a appauvri , desséché et gêné notre... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1857 - 444 pages
...langue, pour enhardir noire poésie, et pour dénouer notre versification naissante. Mai?, en fait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu...dès qu'on ne se voit pas suivi de la multitude;. La singularilé est dangereuse en lout : elle ne peut être excusée dans les choses qui ne dépendent... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - France - 1857 - 440 pages
...langue, pour enhardir notre poésie, el pour dénouer notre versification naissante. Mais, en fait de langue, on ne vient à bout de rien sans l'aveu...hommes pour lesquels on parle. On ne doit jamais faire denx pas à la fois; et il faut s'arrêter dès qu'on ne se voit pas suivi de la multitude. La singularité... | |
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