Œuvres, Volume 2 |
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Page 82
... fruit . Des soutiens de notre espérance Protégez toujours la naissance ; Et secondez les saintes loix Que l'hymen doit à la prudence Des conservateurs de ses droits . Ainsi puissent après vingt lustres Revenir ces jours fortunés , Ces ...
... fruit . Des soutiens de notre espérance Protégez toujours la naissance ; Et secondez les saintes loix Que l'hymen doit à la prudence Des conservateurs de ses droits . Ainsi puissent après vingt lustres Revenir ces jours fortunés , Ces ...
Page 102
... fruits de nos riches campagnes , Du Laboureur grossier tu reçois le tribut ; Il est tems que ces lieux plus dignement t'adorent ; Qu'à leur tour ils honorent Ton plus noble attribut , ( 4 ) L'Art de la Guerre , Poëme Héroïque ...
... fruits de nos riches campagnes , Du Laboureur grossier tu reçois le tribut ; Il est tems que ces lieux plus dignement t'adorent ; Qu'à leur tour ils honorent Ton plus noble attribut , ( 4 ) L'Art de la Guerre , Poëme Héroïque ...
Page 109
... joug de l'erreur nos peuples s'affranchissent ; Triomphans à leur tour les arts nous enrichissent De leurs biens , de leurs fruits plus précieux que l'or ; Et par - tout excités par d'utiles exemples , Nous LIVRE III , ODE VI 109.
... joug de l'erreur nos peuples s'affranchissent ; Triomphans à leur tour les arts nous enrichissent De leurs biens , de leurs fruits plus précieux que l'or ; Et par - tout excités par d'utiles exemples , Nous LIVRE III , ODE VI 109.
Page 115
... D'où naissent les fruits & les fleurs , Le soleil au bruit du tonnerre , Nous annonce ainfi son retour ; Et le ciel abreuvant la terre , Dans tous les Hij LIVRE III , ODE VIII . 115 Pour chanter les bords de Blandufe ...
... D'où naissent les fruits & les fleurs , Le soleil au bruit du tonnerre , Nous annonce ainfi son retour ; Et le ciel abreuvant la terre , Dans tous les Hij LIVRE III , ODE VIII . 115 Pour chanter les bords de Blandufe ...
Page 119
... la sève la plus pure Rassemble un fertile trésor . > Tandis que l'oranger timide Sous les voûtes que je construis , Cachera ses fleurs & ses fruits Qu'autrefois lui ravit Alcide H iv LIVRE III , ODE X. 119 Qu'une sauvage morale, ...
... la sève la plus pure Rassemble un fertile trésor . > Tandis que l'oranger timide Sous les voûtes que je construis , Cachera ses fleurs & ses fruits Qu'autrefois lui ravit Alcide H iv LIVRE III , ODE X. 119 Qu'une sauvage morale, ...
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Common terms and phrases
aimable amour Anacréon Apollon arts asyle autels avoit beau bonheur bords brillant bruit C'est-là céleste Cérès champs chants char charme château d'If cher Ciel Cieux cœur combats connoître course cruels Déesse déja desirs Dieu Dieux digne divine douceur doux enfans ÉPITRE esprit étoient étoit fleurs flots foible foiblesse fruits gloire goût grace Grèce Guerriers Héros heureux Homère hommes Iliad immortels Isaure jamais jeux jours Junon Jupiter l'Ambrosie l'ame l'amour l'art l'éclat l'hymen l'Iliade l'onde l'univers lieux LIVRE loix long-tems lyre Madame Madame Dacier main maître maux Melpomène mœurs mort mortels Muse n'étoit Nectar Neptune neuf Sœurs nuit Nymphes obscure ondes paix par-tout parfum Pélops père Pétrarque peuple philosophie Pindare plaine plaisirs pleurs Poëtes pure qu'un rivage Rois sage sagesse saint sang Scholiaste séjour seul siècle sort sublime systême talens Tantale temple tems tendre terre tonnerre trésors triomphes triste vainqueur vertu Virgile voix Vulcain yeux καὶ ככ
Popular passages
Page 381 - Nous fûmes donc au château d'If : C'est un lieu peu récréatif, Défendu par le fer oisif De plus d'un soldat maladif, Qui, de guerrier jadis actif, Est devenu garde passif.
Page 382 - D'un parent peu persuasif. Le pauvre prisonnier pensif, A la triste lueur du suif, Jouit, pour seul soporatif, Du murmure non lénitif Dont l'élément rébarbatif Frappe son organe attentif. Or, pour être mémoratif De ce domicile afflictif, Je jurai d'un ton expressif De vous le peindre en rime en if. Ce fait, du roc désolatif Nous sortîmes d'un pas hâtif, Et rentrâmes dans notre esquif, En répétant d'un ton plaintif: Dieu nous garde du château d'If!
Page 379 - N'ont jamais vu pendant trois heures, Le soleil pur quatre fois l'an ; Le Lapon qui naît dans la neige ; Le Moscovite, le Suédois, Et l'habitant de la Norvège Qui souffle toujours dans ses doigts. Là tout esprit qui veut s'instruire Prend de nouvelles notions. D'un coup d'œil on voit, on admire, Sous ce millier de pavillons.
Page 88 - D'une brillante et triste vie Rousseau quitte aujourd'hui les fers; Et, loin du ciel de sa patrie, La mort termine ses revers.
Page 87 - Moatauban le 1" novembre 1784. LA MORT DE J.-B. ROUSSEAU. Quand le premier chantre du monde Expira sur les bords glacés Où l'Ebre, effrayé dans son onde, Reçut ses membres dispersés, Le Thrace errant sur les montagnes Remplit les bois et les campagnes Du cri perçant de ses douleurs ; Les champs de l'air en retentirent, Et dans les antres qui gémirent Le lion répandit des pleurs.
Page 165 - Mon amitié sent tes malheurs. Mais que pourrait son assistance ? Dieu te donnera la constance. Tu n'auras de moi que des pleurs. Tu sais trop qu'un chrétien fidèle, Du sang et de la chair rebelle Brave en héros l'assaut cruel. Il étouffe, leur triste guerre , Et tout ce qu'il perd sur la terre , Il le regagne pour le Ciel.
Page 91 - Insulter par des cris sauvages , l'astre éclatant de l'univers. Cris impuissans ! fureurs bizarres! Tandis que ces monstres barbares Poussoient d'insolentes clameurs , Le dieu, poursuivant sa carrière, Versoit des torrens de lumière Sur ces obscurs blasphémateurs.
Page 331 - Si je marche avec toi, fais-moi la grace entière De te suivre jusqu'à la fin; Si je m'égare, ta lumière Doit me remettre au bon chemin. Quelques biens qu'à mon cœur ta sagesse dénie, Ou que m'accorde ta bonté , Sauve-moi du murmure impie , Et de la folle vanité. Fais que de mon prochain je plaigne les souffrances } Toujours lent à le condamner; Et pardonne-moi mes offenses, Pour mieux m'apprendre à pardonner. Tout retrace aux mortels le néant de leur être; Mais ils sont l'œuvre de tes...
Page 378 - Dedans ces murs qu'on ne peut trop vanter. Si Dieu les fit ou tendres ou cruelles, Sur ce point-là je ne puis vous citer Discours, chansons, chroniques ni nouvelles : Fors que pourtant je dois vous attester, Sur le récit de maints auteurs fidèles, Que point ne faut séjourner avec elles , Si l'on ne veut long-tems les regretter. Aussi, Madame, prîmes-nous notre parti en gens de précaution. Nous ne demeurâmes que deux jours & demi à Aix.
Page 219 - Public déformais faiciné par ies guides , Ne veut qu'être ébloui par des éclairs rapides. Amoureux du bizarre , avide du nouveau , Et pour comble d'erreur , ennemi du vrai beau.