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VI. Par quelle raison le prix de l'usure diminua de la moitié lors de la découverte des Indes.

-VII. Comment le prix des choses se fixe dans la variation des richesses de signe.

VIII. Continuation du même sujet. IX. De la rareté relative de l'or et de l'argent.

X. Du change. - XI. Des opérations que les Romains firent sur les monnoies. -XII. Cir-

constances dans lesquelles les Romains firent leurs opérations sur la monnoie. XIII. Opé-

rations sur les monnoies du temps des empereurs, XIV. Comment le change gêne les

États despotiques. XV. Usage de quelques pays d'Italie. XVI. Du secours que l'État

peut tirer des banquiers. XVII. Des dettes publiques. -XVIII. Du payement des dettes

publiques. XIX. Des prêts à intérêt. XX. Des usures maritimes. XXI. Du prêt par

contrat, et de l'usure chez les Romains. - XXII. Continuation du même sujet. Page 351 à 378

LIVRE XXIII. -Des lois dans le rapport qu'elles ont avec le nombre
des habitants.

I. Des hommes et des animaux, par rapport à la multiplication de leur espèce. -II. Des ma-

riages. III. De la condition des enfants. IV. Des familles. V. De divers ordres de

femmes légitimes. - VI. Des båtards dans les divers gouvernements. VII. Du consente-

ment des pères en mariage. VIII. Continuation du même sujet. IX. Des filles. X. Ce

qui détermine au mariage. - XI. De la dureté du gouvernement. XII. Du nombre des

filles et des garçons dans différents pays. XIII. Des ports de mer. XIV. Des productions

de la terre qui demandent plus ou moins d'hommes. XV. Du nombre des habitants par

rapport aux arts. XVI. Des vues du législateur sur la propagation de l'espèce. - XVII. De

la Grèce, et du nombre de ses habitants. XVIII. De l'état des peuples avant les Romains.

-XIX. Dépopulation de l'univers. XX. Que les Romains furent dans la nécessité de faire

des lois pour la propagation de l'espèce. XXI. Des lois des Romains sur la propagation

de l'espèce. XXII. De l'exposition des enfants. XXIII. De l'état de l'univers après la

destruction des Romains. XXIV. Changements arrivés en Europe par rapport au nombre

des habitants. XXV. Continuation du même sujet. XXVI. Conséquences. XXVII. De

la loi faite en France pour encourager la propagation de l'espèce.

XXVIII. Comment on

peut remédier à la dépopulation. XXIX. Des hôpitaux.

Des religions en général. II. Paradoxe de Bayle. III. Que le gouvernement modéré

convient mieux à la religion chrétienne, et le gouvernement despotique à la mahometane.-

IV. Conséquences du caractère de la religion chrétienne et de celui de la religion mahométane.

-V. Que la religion catholique convient mieux à une monarchie, et que la protestante s'ac-

commode mieux d'une republique. - VI. Autre paradoxe de Bayle. VII. Des lois de per-

fection dans la religion. VIII. De l'accord des lois de la morale avec celles de la religion.

- IX. Des Esséens. X. De la secte stoïque. XI. De la contemplation. - XII. Des peni-
tences. XIII. Des crimes inexpiables. XIV. Comment la force de la religion s'applique

à celle des lois civiles. XV. Comment les lois civiles corrigent quelquefois les fausses reli-

gions. XVI. Comment les lois de la religion corrigent les inconvénients de la constitution

politique. XVII. Continuation du même sujet. -XVI. Comment les lois de la religion

ont l'effet des lois civiles. XIX. Que c'est moins la vérité ou la fausseté d'un dogme qui le

rend utile ou pernicieux aux hommes dans l'état civil, que l'usage ou l'abus que l'on en fait.

- XX. Continuation du même sujet. - XXI. De la metempsycose. XXII. Combien il est

dangereux que la religion inspire de l'horreur pour des choses indifférentes. - XXIII. Des

fêtes. - XXIV. Des lois de religion locales. - XXV. Inconvenient du transport d'une religion

d'un pays à un autre. XXVI. Continuation du même sujet.
Page 403 à 419

-

III. Des lois civiles qui sont
contraires à la loi naturelle. IV. Continuation du même sujet. V. Cas où l'on peut
juger les principes du droit civil, en modifiant les principes du droit naturel. VI. Que
l'ordre des successions depend des principes du droit politique ou civil, et non pas des prin-
cipes du droit naturel VI. Qu'il ne faut point décider par les préceptes de la religion
lorsqu'il s'agit de ceux de la loi naturelle - VIII. Qu'il ne faut pas regler par les principes
du droit qu'on appelle canonique les choses réglées par les principes du droit civil. -
IX. Que les choses qui doivent être réglées par les principes du droit civil peuvent rarement

l'être par les principes des lois de la religion. X. Dans quel cas il faut suivre la loi civile qui permet, et non pas la loi de la religion qui défend. XI. Qu'il ne faut point régler les tribunaux humains par les maximes des tribunaux qui regardent l'autre vie. XII. Continuation du même sujet. XIII. Dans quel cas, il faut suivre, à l'égard des mariages, les lois de la religion, et dans quel cas il faut suivre les lois civiles. - XIV. Dans quel cas, dans les mariages entre parents, il faut se régler par les lois de la nature, dans quel cas on doit se régler par les lois civiles. XV. Qu'il ne faut point régler par les principes du droit politique les choses qui dépendent du droit civil. XVI. Qu'il ne faut point décider par les règles du droit civil, quand il s'agit de decider par celles du droit politique. -XVII. Continuation du même sujet. — XVIII. Qu'il faut examiner si les lois qui paraissent se contredire sont du même ordre. - XIX. Qu'il ne faut pas decider par les lois civiles les choses qui doivent l'être par les lois domestiques. — XX. Qu'il ne faut pas décider par les principes des lois civiles les choses qui appartiennent au droit des gens. XXI. Qu'il ne faut pas décider par les lois politiques les choses qui appartiennent au droit des gens. XXII. Malheureux sort de l'inca Athualpa. — XXIII Que lorsque, par quelque circonstance, la loi politique détruit l'Etat, il faut décider par la loi politique qui le conserve, qui dévient quelquefois un droit des gens. XXIV. Que les règlements de police sont d'un autre ordre que les autres lois civiles. XXV. Qu'il ne faut pas suivre les dispositions generales du droit civil, lorsqu'il s'agit de choses qui doivent être soumises à des règles particulières tirées de leur propre Page 433 à 454

nature.

LIVRE XXVII. ·
- De l'origine et des révolutions des lois des Romains
sur les successions.

CHAPITRE UNIQUE. Des lois romaines sur les successions.

Page 454 à 464

LIVRE XXVIII.— De l'origine et des révolutions des lois civiles chez les Français. I. Du différent caractère des lois des peuples germains. -II. Que les lois barbares furent toutes personnelles. — III. Difference capitale entre les lois saliques et les lois des Wisigoths et des Bourguignons. IV Comment le droit romain se perdit dans le pays du domaine des Francs, et se conserva dans le pays du domaine des Goths et des Bourguignons. V. Continuation du même sujet. VI. Comment le droit romain se conserva dans le domaine des Lombards. VII. Comment le droit romain se perdit en Espagne. — VIII. Faux capitulaire IX. Comment les codes des lois des baruares et les capitulaires se perdirent. -X. Continuation du même sujet. X) Autres causes de la chute des codes des lois des barbares, du droit romain, et des capitulaires. -XII. Des coutumes locales; révolution des lois des peuples barbares et du droit romain. -XI. Difference de la loi salique ou des Francs saliens d'avec celle des Franes ripuaires et des autres peuples barbares. - XIV. Autre difference. XV. Reflexion. - XVI. De la preuve par l'eau bouillante, établie par la loi salique. XVII. Manière de penser de nos pères. - XVIII Comment la preuve par le combat s'étendit.-XIX. Nouvelle raison de l'oubli des lois saliques, des lois romaines, et des capitulaires. XX. Origine du point d'honneur. - XXI. Nouvelle réflexion sur le point d'honneur chez les Germains. XXII. Des mœurs relatives aux combats. - XXIII. De la jurisprudence du combat judiciaire. XXIV. Règles établies dans le combat judiciaire. XXV. Des bornes que l'on mettoit à l'usage du combat judiciaire. XXVI. Du combat judiciaire entre une des parties et un des témoins.-XXVII. Du combat judiciaire entre une partie et un des pairs du seigneur. Appel de faux jugement. - XXVIII. De l'appel de défaute de droit. - XXIX. Epoque du règne de saint Louis. XXX. Observation sur les appels. XXXI. Continuation de même sujet. XXXII. Continuation du même sujet. XXXIII. Continuation du même sujet. XXXIV. Comment la procédure devint secrète. XXXV. Des dépens. XXXVI. De la partie publique. XXXVII. Comment les Etablissements de saint Louis tombèrent dans l'oubli. - XXXVIII. Continuation du même sujet. XXXIX. Continuation du même sujet. XL. Comment on prit les formes judiciaires des décrétales. - XLI. Flux et reflux de la juridiction ecclésiastique et de la juridiction laïque. XLII. Renaissance du droit romain, et ce qui en résulta. Changement dans les tribunaux. - XLIII. Continuation du même sujet.-XLIV. De la preuve par témoins. XLV. Des coutumes de France. Pages 464 à 523

LIVRE XXIX. - De la manière de composer les lois.

I. De l'esprit du législateur. II. Continuation du même sujet. III. Que les lois qui pa roissent s'éloigner des vues du législateur y sont souvent conformes. - IV. Des lois qui choquent les vues du legislateur. V. Continuation du même sujet. VI. Que les lois qui paroissent les mêmes n'ont pas toujours le même effet. VII. Continuation du même sujetNécessité de bien composer les lois. VIII. Que les lois qui paroissent les mêmes n'on. pas toujours eu le même motif. IX. Que les lois grecques et romaines ont puni l'homicidet de soi-même, sans avoir le même motif. X. Que les lois qui paroissent contraires dérivent quelquefois du même esprit. XI. De quelle manière deux lois diverses peuvent être comparées. XII. Que les lois qui paroissent les mêmes sont quelquefois réellement differentes. -XIII. Qu'il ne faut point separer les lois de l'objet pour lequel elles sont faites. Des lois romaines sur le sol. XIV. Qu'il ne faut point séparer les lois des circonstances dans lesquelles elles ont été faites. XV. Qu'il est bon quelquefois qu'une loi se corrige elle-même. -XVI. Choses à observer dans la composition des lois. XVII. Mauvaise manière de donner des lois. XVIII. Des idées d'uniformité. - XIX. Des législateurs.

Page 524 à 539

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LIVRE XXX.-Théorie des lois féodales chez les Francs, dans le rapport qu'elles ont avec l'établissement de la monarchie.

I. Des lois féodales. II. Des sources des lois féodales. - III. Origine du vasselage. IV. Continuation du même sujet. V. De la conquête des Francs. VI. Des Goths, des Bourguignons et des Francs. - VII. Differentes manières de partager les terres. VIII. Continuation du même sujet. - IX. Juste application de la loi des Bourguignons et de celle des Wisigoths sur le partage des terres X. Des servitudes. XI. Continuation du même sujet. XII. Que les terres du partage des barbares ne payoient point de tributs. - XIII. Quelles étoient les charges des Romains et des Gaulois dans la monarchie des Franes. - XIV. De ce qu'on appeloit census. XV. Que ce qu'on appeloil census ne se levoit que sur les serfs, et non pas sur les hommes libres. - XVI. Des leudes ou vassaux. — XVII. Du service militaire des hommes libres. — XVIII. Du double service. Compositions chez les peuples barbares. XX. De ce qu'on a appelé depuis la justice des seigneurs. XXI. De la justice territoriale des églises. - XXII. Que les justices eloient établies avant la fin de la seconde race, XXIII. Idée générale de l'Etablissement de la monarchie françoise dans les Gaules, par M. l'abbé Dubos. XXIV. Continuation du même sujet. Reflexion sur le fond du système. - XXV. De la noblesse françoise. Page 538 à 583.

- XIX. Des

LIVRE XXXI. - Théorie des lois féodales chez les Francs, dans le rapport qu'elles ont avec les révolutions de leur monarchie.

1. Changement dans les offices et les fiefs. II. Comment le gouvernement civil fut réformé. -III. Autorite des maires du palais. IV. Quel étoit à l'égard des maires le genie de la nation. V. Comment les maires obtinrent le commandement des armées. - VI. Seconde époque de l'abaissement des rois de la première race. VII. Des grands ofhces et des fiefs sous les maires du palais. VII. Comment les aleux furent changes en fiefs. - IX. Comment les biens ecclesiastiques furent convertis en fiefs. - X. Richesses du clerge. XI. Etat de l'Europe du temps de Charles Martel. XII. Etablissement des dimes. XIII. Des elections aux evèches et abbayes. XIV. Des tiefs de Charles Martel - XV. Continuation du même sujet. - XVI. Confusion de la royauté et de la mairerie. Seconde race. -XVII. Chose particulière dans l'elect.on des rois de la seconde race. - XVIII. Charle magne. XIX. Continuation du même sujet. XX. Louis le Debonnaire XXI Conti nuation du même sujet. -- XXII. Continuation du même sujet. - XXIII. Continuation du même sujet. - XXIV. Que les hommes libres furent rendus capables de posseder des fiefs. - XXV. Cause principale de l'affaiblissement de la seconde race. Changement dans les aleux. XXVI. Changement dans les fiefs. - XXVII. Autre changement arrivé dans les fiefs. XXVIII. Changements arrivés dans les grands offices et dans les fiefs, - XXIX. De la nature des fiefs, depuis le règne de Charles le Chauve. XXX. Continuation du même sujet. XXXI. Comment l'Empire sortit de la maison de Charlemagne - XXXII. Comment la couronne de France passa dans la maison de Hugues Capet. XXXIII. Quelques conse quences de la perpetuite des fiefs. XXXIV. Continuation du même sujet. Page 582 à 626.

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FIN DE LA TABLE.

Imprimerie VIEVILLE et CAPIOMONT, rue des Poitevins, 6.

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