De l'esprit des lois, Volume 1Lebigre Frères, 1834 |
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... force et de lu- mière , fut prononcé le 24 janvier 1728. Le dessein que Montesquieu avait formé de peindre les nations dans son Esprit des Lois , l'obligea de les aller étu- dier chez elles . Après avoir parcouru l'Allemagne , 1L . 75 ...
... force et de lu- mière , fut prononcé le 24 janvier 1728. Le dessein que Montesquieu avait formé de peindre les nations dans son Esprit des Lois , l'obligea de les aller étu- dier chez elles . Après avoir parcouru l'Allemagne , 1L . 75 ...
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... y sont unies à la justesse , le brillant au solide , la viva- cité du tour à la force du raisonnement , Mais quel- que esprit et quelque raison qu'il y ait dans cette " défense , l'auteur ne se justifie pas sur tous les SUR MONTESQUIEU . 9.
... y sont unies à la justesse , le brillant au solide , la viva- cité du tour à la force du raisonnement , Mais quel- que esprit et quelque raison qu'il y ait dans cette " défense , l'auteur ne se justifie pas sur tous les SUR MONTESQUIEU . 9.
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... force , et une audace proportionnée à la violence de ses besoins et à ses ressources ? ( a ) Témoin le sauvage qui fut trouvé dans les forêts de Hano- ver , et que l'on vit en Angleterre sous le règne de George Ier . ( 2 ) La première ...
... force , et une audace proportionnée à la violence de ses besoins et à ses ressources ? ( a ) Témoin le sauvage qui fut trouvé dans les forêts de Hano- ver , et que l'on vit en Angleterre sous le règne de George Ier . ( 2 ) La première ...
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... force ; ce qui produit un état de guerre de na- tion à nation . Les particuliers , dans chaque so- ciété , commencent à sentir leur force ; ils cher- chent à tourner en leur faveur les principaux avantages de cette société , ce qui fait ...
... force ; ce qui produit un état de guerre de na- tion à nation . Les particuliers , dans chaque so- ciété , commencent à sentir leur force ; ils cher- chent à tourner en leur faveur les principaux avantages de cette société , ce qui fait ...
Page 27
... forces parti- culières , » dit très - bien Gravina , forme ce qu'on appelle l'état politique . La force générale peut être placée entre les mains d'un LIVRE I , CHAP . II . 27.
... forces parti- culières , » dit très - bien Gravina , forme ce qu'on appelle l'état politique . La force générale peut être placée entre les mains d'un LIVRE I , CHAP . II . 27.
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Common terms and phrases
abus affaires Aristote Athènes aurait avaient besoin blique censeurs chap CHAPITRE VII Chine choses citoyens commerce constitution corps corriger corrompu crainte crimes démocratie Denys d'Halicarnasse Dion divers gouvernemens doit donne égal empereurs enfans éphores esclaves ESPRIT DES LOIS établi états despotiques famille femmes force fortune frugalité galité gens gouvernemens despotiques gouvernement despotique gouvernement monarchique Grecs guerre hommes juge jugemens l'amour l'aristocratie l'égalité l'Esprit des Lois l'état l'honneur Lacédémone législateur liberté lois civiles lois somptuaires luxe Lycurgue magistrats magistrature maxime ment mœurs monar monarchie monarque Montesquieu narchie nature nécessaire nobles noblesse partage particuliers patrie peines père personne peuple Pierre Desfontaines Platon Plutarque politique pouvoir prince principe du gouvernement puissance punir règle religion répu république richesses rien Romains Rome s'il Samnites sénat sénateurs sent serait seul Solon sorte subsister supplices sûreté Tacite Tibère tion Tite-Live toyens trats tribunal tyrannie Venise vertu Voyez Xénophon
Popular passages
Page 29 - ... pasteurs ; elles doivent se rapporter au degré de liberté que la constitution peut souffrir ; à la religion des habitants, à leurs inclinations, à leurs richesses, à leur nombre, à leur commerce, à leurs mœurs, à leurs manières. Enfin elles ont des rapports entre elles ; elles en ont avec leur origine, avec l'objet du législateur, avec l'ordre des choses sur lesquelles elles sont établies. C'est dans toutes ces vues qu'il faut les considérer. C'est ce que j'entreprends de faire...
Page 19 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 169 - Il ne faut point mener les hommes par les voies extrêmes; on doit être ménager des moyens que la nature nous donne pour les conduire. Qu'on examine la cause de tous les relâchements, on verra qu'elle vient de l'impunité des crimes, et non pas de la modération des peines. Suivons la nature, qui a donné aux hommes la honte comme leur fléau, et que la plus grande partie de la peine soit l'infamie de la souffrir.
Page 46 - Le pouvoir intermédiaire subordonné le plus naturel est celui de la noblesse. Elle entre en quelque façon dans l'essence de la monarchie , dont la maxime fondamentale est , « point «de monarque, point de noblesse; point de « noblesse , point de monarque ». Mais on a un despote.
Page 62 - L'honneur fait mouvoir toutes les parties du corps politique ; il les lie par son action même, et il se trouve que chacun va au bien commun, croyant aller à ses intérêts particuliers.
Page 18 - ... je suivais mon objet sans former de dessein ; je ne connaissais ni les règles ni les exceptions ; je ne trouvais la vérité que pour la perdre : mais quand j'ai découvert mes principes, tout ce que je cherchais est venu à moi ; et dans le cours de vingt années, j'ai vu mon ouvrage croître, s'avancer et finir.
Page 225 - La monarchie se perd, lorsque le prince, rapportant tout uniquement à lui, appelle l'État à sa capitale, la capitale à sa cour, et la cour à sa seule personne...
Page 27 - Toutes les nations ont un droit des gens; et les Iroquois même, qui mangent leurs prisonniers, en ont un. Ils envoient et reçoivent des ambassades; ils connaissent des droits de la guerre et de la paix : le mal est que ce droit des gens n'est pas fondé sur les vrais principes.
Page 17 - Si je pouvais faire en sorte que tout le monde eût de nouvelles raisons pour aimer ses devoirs, son prince, sa patrie, ses lois...
Page 121 - Le prince tient à ces ordres ; et les séditieux, qui n'ont ni la volonté ni l'espérance de renverser l'État, ne peuvent ni ne veulent renverser le prince. Dans ces circonstances, les gens qui ont de la sagesse et de l'autorité s'entremettent ; on prend des tempéraments, on s'arrange, on se corrige, les lois reprennent leur vigueur et se font écouter.