| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - Cambrai, France - 1787 - 706 pages
...dans le cardinal d'Ossat, dans les ouvrages les plus enjoués, et dans les plus sérieux : il avoit je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné. On a retranché , si je ne mô trompe, plus de mots qu'on n'en a introduit. D'ailleurs je voudrois n'en perdre aucun, et en acquérir... | |
| Daniel Pétillet - 1801 - 486 pages
...environ depuis cent ans en voulant la purifier „ Le vieux langage se fait regretter ; il avoitje ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif, et de passionné. On a retranché, si je ne me suis trompé , ]>lus de mots qu'on n'en a introduit. Je \oudrois autoriser tout terme qui nous manque... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1810 - 444 pages
...dans le cardinal d'Ossat , dans les ouvrages les plus enjoués et dans les plus sérieux : il avoit je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi , de vif et de passionné. On a retranché, si je ne ine trompe, plus de mots qu'on n'en a introduit. D'ailleurs je voudrais n'en perdre aucun, et en acquérir... | |
| Villemain (M.) - Essayists, French - 1812 - 60 pages
...langage. L'élégant Féné-j Ion lui-même regrettait quelquefois l'idiome de nos pères. Il y trouvait je ne sais quoi de court , de naïf, de hardi, de vif et de passionné. On doit avouer en effet que les privile'ges , ou plutôt les licences du vieux francais , le retranchement... | |
| Villemain (M.) - French literature - 1825 - 474 pages
...langage. L'élégant Fénélon luimêmeYegrettait quelquefois l'idiome de nos pères. Il y trouvait je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné. On doit avouer en effet que les priviléges, ou plutôt les licences du vieux français, le retranchement... | |
| Villemain (M.) - 1830 - 494 pages
...langage. L'élégant Fénélon luimêmeVegrettait quelquefois l'idiome de nos pères. Il y trouvait je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné. On doit avouer en effet que les priviléges , ou plutôt les licences du vieux français , le retranchement... | |
| Ed Mennechet - France - 1836 - 286 pages
...Fénelon , dans sa lettre sur l'Éloquence, trouve « qu'il y avoit dans le vieux langage « a' Amyot, je ne sais quoi de court, « de naïf, de hardi , de vif qui se fait « regretter. » Ces plaintes contre l'usage sont fondées ; on ne retint pas du voen Allemagne,... | |
| Niccolò Tommaseo - France - 1838 - 842 pages
...« une grâce qu'il ne croyait pas pouvoir égaler dans la langue moderne. » Fénélon y trouvait «je ne sais quoi de court, de ~ naïf, de hardi, de vif et de passionné. » Voltaire, lui, était plus absolu dans ses jugements : < Nous sortons à peine d'une barbarie aussi... | |
| Archives - 1840 - 618 pages
...soupçonnées. L'auteur de Télémaque regrettait cependant; dil-il , la langue de nos pères; il y trouvait je ne sais quoi de court, de- naïf, de hardi , de vif et dépassionné. La Fontaine connaissait seul et connaissait bien la langue d'oïl, d'où il u exhumé... | |
| Archives - 1840 - 618 pages
...soupçonnées. L'anleur de Télimaque regrettait cependant, dit-il , la langue de nos pères; il y trouvaille ne sais quoi de court, de naïf, de hardi , de vif et dépassionné. La Fontaine connaissail seul et connaissait bien la langue d'oïl, d'où il a exhumé... | |
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