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qui étoit héréditaire. Tel eft le progrès de leur grandeur, IV. 119 & fuiv. C'est dans les mœurs des Germains qu'il faut chercher la raifon de leur autorité, & de la foibleffe du roi, IV. 123 & fuiv. Comment parvinrent au commandement des armées, IV. 125 & fuiv. Epoque de leur grandeur, IV. 128 & fuiv. Il étoit de leur intérêt de laiffer les grands offices de la couronne inamovibles, comme ils les avoient trouvés, IV. 130 & fuiv. La royauté & la mairie furent confondues à l'avénement de Pépin à la couronne, IV. 158 & fuiv.

Mal vénérien. D'où il nous eft venu: comment on auroit dû en arrêter la communication, II. 52. Malabar. Motif de la loi qui y permet à une feule femme d'avoir plufieurs maris, II. 102.

Malais. Caufes de la fureur de ceux qui, chez eux, font coupables d'un homicide, III. 148. Maldives. Excellente coutume pratiquée dans ces îles, I. 429. L'égalité doit être entiere entre les trois femmes qu'on y peut époufer, II. 105. On y marie les filles à dix & onze ans, pour ne pas leur laiffer endurer néceffité d'hommes, II. 111. On y peut reprendre une femme qu'on a répudiée : cette loi n'eft pas fenfée, II. 117, 118. Les mariages entre parens au quatrieme degré y font prohibés on n'y tient cette loi que de la nature, III. 219. Maltóte. C'eft un art qui ne fe montre que quand les hommes commencent à jouir de la félicité des autres arts, IV. 25. Cet art n'entre point dans les idées d'un peuple fimple, IV. 33.

Mammelus. Leur exemple ne prouve pas que le grand nombre d'efclaves eft dangereux dans un état defpotique, II. 80.

Mandarins Chinois. Leurs brigandages, I. 255. Manieres. Gouvernent les hommes concurremment avec le climat, la religion, les lois, &c. De-là naît l'efprit général d'une nation, II. 189. Gouvernent les Chinois, ibid. Changent chez eux un peuple à mesure qu'il eft fociable, II. 192, 193. Celles d'un état defpotique ne doivent jamais être changées; pourquoi, Il. 198, 199. Différence

qu'il y a entre les mœurs & les manieres, II. 263: Comment celles d'une nation peuvent être formées par les lois, II. 219 & fuiv. Cas où les lois en dépendent, II. 222 & suiv.

MANLIUS. Moyens qu'il employoit pour réuffir dans fes deffeins ambitieux, I. 417.

Manfus. Ce que fignifie ce mot dans le langage des ca◄ pitulaires, IV. 32.

MANUEL COMNENE. Injuftices commifes fous fon regne, fous prétexte de magie, I. 389.

Manufactures. Sont néceffaires dans nos gouverne mens; doit-on chercher à en fimplifier les machines ? III. 81 & fuiv.

MARC-ANTONIN.Sénatus-confulte qu'il fit prononcer touchant les mariages, III. 215.

Marchands. Il eft bon, dans les gouvernemens defpotiques, qu'ils ayent une fauvegarde perfonnelle, II. 14. Leurs fonctions & leur utilité dans un état modéré, II. 19, 20. Ne doivent point être gênés par les difficultés des fermiers, II. 255. Les Romains les rangeoient dans la claffe des plus vils habitans, II. 329. Marchandifes. Les impôts que l'on met fur les marchandifes font les plus commodes & les moins onéreux, II. 9, 10. Ne doivent point être confifqués, même en temps de guerre, fi ce n'eft par repréfailles: bonne politique des Anglois; mauvaife politique des Espagnols fur cette matiere, II. 256. En peut-on fixer le prix ? III. 12, 13. Comment on en fixe le prix dans la variation des richeffes de figne, III. 12 & fuiv. Leur quantité croît par une augmentation de commerce, III. 15.

MARCULPHE. La formule qu'il rapporte & qui traite

d'impie la coutume qui prive les filles de la fucceffion de leurs peres, eft-elle jufte? III. 200 & fuiv. Appelle antruftions du roi, ce que nous appelons fes vaffaux, IV. 44.

Mariage. Pourquoi celui du plus proche parent avec l'héritier eft ordonné chez quelques peuples, I. 89. Il étoit permis à Athenes d'époufer fa four confanguine, & non pas fa fœur utérine : esprit de

Cette loi, ibid. A Lacédémone, il étoit permis d'époufer fa fœur utérine, & non pas fa foeur confanguine, I. 90. A Alexandrie, on pouvoit épou fer fa fœur, foit confanguine, foit utérine, 1. 91. Comment fe faifoit chez les Samnites, I. 222. Utilité des mariages entre le peuple vainqueur & le peuple vaincu, I. 298, 299. Le mariage des peuples qui ne cultivent pas les terres n'eft point indiffoluble; on y a plufieurs femmes à la fois; ou perfonne n'a de femmes, & tous les hommes ufent de toutes, II. 152; 173. A été établi par la néceffité de trouver un pere aux enfans, pour les nourrir & les élever, III. 66, 67. Eft-il juste que les mariages des enfans dépendent des peres III. 73, 74. Etoient réglés à Lacédémone par les feuls magiftrats, ibid. La liberté des enfans, à l'égard des mariages, doit être plus gênée dans les pays où le monachifme eft établi, qu'ailleurs, III. 74, 75. Les filles y font plus portées que les garçons: pourquoi, III. 75, 76. Motifs qui y déterminent, III. 76. Détail des lois romaines fur cette matiere, III. 90-109. Eroient défendus à Rome entre gens trop âgés pour faire des enfans, III. 100. Etoient défendus à Pome entre gens de condition trop inégale : quand ont commencé d'y être tolérés d'où vient notre fatale liberté à cet égard, III. 101 & fuiv. Plus les mariages font rares dans un état, plus il y a d'adulteres, III. 109. Il eft contre la nature de permettre aux filles de fe choifir un mari à fept ans, III. 196, 197. II eft injufte, contraire au bien public & à l'intérêt particulier, d'interdire le mariage aux femmes dont les maris font abfens depuis long-temps, & dont elles n'ont point eu de nouvelles, III. 208, 209. Dans quels cas il faut fuivre, à l'égard des ma¬ riages, les lois de la religion, & dans quels cas il faut fuivre les lois civiles, III. 213 & fuiv. Dans quels cas les mariages entre parens doivent fe régler par les lois de la nature; dans quels cas ils doivent fe régler par les lois civiles, III. 216 & fuiv. Les idées de religion en font contracter d'inceftueux à certains peuples, III. 219, 220. Le

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principe qui le fait défendre entre les peres & les enfans, les freres & les fœurs, fert à découvrir à quel degré la loi naturelle le défend, III. 220&fuiv. Eft permis ou défendu par la loi civile dans les differens pays, felon qu'ils paroiffent conformes ou contraires à la loi de nature, III. 221 & fuiv. Pourquoi permis entre le beaufrere & la belle-four, chez des peuples, & défendu chez d'autres, II. 222, 223. Doit-il être interdit à une femme qui a pris l'habit de religieufe fans s'être confacrée ? III. 431. Toutes les fois qu'on parle de mariaga, doit-on parler de la révélation? D. 273, 274. Marine. Pourquoi celle des Anglois eft fupérieure à celle des autres nations, II. 228, 229. Du génie des Romains pour la marine, II. 326, 327.. Maris. Comment on les nommoit autrefois, III. 334. MARIUS. Coup mortel qu'il porta à la république,

1. 370.

Maroc. Caufes des guerres civiles qui affligent ce royaume à chaque vacance du trône, I. 125. Maroc (Le roi de ). A dans fon férail des femmes de toutes couleurs. Le malheureux! II. 103. Marseille. Pourquoi cette république n'éprouva jamais les paffages de l'abaiffement à la grandeur. 1. 231. Quel étoit l'objet du gouvernement de cette république, I. 310. Quelle forte de commerce on y faifoit, 11. 242. Ce qui détermina cette ville au commerce: c'eft le commerce qui fut la fource de toutes fes vertus, II. 245, 246. Son commerce, fes richeffes, fource de fes richeffes étoit rivale de Carthage, II. 322, 323. Pourquoi fi conftammeat fidelle aux Romains, ibid. La ruine de Carthage & de Corinthe augmenta fa gloire, II. 323.

Martyr. Ce mot, dans l'efprit des magiftrats Japonois, fignifioit rebelle; c'eft ce qui a rendu lą religion chrétienne odieufe au Japon, III. 188. Matelots. Les obligations civiles qu'ils contractent dans les navires entr'eux, doivent-elles être regardées comme nulles? III. 240, 241.

Maures. Comment trafiquent avec les Negres, III.

1, 2,

MAURICE, empereur. Outra la clémence, I. 192. Inë juftice faite fous fon regne, fous prétexte de magie, I. 389, 390.

MAXIMIN. Sa cruauté étoit mal-entendue, I. 183. Méaco. Eft une ville fainte au Japon, qui entretient toujours le commerce dans cet empire, malgré les fureurs de la guerre, III. 146.

Mecque. Gengis-kan en trouvoit le pélerinage absurde, III. 166.

Médailles fourrées. Ce que c'eft, III. 41.

Médecins. Pourquoi étoient punis de mort à Rome, pour négligence ou pour impéritie, & ne le font pas parmi nous, III. 426, 427.

Mendians. Pourquoi ont beaucoup d'enfans: pourquoi fe multiplient dans les pays riches ou fuperftitieux, III. 76, 77.

Menfonges. Ceux qui fe font au Japon, devant les magiftrats, font punis de mort. Cette loi eft-elle bonne?

1. 175:

Mer Antiochide. Ce que l'on appeloit ainfi, II. 301. Mer Cafpienne. Pourquoi les anciens fe font fi fort obftinés à croire que c'étoit une partie de l'Océan, II. 302, 303.

Mer des Indes. Sa découverte, II. 282.

Mer Rouge. Les Egyptiens en abandonnoient le commerce à tous les petits peuples qui y avoient des ports, II. 281. Quand, & comment on en fit la découverte, II. 300; 309, 310.

Mer Séleucide. Ce que l'on appeloit ainfi, II. 301. MERCATOR (ISIDORE). Sa collection de canons, III. 289.

Meres. Il eft contre nature qu'elles puiffent être accufées d'adultere par leurs enfans, III. 197. Pourquoi une mere ne peut pas époufer fon fils, III. 216, 217. Dans l'ancienne Rome, ne fuccédoient point à leurs enfans, & les enfans ne leur fuccédoient point: quand & pourquoi cette difpofition fut abolic, III. 243; 262.

Mérovingiens. Leur chute du trône ne fut point une révolution, IV. 159 & fuiv.

Mefures. Eft-il néceffaire de les rendre uniformes dans toutes les provinces du royaume? III. 439.

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