Morceaux choisisHenri Didier, 1912 - 380 pages |
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... citoyen . ( ( — Et c'est tout le sang que j'ai versé qui m'a mis en état de faire la plus grande de toutes mes ... citoyens sans en référer à aucun magistrat . » Un jour après , afin que l'indignation eût le temps de se calmer , il ...
... citoyen . ( ( — Et c'est tout le sang que j'ai versé qui m'a mis en état de faire la plus grande de toutes mes ... citoyens sans en référer à aucun magistrat . » Un jour après , afin que l'indignation eût le temps de se calmer , il ...
Page 108
... citoyens d'une ville libre ? » . « J'ai cru qu'ôter la liberté à une ville dont j'étais citoyen était le plus grand des crimes . J'ai puni ce crime là ; et je ne me suis point embarrassé si je serais le bon ou le mau- vais génie de la ...
... citoyens d'une ville libre ? » . « J'ai cru qu'ôter la liberté à une ville dont j'étais citoyen était le plus grand des crimes . J'ai puni ce crime là ; et je ne me suis point embarrassé si je serais le bon ou le mau- vais génie de la ...
Page 111
... citoyens d'une république trop riche et trop grande , le désespoir de ne pouvoir l'opprimer 3 . » Il changea de visage , et se tut un moment . « Je ne crains , me dit - il avec émotion , qu'un homme 4 , dans lequel je crois voir ...
... citoyens d'une république trop riche et trop grande , le désespoir de ne pouvoir l'opprimer 3 . » Il changea de visage , et se tut un moment . « Je ne crains , me dit - il avec émotion , qu'un homme 4 , dans lequel je crois voir ...
Page 116
... citoyens . 3. Oui , mais perpétuelle . Il s'agit de Frédéric Badoer qui , assiégé par les Turcs , promit de rendre Napoli - de - Malvasia s'il n'était pas secouru dans vingt jours . 4. On votait à Venise avec de petites balles ...
... citoyens . 3. Oui , mais perpétuelle . Il s'agit de Frédéric Badoer qui , assiégé par les Turcs , promit de rendre Napoli - de - Malvasia s'il n'était pas secouru dans vingt jours . 4. On votait à Venise avec de petites balles ...
Page 136
... citoyens . 6. Continuité des guerres . 7. Leur constance à toute épreuve , qui les préservait du découragement . 8. Leur habileté à détruire leurs ennemis les uns par les autres . 9. L'excellence du gouvernement , dont le plan ...
... citoyens . 6. Continuité des guerres . 7. Leur constance à toute épreuve , qui les préservait du découragement . 8. Leur habileté à détruire leurs ennemis les uns par les autres . 9. L'excellence du gouvernement , dont le plan ...
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Common terms and phrases
18e siècle anglais armée Arsace Aspar assez aurait avaient Bactriane barbares Brède Bruyère c'était Callisthène cause César chap CHAPITRE chose citoyens civiles corps CROUZET démocratie Denys d'Halicarnasse despotisme devant dieux dire donner écrit empereurs esclaves Esprit des Lois établi Etats femmes force fortune Fustel de Coulanges général gens gouvernement grandeur Grecs Guasco guerre Histoire hommes idée Isménie j'ai jamais juger l'empire l'Esprit des Lois l'État laissé latin législatif Lettres Persanes liberté livre magistrats Marius ment ministre mœurs monarchie monde Montesquieu morale n'avait n'était nation nature ouvrage parle particulier passé pays pensée Perse personne peuple philosophes Plutarque politique Polybe pouvait premier prince principe puissance exécutrice qu'un quieu raison règle religion république reste Rica rien rois Romains Rome sénat sens sent serait seul soldats sortes sujet Sylla Temple de Gnide terre tesquieu teurs tion Tite-Live Troglodytes trouve tyrannie Usbek vertu Voltaire Voyez
Popular passages
Page 218 - Le droit des gens est naturellement fondé sur ce principe, que les diverses nations doivent se faire dans la paix le plus de bien, et dans la guerre le moins de mal qu'il est possible, sans nuire à leurs véritables intérêts.
Page 220 - La loi , en général , est la raison humaine , en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre ; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.
Page 264 - ... il n'ya point de liberté, parce qu'on peut craindre que le même monarque ou le même sénat ne fasse des lois tyranniques pour les exécuter tyranniquement. Il n'ya point encore de liberté si la puissance de juger n'est pas séparée de la puissance législative et de l'exécutrice. Si elle était jointe à la puissance législative, le pouvoir sur la vie et la liberté des citoyens serait arbitraire; car le juge serait législateur. Si elle était jointe à la puissance exécutrice, le juge...
Page 287 - Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes, parce que, si nous les supposions des hommes, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous-mêmes chrétiens. De petits esprits exagèrent trop l'injustice que l'on fait aux Africains : car, si elle était telle qu'ils le disent, ne serait-il pas venu dans la tête des princes d'Europe, qui font entre eux tant de conventions inutiles, d'en faire une générale en faveur de la miséricorde et de la pitié?
Page 346 - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Page 286 - On ne peut se mettre dans l'esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir.
Page 212 - J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale 4.
Page 80 - Le monarque pourrait même parvenir à rendre la nation grave , s'il l'avait entrepris. Le prince imprime le caractère de son esprit à la cour, la cour à la ville ,la ville aux provinces. L'âme du souverain est un moule qui donne la forme à toutes les autres.
Page 259 - Qu'est-ce que ce conquérant qui est pleuré de tous les peuples qu'il a soumis? Qu'est-ce que cet usurpateur, sur la mort duquel la famille qu'il a renversée du trône verse des larmes ? C'est un trait de cette vie, dont les historiens ne nous disent pas que quelque autre conquérant puisse se vanter.
Page 282 - Dans les pays froids, on aura peu de sensibilité pour les plaisirs; elle sera plus grande dans les pays tempérés ; dans les pays chauds , elle sera extrême. Comme on distingue les climats par les degrés de latitude, on pourrait les distinguer, pour ainsi dire, par les degrés de sensibilité.