Oeuvres complètes de Jacques-Henri-Bernardin de Saint-Pierre, Volume 9Dupont, 1825 - French literature |
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... jeter de temps en temps des corollaires au milieu de l'instruction ; ce sont des perspectives au milieu d'un paysage ; elles étendent et développent le génie . Rien n'est égal peut - être à celui de l'inven- teur du moulin à vent , car ...
... jeter de temps en temps des corollaires au milieu de l'instruction ; ce sont des perspectives au milieu d'un paysage ; elles étendent et développent le génie . Rien n'est égal peut - être à celui de l'inven- teur du moulin à vent , car ...
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... jeter un coup - d'œil sur celles qui sont intérieures . Nous remarquerons d'abord que les animaux aspi- rent les fluides par des organes positifs , comme des becs , des lèvres , des langues , des trompes , et qu'a- prés en avoir rempli ...
... jeter un coup - d'œil sur celles qui sont intérieures . Nous remarquerons d'abord que les animaux aspi- rent les fluides par des organes positifs , comme des becs , des lèvres , des langues , des trompes , et qu'a- prés en avoir rempli ...
Page 149
... jeter à la mer par un sabord . Ils re- gagnèrent la terre à plus d'un demi - mille de là , sans que la chaloupe , qui était toute prête et ar- mée de bons rameurs , pût les rattraper . Cette fa- cilité à nager , dans ces deux espèces d ...
... jeter à la mer par un sabord . Ils re- gagnèrent la terre à plus d'un demi - mille de là , sans que la chaloupe , qui était toute prête et ar- mée de bons rameurs , pût les rattraper . Cette fa- cilité à nager , dans ces deux espèces d ...
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... Quelque faciles que soient les mouvements des oiseaux amphibies au sein des eaux , ils ne sont pas comparables encore à ceux des poissons . Nous al- lons jeter d'abord un coup - d'œil sur leur construc- DE LA NATURE . 151.
... Quelque faciles que soient les mouvements des oiseaux amphibies au sein des eaux , ils ne sont pas comparables encore à ceux des poissons . Nous al- lons jeter d'abord un coup - d'œil sur leur construc- DE LA NATURE . 151.
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Bernardin de Saint-Pierre Louis-Aimé Martin. lons jeter d'abord un coup - d'œil sur leur construc- tion intérieure , ensuite sur celle extérieure . Nous remarquerons d'abord que les arêtes des poissons ne s'emboîtent point à leurs ...
Bernardin de Saint-Pierre Louis-Aimé Martin. lons jeter d'abord un coup - d'œil sur leur construc- tion intérieure , ensuite sur celle extérieure . Nous remarquerons d'abord que les arêtes des poissons ne s'emboîtent point à leurs ...
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Common terms and phrases
aériennes Alpes animaux arbres attraction bords cap de Bonne-Espérance cap Horn chaleur cieux circonférence collines continents coquillages Cordilières côté couches couleurs couvert d'autres d'eau débris dilate eaux élevés Énéide escarpés espèces feuilles feux de l'amour Finlande flancs fleuves flots forêts forme Frédéric Martens fucus glaces glaciers globe habitants HARMONIES TERRESTRES hauteur hauts-fonds hémisphère hommes hyémales îles insectes J'ai l'air l'astre du jour l'atmosphère l'attraction l'eau l'homme l'Ile-de-France l'Océan Laponie lumière lune madrépores marins ment mer Baltique mers montagnes à parasol montagnes hydrauliques montagnes littorales montagnes solaires monts éoliens mousses muscles nature neiges non-seulement nord nuages nuit oiseaux Orcades ours blancs pente pics pieds plantes pluies poissons pôles puissances quadrupèdes quelquefois racines réverbère rivages rivières rocher rochers ruisseau sable sein des glaces semblables servent solaires sommets sorte soufflent source souterrain Spitzberg surface tagnes tempêtes terre torridiennes tronc trouve vaisseaux vallées vapeurs végétaux vents volcans zone torride zones glaciales
Popular passages
Page 257 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Snr les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 58 - LORSQUE j'étais en pleine mer , et que je n'avais d'autre spectacle que le ciel et l'eau , je m'amusais quelquefois à dessiner les beaux nuages blancs et gris, semblables à des groupes de montagnes, qui voguaient à la suite les uns des autres sur l'azur des cieux.
Page 72 - Amants, heureux amants, voulez-vous voyager ; Que ce soit aux rives prochaines. Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau. Toujours divers, toujours nouveau ; Tenez-vous lieu de tout, comptez pour rien le reste.
Page 59 - Ils représentaient une grande terre formée de hautes montagnes, séparées par des vallées profondes, et surmontées de rochers pyramidaux. Sur leurs sommets et leurs flancs, apparaissaient des brouillards détachés, semblables à ceux qui s'élèvent autour des terres véritables.
Page 60 - Bientôt des étoiles innombrables et d'un éclat éternel brillèrent au sein des ténèbres. Oh ! si le jour n'est lui-même qu'une image de la vie, si les heures rapides de l'aube, du matin, du midi et du soir, représentent les âges, si fugitifs, de l'enfance, de la jeunesse, de la virilité et de la vieillesse, la mort, comme la nuit, doit nous découvrir aussi de nouveaux cieux et de nouveaux mondes ! BERNARDIN DE SAINT-PIERRE.
Page 365 - ... et il y en a plusieurs dans une seconde : on pourrait donc les regarder comme des révolutions solaires instantanées, premier mobile des générations , qui, comme elles, naîtraient à chaque clin d'œil, et seraient en harmonie avec les différentes périodes solaires et lunaires, qui produisent les tierces, les secondes, les minutes , les heures, les jours, les semaines, les mois, les années, les cycles, etc. Quoi qu'il en soit de l'origine de notre âme, nous devons les dépouilles de notre...
Page 60 - Peut-être était-ce une de ces réverbérations célestes de quelque île très-éloignée, dont les nuages nous répétaient la forme par leurs reflets, et les tonnerres par leurs échos. Plus d'une fois des marins expérimentés ont été trompés par de semblables aspects. Quoi qu'il en soit, tout cet appareil fantastique de magnificence et de terreur, ces montagnes surmontées de palmiers, ces orages qui grondaient sur leurs sommets, ce fleuve, ce pont, tout se fondit et disparut à l'arrivée...
Page 99 - Ils lui demandèrent à plusieurs reprises où était la ville; il ne lenr répondit pas un mot, mais il se leva, et, leur montrant du doigt un grand lac;, il courut vers la forêt , où il disparut. Ce lac , qu'ils n'avaient jamais vu, avait englouti la ville et tous ses habitants ; il n'était réchappé que ce malheureux jeune homme.
Page 50 - Italie, il se livrait particulièrement à l'étude du ciel, plus intéressante sans doute que celle de l'antique, puisque c'est des sources de la lumière que partent les B. n. 4 couleurs et les perspectives aériennes qui font le charme des tableaux ainsi que de la nature.
Page 59 - ... d'une gloire; mais la masse entière resta dans sa demi-teinte obscure, et on voyait, autour des nuages qui s'élevaient de ses flancs, les- lueurs des tonnerres dont on entendait les roulements lointains.