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monarchie. Traits d'histoire et passages qui le prouvent, III, 48 et suiv. Les hommes libres, dans les commencements de la monarchie françoise, tant Romains que Gaulois, pour tout tribut, étoient chargés d'aller à la guerre à leurs dépens. Proportions dans lesquelles ils supportoient ces charges, 54 et suiv. Voyez Impôts, Taxes. Tributum. Ce que signifie ce mot

dans les lois barbares, III, 57. Triumvirs. Leur adresse à couvrir

leur cruauté sous des sophismes, I, 378. Réussirent, parce que, quoiqu'ils eussent l'autorité royale, ils n'en avoient pas le faste, II, 56. Troupes. Leur augmentation, en Europe, est une maladie qui ruine les états, I, 412, 413. Est-il avantageux d'en avoir sur pied en temps de paix comme en temps de guerre, ibid. Pourquoi les Grecs et les Romains n'estimoient pas beaucoup celles de mer, 174, 175.

Troyes. Le synode qui s'y tint en 878 prouve que la loi des Romains et celle des Wisigoths existoient concurremment dans le pays des Wisigoths, II, 442. Truste. Voyez In truste. Turcs. Majeurs à quinze ans, I, 137. Cause du despotisme affreux qui règne chez eux, 294.- N'ont aucune précaution contre la peste: pourquoi, 437. --Le temps qu'ils prennent pour attaquer les Abyssins prouve qu'on ne doit point décider par les principes de la religion ce qui est du ressort des lois naturelles, II, 378. La première victoire, dans une guerre civile, est pour eux un jugement de Dieu qui décide, 461. Turquie. Comment les successions

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ture et étendue de leur commerce, ibid.

dre avec l'intérêt : elle s'introduit nécessairement dans les pays où il est défendu de prêter à intérêt, 247. — Pourquoi l'usure maritime est plus forte que l'autre, 248. Ce qui l'a introduite et comme naturalisée à Rome, 249. Son taux dans les différents temps de la république romaine ravages qu'elle fit, ibid. et suiv. -Sur quelle maxime elle fut réglée à Rome, après la destruction de la république, 257.-Justification de l'auteur, par rapport à ses sentiments sur cette matière, III, 266 et suiv, Par rapport à l'érudition, 273. Usage des Romains sur cette matière, 276 et suiv. Usurpateurs. Ne peuvent réussir dans une république fédérative, I, 251.

deux; l'une positive, et l'autre relative manière de fixer la relative, 219. D'un homme en Angleterre, 278.

VALOIS (M. de). Erreur de cet auteur sur la noblesse des Francs, III, 113. VAMBA. Son histoire prouve que la loi romaine avoit plus d'autorité dans la Gaule méridionale que la loi gothe, 445. Vanité. Augmente à proportion du nombre des hommes qui vivent ensemble, I, 193.- Est trèsutile dans une nation, 61.Les biens qu'elle fait, comparés

avec les maux que cause l'orgueil, 62.

VARUS. Pourquoi son tribunal pa

rut insupportable aux Germains, II, 54.

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Vénalité des charges. Est-elle utile?
I, 147, 148.
Vengeance.Etoit punie chez les Ger-
mains, quand celui qui l'exer-
çoit avoit reçu la composition,
III, 79.
Venise. Comment maintient son
aristocratie contre les nobles,
I, 51.. Utilité de ses inquisi-
teurs d'état, ibid. En quoi
ils diffèrent des dictateurs ro-
mains, ibid. Sagesse d'un ju-
gement qui y fut rendu entre
un noble vénitien et un simple
gentilhomme, 114.-

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Le com

merce y est défendu aux nobles,
118. Il n'y a que les courti-
sanes qui puissent y tirer de
l'argent des nobles, 196. — On
y a connu et corrigé par les lois
les inconvénients d'une aristo-
cratie héréditaire, 226. — Pour-
quoi il y a des inquisiteurs d'é-
tat différents tribunaux dans
cette république, 296. Pour-
roit plus assurément être subju-
guée par ses propres troupes
que la Hollande, 310. Quel
étoit son commerce, II, 103.
Dut son commerce à la vio-
lence et à la vexation, 1 06.
Pourquoi les vaisseaux n'y, sont
pas si bons qu'ailleurs, 139.
Son commerce fut ruiné par la
découverte du cap de Bonne-
Espérance, 191. Loi de cette
république contraire à la nature
des choses, 407.

Vassaux. Leur devoir étoit de com-
battre et de juger, II, 496.—
Pourquoi n'avoient pas toujours,
dans leurs justices, la même ju-
risprudence que dans les justices
royales, ou même dans celles
de leurs seigneurs suzerains,
508 et suiv.-Les chartres des
vassaux de la couronne sont une
des sources de nos coutumes de
France, 544.- Il y en avoit
chez les Germains, quoiqu'il n'y
eût point de fiefs: comment
cela, III, 33.-Différents noms
sous lesquels ils sont désignés
dans les anciens monuments, 64.
- N'é-
Leur origine, ibid.
toient pas comptés au nombre
des hommes libres dans les com-
mencements de la monarchie,
66.- Menoient autrefois leurs
arrière-vassaux à la guerre, 67.
On en distinguoit de trois
sortes par qui ils étoient menés
à la guerre, 68.. Ceux du roi
étoient soumis à la correction
du comte, 70. - Etoient obli-
gés, dans les commencements
de la monarchie, à un double
service, et c'est dans ce double
service que l'auteur trouve l'o-
rigine des justices seigneuriales,
71 et suiv. Pourquoi ceux des
évêques et des abbés n'étoient
pas menés à la guerre par le
comte, ibid.- Les prérogatives
de ceux du roi ont fait changer
presque tous les aleux en fiefs:
quelles étoient ces prérogatives,
138 et suiv.
79-
Quand ceux qui
tenoient immédiatement du roi
commencèrent à en tenir média-
tement, 19a et suiv.
Vasselage. Son origine, III, 31.

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Vents alisés. Etoient une espèce
de boussole pour les anciens,
II, 156.
Vérité. Dans quel sens on en fait
cas dans une monarchie, I,

C'est par la persuasion, et non par les supplices, qu'on la doit faire recevoir, II, 362. VERRÈS, Blâmé par Cicéron de ce

qu'il avoit suivi l'esprit plutôt

que la lettre de la loi Voconienne, II, 419. Vertu. Ce que l'auteur entend par ce mot, I, 66, 85, 86.-Est nécessaire dans un état populaire: elle en est le principe, 61. Est moins nécessaire dans une monarchie que dans une république, ibid. Exemples célebres, qui prouvent que la démocratie ne peut ni s'établir ni se maintenir sans vertu; l'Angleterre et Rome, 61, 62. -On perdit la liberté, à Rome, en perdant la vertu, 62. Etoit la seule force, pour soutenir un état, que les législateurs grecs connussent, 63. Effets que produit son absence dans une république, ibid. Abandonnée par les Carthaginois, entraina leur chute, 64.

Est moins nécessaire, dans une aristocratie, pour le peuple, que dans une démocratie, ibid. -Est nécessaire, dans une aristocratie, pour maintenir les nobles qui gouvernent, ibid. et 65. N'est point le principe du gouvernement monarchique, 66 et suiv. Les vertus héroïques des anciens, inconnues parmi nous, inutiles dans une monarchie, 66.-Peut se trouver dans une monarchie; mais elle n'en est pas le ressort, 68. -Comment on y supplée dans le gouvernement monarchique, 69. N'est point nécessaire dans un état despotique, 72. - Quelles sont les vertus en usage dans une monarchie? 78. L'amour de soi-même est la base des vertus en usage dans une monarchie, ibid. Les vertus ne sont dans une monarchie que ce que l'honneur veut qu'elles soient, 81. Il n'y en a aucune qui soit propre aux esclaves, et par con

-

DE L'ESPRIT DES LOIS. T. III.

séquent aux sujets d'un despote, 84.Etoit le principe de la plupart des gouvernements anciens, ibid. Combien la pratique en est difficile, 85.- Ce que c'est dans l'état politique, 98. Ce que c'est dans un gouvernement aristocratique, 114. Quelle est celle d'un citoyen dans une république, 145. — Quand un peuple est vertueux, il faut peu de peine : exemples tirés des lois romaines 171.Les femmes perdent tout en la perdant, 204. Elle se perd dans les républiques avec l'esprit d'égalité ou par l'esprit d'égalité extrême, 219 et suiv.

Ne se trouve qu'avec la li berté bien entendue, 224.Réponse à une objection tirée de ce que l'auteur a dit, qu'il ne faut point de vertu dans une monarchie, III, 292, 293. Vestales. Pourquoi on leur avoit ac

cordé le droit d'enfants, II, 293. Vicaires. Etoient dans les commencements de la monarchie, des officiers militaires subordonnés aux comtes, III, 66, 67. Vices. Les vices politiques et les vices moraux ne sont pas les me. mes; c'est ce que doivent savoir les législateurs, II, 64. Victoire (La). Quel en est l'objet, I, 37. C'est le christianisme qui empêche qu'on n'en abuse, II, 312. VICTOR AMÉDÉE, roi de Sardaigne. Contradiction dans sa conduite, I, 145.

Vie. L'honneur défend, dans une monarchie, d'en faire aucun cas, I, 82.

Vie future. Le bien de l'état exige qu'une religion qui n'en promet pas soit suppléée par des lois sévères et séverement exécutées, II, 323, 324. Les religions

31.

qui ne l'admettent pas peuvent tirer de ce faux principe des conséquences admirables: celles qui l'admettent en peuvent tirer des conséquences funestes, 331, 332.

Vies des saints. Si elles ne sont pas véridiques sur les miracles, elles fournissent les plus grands éclaicissements sur l'origine des servitudes de la glèbe et des fiefs, III, 47.- Les mensonges qui y sont peuvent apprendre les mœurs et les lois du temps, parce qu'ils sont relatifs à ces mœurs et à ces lois, 90. Vieillards. Combien il importe, dans une démocratie, que les jeunes gens leur soient subordonnés, I,

112.

-Leurs priviléges, à Rome, furent communiqués aux gens mariés qui avoient des enfants, II, 286.-Comment un état bien policé pourvoit à leur subsistance, 305. Vignes. Pourquoi furent arrachées dans les Gaules par Domitien, et replantées par Probus et Julien, II, 178.

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Tarquin quel rôle il joua dans la procédure, et quelle fut sa récompense, I, 372.

Viol. Quelle est la nature de ce crime, I, 355,

Violence. Est un moyen de rescision pour les particuliers; ce n'en est pas un pour les princes, II, 402. VIRGINIE, Révolution que causèrent à Rome son déshonneur et sa mort, I, 327.-Son malheur affermit la liberté de Rome, 381. Visir. Son établissement est une loi fondamentale dans une état despotique, I, 57.

Vœux en religion. C'est s'éloigner des principes des lois civiles que de lés regarder comme une juste cause de divorce, II, 382. Vol. Comment puni à la Chine, quand il est accompagné de l'assassinat, I, 184, 185. - - Ne devroit pas être puni de mort : pourquoi il l'est, 355.-Comment étoit puni à Rome : les lois sur cette matière n'avoient nul rapport avec les autres lois civiles, III. 4. On y exerçoit les enfants à Lacédémone, et on ne punissoit que ceux qui se laissoient surprendre en flagrant délit, 14, 15.- Comment Clotaire et Childebert avoient imaginé de prévenir ce crime, 67. — Celui qui avoit été volé ne pouvoit pas, du temps de nos pères, recevoir sa composition en secret et sans l'ordonnance du juge, 82. Vol manifeste. Voyez Voleur manifeste.

Voleur. Est-il plus coupable que le

recéleur? III, 12.-Il étoit permis, à Rome, de tuer celui qui se mettoit en défense; correctif que la loi avoit apporté à une disposition qui pouvoit avoir de si funestes conséquences, I, 77. -Ses parents n'avoient point de

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