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usage dans les états despotiques; comment on en use dans les états modérés, I, 187, 188. Voyez Peine du talion. TAO. Conséquences affreuses qu'il tire du dugme de l'immortalité de l'âme, II, 331. TARQUIN. Comment monta sur le

trône changements qu'il ap porta dans le gouvernement : causes de sa chute, I, 320. L'esclave qui découvrit la conjuration faite en sa faveur fut dénonciateur seulement et non témoin, I, 372.

Tartares. Leur conduite avec les Chinois est un modèle de conduite pour les conquérants d'un grand état, I, 285.—Pourquoi obligés de mettre leur nom sur leurs flèches: cet usage peut avoir des suites funestes, 384. -Ne lèvent presque point de taxe sur les marchandises qui passent, 405, 406.-Les pays qu'ils ont désolés ne sont pas encore rétablis, II, 17. Sont barbares et non sauvages, 183. -Leur servitude, 23, 30.-Devroient être libres; sont cependant dans l'esclavage politique :

DE L'ESPRIT DES LOIS. T. III.

T.

raison de cette singularité, 30, 31. Quel est leur droit des gens: pourquoi, ayant des mœurs si douces entre eux, ce droit est si cruel, 31, 32.La succession appartient chez eux au dernier des mâles : raison de cette loi, 32.- Ravages qu'ils ont faits dans l'Asie, et comment ils ont détruit le commerce, 134. Les vices de ceux de Gengiskan venoient de ce que leur religion défendoit ce qu'elle auroit dû permettre, et de ce que leurs lois civiles permettoient ce que la religion auroit du défendre, 324, 325. --Pourquoi n'ont point de temples pourquoi si tolérants en fait de religion, 346.-Pourquoi peuvent épouser leurs filles et non pas leurs mères, 388. Taxes sur les marchandises. Sont les plus commodes et les moins onéreuses, I, 402. - Il est quelquefois dangereux de taxer le prix des marchandises, II, 215. -sur les personnes. Dans quelle proportion doivent être imposées, I, 401. -sur les terres. Bornes qu'elles doivent avoir, ibid. Témoins. Pourquoi il en faut deux

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L'accusé pouvoit, avant qu'ils eussent été entendus en justice, leur offrir le combat judiciaire : quand et comment ils pouvoient le refuser, 488.. Déposoient en public abrogation de cet usage, 542. La peine contre les faux témoins est capitale en France, elle ne l'est point en Angleterre motifs de ces deux lois, III, II. Temples. Leurs richesses attachent à la religion, II, 344.- Leur origine, 345. Les peuples qui n'ont point de maisons ne bâtissent point de temples, ibid.

-Les peuples qui n'ont point de temples ont peu d'attachement pour leur religion, 346. Terrain. Comment sa nature influe sur les lois, II, 13 et suiv.

Plus il est fertile, plus il est propre à la monarchie, ibid. Terre. C'est par le soin des hommes qu'elle est devenue plus propre à être leur demeure, II, 20. Ses parties sont plus ou moins peuplées, suivant ses différentes productions, 272. Terre salique. Ce que c'étoit chez les Germains, II, 33, 34.Ce n'étoit point des fiefs, 41 et suiv.

Terres. Quand peuvent être également partagées entre les citoyens, 102.— - Comment doivent être partagées entre les citoyens d'une démocratie, 107.

Peuvent-elles être partagées également dans toutes les démocraties, 109.- Est-il à propos, dans une république, d'en faire un nouveau partage lorsque l'ancien est confondu? 194.. Bornes que l'on doit mettre aux taxes sur les terres, 399.Rapport de leur culture avec la liberté, II, 13 et suiv. C'est une mauvaise loi que celle qui

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-On n'en pouvoit faire, dans l'ancienne Rome, que dans une assemblée du peuple : pourquoi, 412.-Pourquoi les lois romaines accordoient-elles la faculté de se choisir, par testament, tel héritier que l'on jugeoit à propos, malgré toutes les précautions que l'on avoit prises pour empêcher les biens d'une famille de passer dans une autre? ibid.

-

La faculté indéfinie de tester fut funeste à Rome, 413. Pourquoi, quand on cessa de les faire dans les assemblées du peuple, il fallut y appeler cinq témoins, 414. - Toutes les lois romaines sur cette matière dérivent de la vente que le testateur faisoit autrefois, de sa famille, à celui qu'il instituoit son héritier, ibid.. - Pourquoi la faculté de tester étoit interdite aux sourds, aux muets et aux prodigues, 414, 415.-Pourquoi le fils de famille n'en pouvoit pas faire, même avec l'agrément de son père, en la puissance duquel il étoit, ibid. Pourquoi soumis, chez les Romains, à de plus grandes formalités que chez les autres peuples, 455. Pourquoi devoit être

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conçu en paroles directes et impératives. Cette loi donnoit la faculté de substituer, mais ôtoit celle de faire des fideicommis, 416. — Pourquoi celui du père étoit nul, quand le fils étoit prétérit, et valable, quoique la fille le fût, ibid. Les parents du défunt étoient obligés autrefois, en France, d'en faire un en sa place, quand il n'avoit pas testé en faveur de l'Eglise, 535.Ceux des suicides étoient exécutés à Rome, III, 9. Testament in procinctu. Ce que c'étoit il ne faut pas le confondre avec le testament militaire, II, 413.

Testament militaire. Quand, par

qui et pourquoi il fut établi, II, 413.

Testament per æs et libram. Ce que

c'étoit, II, 414.

Thébains. Ressource monstrueuse

à laquelle ils eurent recours pour adoucir les mœurs des jeunes gens, I, 96. THEODORE LASCARIS. Injustice com

mise sous son règne, sous prétexte de magie, 1, 357, 358. THÉODORIC, roi d'Austrasie. Fit rédiger les lois des Ripuaires, des Bavarois, des Allemands et des Thuringiens, II, 428. THEODORIC, roi d'Italie. Comment adopte le roi des Hérules, II, 49. Abolit le combat judiciaire chez les Ostrogoths, 469. THEODOSE, empereur. Ce qu'il pensoit des paroles criminelles, I, 368. Appela les petits-enfants à la succession de leur aïeul maternel, II, 427. Théologie. Est-ce cette science, ou la jurisprudence, qu'il faut traiter dans un livre de jurisprudence, III, 360, 361. Théologiens. Maux qu'ils ont faits au commerce, II, 189.

THÉOPAILE, empereur. Pourquoi ne vouloit pas, et ne devoit pas vouloir que sa femme fit le commerce, II, 119. THEOPHRASTE. Son sentiment sur la musique, I, 92.

THESEE. Ses belles actions prouvent que la Grèce étoit encore barbare de son temps, II, 330.. THIBAUT. C'est ce roi qui a accordé les coutumes de Champague, II, 544.

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THOMAS MORE. Petitesse de ses vues en matière de législation, III, 28. Thuringiens. Simplicité de leurs lois par qui furent rédigées, II, 429. -Leurs lois criminelles étoient faites sur le méme plan que les Ripuaires, 456. — Leur façon de procéder, contre les femmes adultères, 464. TIBÈRE. Se donna bien de garde de renouveler les anciennes lois somptuaires de la république, à laquelle il substituoit une monar chie, I, 198.-Par le même esprit, il ne voulut pas qu'on défendit aux gouverneurs de mener leurs femmes dans les provinces, ibid. -Par les vues de la même politique, il manioit avec adresse les lois faites contre l'adultère, 212, 213.-Abus énormes qu'il commit dans la distribution des honneurs et des dignités, 228.Attacha aux écrits la peine du crime de lèse-majesté; et cette loi donna le dernier coup à la liberté, 369. Raffinement de cruauté de ce tyran, 371.— Par une loi sage, il fit que les choses qui représentoient la monnoie devinrent la monnoie mème, II, 208.-Ajouta à la loi Pappienne, 289.

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TIMUR. S'il eût été chrétien, il n'eût pas été si cruel, II, 312, 313.

TITE-LIVE. Erreurs de cet histo

rien, I, 214.

Toison d'or. Origine de cette fable,

II, 144.

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Tolérance. L'auteur n'en parle que comme politique, et non comme théologien, II, 355.-Les théologiens mème distinguent entre tolérer une religion et l'approuver, ibid.--Quand elle est accompagnée de vertus morales, elle forme le caractère le plus sociable, II, 318. Quand plusieurs religions sont tolérées dans un état, on doit les obliger à se tolérer entre elles, 355.-On doit tolérer les religions qui sont établies dans un état, et empêcher les autres de s'y établir. Dans cette règle n'est point comprise la religion chrétienne, qui est le premier bien, 356.- Ce que l'auteur a dit sur cette matière est-il un avis au roi de la Cochinchine, pour fermer la porte de ses états à la religion chrétienne? III, 258 et suiv. Tonquin. Toutes les magistratures y sont occupées par des eunuques, I, 472.-C'est le physique du climat qui fait que les pères y vendent leurs filles, et y exposent leurs enfants, II, 275. Toulouse. Cette comté devint-elle héréditaire sous Charles Martel?

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traitants, ruinent le peuple, et

- Tout

perdent l'état, II, 403. est perdu lorsque leur profession, qui ne doit être que lucrative, vient à être honorée, 417.-Les richesses doivent être leur unique récompense, 418. Traités. Ceux que les princes font par force sont aussi obligatoires que ceux qu'ils font de bon gré, II, 402. Traitres. Comment étoient punis chez les Germains, III, 73. TRAJAN. Refusa de donner des res

crits. Pourquoi, II, 26. Tranquillité des citoyens. Comment les crimes qui la troublent doivent être punis, I, 355. Transmigration. Causes et effets de celle des différents peuples, II, 15, 16. Transpiration. Son abondance dans les pays chauds y rend l'eau d'un usage admirable, I, 432, Travail. On peut, par de bonnes lois, faire faire les travaux les plus rudes à des hommes libres, et les rendre heureux, 1, 485.Est une suite de la vanité, II, 62. Les pays qui, par leurs productions, fournissent du travail à un plus grand nombre d'hommes, sont plus peuplés que les autres, 272.-Est le moyen qu'un état bien policé emploie pour le soulagement des pauvres, 305.

Trésors. Il n'y a jamais, dans une

monarchie, que le prince qui puisse en avoir un, II, 111.— En les offrant à Dieu, nous prouvons que nous estimons les richesses qu'il veut que nous méprisions, 353, 354.-Pourquoi, sous les rois de la première race, celui du roi étoit regardé comme nécessaire à la monarchie, III, 34. Trèves. La religion en avoit établi,

du temps de nos pères, pour calmer les fureurs de la guerre, II, 328.

Tribunal domestique. De qui il étoit composé à Rome. Quelles matières, quelies personnes étoient de sa compétence, et quelles peines il infligeoit, I, 207, 208.— Quand et pourquoi fut aboli,

209.

Tribunaux. Cas où l'on doit être

obligé d'y recourir dans les monarchies, I, 153.-Ceux de judicature doivent être composés de beaucoup de personnes: pourquoi, 1,66.-Sur quoi est fondée la contradiction qui se trouve entre les conseils des princes et les tribunaux ordinaires, ibid. — Quoiqu'ils ne soient pas fixes dans un état libre, les jugements doivent l'être, 297. Tribunaux humains. Ne doivent pas se régler par les maximes des tribunaux qui regardent l'autre vie, II, 384, 385.

Tribuns des légions. En quel temps

et par qui furent réglés, 1, 332. Tribuns du peuple. Nécessaires dans une aristocratie, I, 118. — Leur établissement fut le salut de la république romaine, 124.-Oc casion de leur établissement, 380 et suiv. Tribus. Ce que c'étoit à Rome, et

à qui elles donnèrent le plus d'autorité. Quand commencèrent à avoir lieu, I, 324 et suiv. Tributs. Par qui doivent être levés

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elle-même, 394. — Pourquoi un petit état, qui ne paie point de tributs, enclavé dans un grand qui en paie beaucoup, est plus misérable que le grand. Fausse conséquence que l'on a tirée de ce fait, 394, 395.- Quels tributs doivent payer les peuples esclaves de la glebe, 396 et suiv. -Quels doivent être levés dans un pays où tous les particuliers sont citoyens, 398 et suiv. Leur grandeur dépend de 'la nature du gouvernement, 404 et suiv.-Leur rapport avec la liberté, 406 et suiv. - Dans quels cas sont susceptibles d'augmentation, 408. Leur nature est relative au gouvernement, 408, 409. Quand on abuse de la liberté, pour les rendre excessifs, elle dégénère en servitude, et on est obligé de diminuer les tributs, 410 et suiv. — Leur rigueur en Europe n'a d'autre cause que la petitesse des vues des ministres, 411. Causes de leur augmentation perpétuelle en Europe, ibid. et suiv. -Les tributs excessifs que levoient les empereurs donnèrent lieu à cette étrange facilité que trouvèrent les Mahometans dans leurs conquêtes, 412. — Quand on est forcé de les remettre à une partie du peuple, la remise doit être absolue, et ne pas être rejetée sur le reste du peuple. L'usage contraire ruine le roi et l'état, 414. — La redevance solidaire des tributs entre les différents sujets du prince est injuste et pernicieuse à l'état, ibid. — Ceux qui ne sont qu'accidentels, et qui ne dépendent pas de l'industrie, sont une mauvaise sorte de richesse, II, 202. -- Les Francs n'en payoient aucun dans les commencements de la

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