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72.

Riz. Les pays qui en produisent sont beaucoup plus peuplés que d'autres, II, 272, 273.

Robe (gens de). Quel rang tiennent en France: leur état, leurs fonctions, leur noblesse comparée avec celle de l'épée, II, 122. Bohan (duché de). La succession des rotures y appartient au dernier des måles raisons de cette loi, II, 33.

Rois. Ne doivent rien ordonner à

leurs sujets qui soit contraire à
l'honneur, I, 81.- -Leur per-
sonne doit être sacrée même
dans les états les plus libres,
304. Il vaut mieux qu'un roi

soit pauvre
et son état riche, que
de voir l'état pauvre et le roi
riche, II, 203.- Leurs droits à
la couronne ne doivent se régler
par la lei civile d'aucun peuple,

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Rois de France. Sont la source de toute justice dans leur royaume, II, 498. On ne pouvoit fausser les jugements rendus dans leur cour, où rendus dans celle des seigneurs par des hommes de Ne poula cour royale, ibid. voient, dans le siècle de saint Louis, faire des ordonnances générales pour le royaume, sans le concert des barons, 510. Germe de l'histoire de ceux de la première race, III, 35. L'usage où ils étoient autrefois de partager leur royaume entre leurs enfants est une des sources de la servitude de la glèbe et des fiefs, 44, 45.-Leurs revenus étoient bornés autrefois à leur domaine, qu'ils faisoient valoir par leurs esclaves, et au produit de quelques péages preuves, 55. Dans les commencements de la monarchie, ils levoient des tributs sur les serfs de leurs domaines seulement; et ces tributs se nommoient census ou cens, 57. Voyez Ecclésiastiques, Seigneurs.

Bravoure de ceux qui réguèrent dans le commencement de la monarchie, 69. En quoi consistoient leurs droits sur les hommes libres dans les commencements de la monarchie, 75. Ne pouvoient rien lever sur les terres des Francs : c'est pourquoi la justice ne pouvoit pas leur appartenir dans les fiefs, mais aux seigneurs seulement, 85.-Leurs juges ne pouvoient

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autrefois entrer dans aucun fief, pour y faire aucunes fonctions, 86.-Férocité de ceux de la première race: ils ne faisoient pas les lois, mais suspendoient l'usage de celles qui étoient faites, 123, 124.-En quelle qualité ils présidoient, dans les commencements de la monarchie, aux tribunaux et aux assemblées où se faisoient les lois; et en quelle qualité ils commandoient les armées, 131, 132.- Epoque de l'abaissement de ceux de la première race, 135.- Quand et pourquoi les maires les tinrent enfermés dans leurs palais, ibid. -Ceux de la seconde race furent électifs et héréditaires en même temps, 160.-Leur puissance directe sur les fiefs. Comment et quand ils l'ont perdue, 187. Rois de Rome. Etoient électifs

confirmatifs, I, 318. - Quel étoit le pouvoir des cinq premiers, ibid.- Quelle étoit leur compétence dans les jugements, 334.

Rois des Francs. Pourquoi portoient une longue chevelure, II, 43.Pourquoi avoient plusieurs femmes, et leurs sujets n'en avoient qu'une, 43, 44.-Leur majorité, 45.-Raisons de leur esprit sanguinaire, 50.

Rois des Germains. On ne pouvoit l'être avant, la majorité, Inconvénients qui firent changer cet usage, II, 48.- Etoient différents des chefs; et c'est dans cette différence que l'on trouve celle qui étoit entre le roi et le maire du palais, 225.

Romains. Pourquoi introduisirent

les actions dans leurs jugements, I, 160.Ont été long-temps réglés dans leurs mœurs, sobres et pauvres, 236. Avec quelle

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Leur

maritime, 170. Belle description du danger auquel Mithridate les exposa, 173.-Pour ne pas paroître conquérants, ils étoient destructeurs : conséquences de ce système, 174. génie pour la marine, 174, 175. La constitution politique de leur gouvernement, leur droit des gens et leur droit civil étoient opposés au commerce, 175. Comment réussirent à faire un corps d'empire de toutes les nations conquises, 177. Ne vouloient point de commerce avec les barbares, 177, 178.—N'avoient pas l'esprit de commerce, 170. Leur commerce avec l'Arabie et les Indes, ibid. et suiv. Pourquoi le leur fut plus considérable que celui des rois d'Egypte, 181. -Leur commerce intérieur, 183. Beauté et humanité de leurs lois, 185. Ce que devint le commerce après leur affoiblissement en Orient, 186.- Quelle étoit originairement leur monnoie, 187. Les changements

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qu'ils firent dans leur monnoie sont des coups de sagesse qui ne doivent pas être imités, 233 et suiv. On ne les trouve jamais si supérieurs que dans le choix des circonstances où ils ont fait les biens et les maux, 237. Changements que leurs monnoies essuyèrent sous les empereurs, 239. - Taux de l'usure dans les différents temps de la républque comment on éludoit les lois contre l'usure: ravages qu'elle fit, 249 et suiv.Etat des peuples avant qu'il y eût des Romains, 278, 279.-Ont englouti tous les états et dépeuplé l'univers, ibid. - Furent dans la nécessité de faire des lois pour la propagation de l'espèce détail de ces lois, 280.

Leur respect pour les vieillards, 286. Leurs lois et leurs usages sur l'exposition des enfants, 297. Tableau de leur empire dans le temps de sa décadence ce sont eux qui sont cause de la dépopulation de l'univers, 299, 300. - N'auroient pas commis les ravages et les massacres qu'on leur reproche, s'ils eussent été chrétiens, 312, 313. Loi injuste de ce peuple touchant le divorce, 371. Leurs réglements et leurs lois civiles, pour conserver les mœurs des femmes, furent changés quand la religion chrétienne eut pris naissance, 381.

Leurs lois défendoient certains mariages, et même les annuloient, 387.- Désignoient les frères et les cousins-germains par le même mot, 390.- Quand il s'agit de décider du droit à une couronne, leurs lois civiles ne sont pas plus applicables que celles d'aucun autre peuple, 397. Origine et révolu

tion de leurs lois sur les succes

sions, 409. Pourquoi leurs testaments étoient soumis à des formalités plus nombreuses que ceux des autres peuples, 415. -Par quels moyens ils chercherent à réprimer le luxe de leurs femmes, auquel leurs premieres lois avoient laissé une porte ouverte, 416 et suiv.-Comment les formalités leur fournissoient des moyens d'éluder la loi, 419.— Tarif de la différence que la loi salique mettoit entre eux et les Francs, 434.- Ceux qui habitoient dans le territoire des Wisigoths étoient gouvernés par le code Théodosien, 437.— La prohibition de leurs mariages avec les Goths fut levée par Recessuinde: pourquoi, 445.— Pourquoi n'avoient point de partie publique, 520.- Pourquoi regardoient comme un déshonneur de mourir sans héritier, III, 7. Pourquoi ils inventèrent les substitutions, ibid. — Il n'est pas vrai qu'ils furent tous mis en servitude lors de la conquête des Gaules par les barbares ce n'est donc pas dans cette prétendue servitude qu'il faut chercher l'origine des fiefs, 36 et suiv. - Ce qui a donné lieu à cette fable, 40, 41.- Leurs révoltes dans les Gaules, contre les peuples barbares conquérants, sont la principale source de la servitude de la glèbe et des fiefs, 43 et suiv. - Payoient seuls des tributs, dans les commencements de la monarchie françoise traits d'histoire et passages qui le prouvent, 48 et suiv. Quelles étoient leurs charges dans la monarchie des Francs, 83. Ce n'est point de leur police générale que dérive ce qu'on appeloit autre

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Romans de chevalerie. Leur origine, II, 479, 480. Rome ancienne. Une des principales causes de sa ruine fut de n'avoir pas fixé le nombre des citoyens qui devoient former les assemblées, I, 41, 42.— Tableau raccourci des différentes révolutions qu'elle a essuyées, ibid. et suiv.Pourquoi on s'y détermina si difficilement à élever les plébéiens aux grandes charges, 43, 44.- Les suffrages secrets furent une des grandes causes de sa chute, 46, 47.— Sagesse de sa constitution, 48.

Comment defendoit son aristocratie contre le peuple, 148.

Utilité de ses dictateurs, ibid. Pourquoi ne put rester libre après Sylla, 62. - Source de ses dépenses publiques, 100.

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ment le peuple s'y assembloit, et quel étoit le temps de ses assemblées, 324. Comment, dans l'état le plus florissant de la république, elle perdit tout à coup sa liberté, 326. Révolutions qui y furent causées par l'impression que les spectacles y faisoient sur le peuple, 328. -Puissance législative dans cette république, ibid. - Ses institutions la sauvèrent de la ruine où les plébéiens l'entraînoient par l'abus qu'ils faisoient de leur puissance, ibid et suiv.

Puissance exécutrice dans cette république, 330 et suiv. -Belle description des passions qui animoient cette république; de ses occupations, et comment elles étoient partagées entre les différents corps, 331 et suiv. Détail des différents corps et tribunaux qui y eurent successivement la puissance de jnger maux occasionnés par ces variations: détail des différentes espèces de jugements qui y étoient en usage, 333 et suiv.

Maux qu'y causèrent les traitants, 341 et suiv. Comment gouverna les provinces dans les différents degrés de son accroissement, 343 et suiv. Comment on y levoit les tributs, 345. Pourquoi la force des provinces conquises ne fit que l'affoiblir, 346. Combien les lois criminelles y étoient imparfaites sous ses rois, 349, 350. -Combien il y falloit de voix pour condamner un accusé, 351. Ce que l'on y nommoit privilége du temps de la république, 378.-Combien on y punissoit un accusateur injuste: précautions pour l'empêcher de corrompre les juges, 378, 379. -L'accusé pouvoit se retirer

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