Page images
PDF
EPUB
[merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][ocr errors][merged small][merged small][merged small][merged small]
[ocr errors]

civiles conséquences qui en résultent, II, 394. Le bien public veut que chacun conserve invariablement celle qu'il tient des lois, 394, 395.- La loi civile est son palladium, ibid. Proscriptions. Absurdité dans la récompense promise à celui qui assassineroit le prince d'Orange, III, 25. - Avec quel

art les triumvirs trouvoient des prétextes pour les faire croire utiles au bien public, I, 376. Prostitution. Les enfants dont le père a trafiqué la pudicité sontils obligés, par le droit naturel, de le nourrir quand il est tombé dans l'indigence, II, 372. Prostitution publique. Contribue peu à la propagation: pourquoi, II, 261. PROTAIRE. Favori de Brunehault, fut cause de la perte de cette princesse, en indisposant la noblesse contre elle par l'abus qu'il faisoit des fiefs, III, 118. Protestants. Sont moins attachés à leur religion que les catholiques; pourquoi, II, 342. Protestantisme. S'accommode mieux d'une république que d'une monarchie, II, 315. -Les pays où il est établi sont moins susceptibles de fêtes que ceux où règne le catholicisme, 335, 336. Provinces romaines. Comment

étoient gouvernées, I, 343 et suiv. Etoient désolées par les traitants, 346.

PTOLOMÉE. Ce que ce géographe connoissoit de l'Afrique, II, 162. Regardoit le voyage des Phéniciens autour de l'Afrique comme fabuleux joignoit l'Asie à l'Afrique par une terre qui n'exista jamais la mer des Indes, selon lui, n'étoit qu'un grand lac, 163.

:

Public (bien). C'est un paralo

gisme de dire qu'il doit l'emporter sur le bien particulier, II, 394.

Publicains. Voyez Impôts, Tributs, Fermes, Fermiers, Trai

tants.

Pudeur. Doit être respectée dans la punition des crimes, I, 371. -Les maîtres doivent respecter celle de leurs esclaves; loi des Lombards à ce sujet, 459. — Pourquoi la nature l'a donnée à un sexe plutôt qu'à l'autre, 488, 489. Puissance. Combien il y en a de

sortes dans un état entre quelles mains le bien de l'état demande qu'elles soient déposées, I, 293 et suiv.-- Comment, dans un état libre, les trois puissances, celle de juger, l'exécutrice et la législative, doivent se contre-balancer, 386 et suiv. Puissance de juger. Ne doit jamais, dans un état libre, être réunie avec la puissance législative: exceptions, I, 305 et suiv. Puissance exécutrice. Doit, dans un état vraiment libre, être entre les mains d'un monarque, I, 303.- Comment doit être tempérée par la puissance legislative, 303 et suiv. Puissance legislative. En quelles

mains doit être déposée, I, 298. -Comment doit tempérer la

[blocks in formation]

puissance exécutrice, 304 et suiv. Ne peut, dans aucun cas, être qu'accusatrice, 306. - A qui étoit confiée à Rome, 328. Puissance militaire. C'étoit un principe fondamental de la monarchie qu'elle fut toujours réunie à la juridiction civile: pourquoi, III, 71 et suiv. Puissance paternelle. Combien est utile dans une démocratie: pourquoi on l'abolit à Rome, I, 113. - Jusqu'où elle doit s'étendre, ibid.

Puissance politique. Ce que c'est, I, 36, 37. Punitions. Avec quelle modération on en doit faire usage dans une république cause du danger de leur multiplicité et de leur sévérité, I, 375. Voyez Peines. Pupilles. Dans quel cas on pouvoit ordonner le combat judiciaire dans les affaires qui les regardoient, II, 487. Pureté corporelle. Les peuples qui s'en sont formé une idée ont respecté les prêtres, II, 348. Pyrénées. Renferment - elles des mines précieuses? II, 169. PYTHAGORE. Est-ce dans ses nombres qu'il faut chercher la raison pourquoi un enfant naît à sept mois? III, 22.

ce supplice qui rend la peine des faux témoins capitale en France; elle ne l'est point en Angleterre, parce qu'on n'y fait point usage de la question, JII, 11. Questions de droit. Par qui étoient jugées à Rome, I, 334, 335.

Questions de fait. Par qui, I, 334. Questions perpétuelles. Ce que c'étoit changement qu'elles causèrent à Rome, I, 209, 338, 339.

QUINTIUS CINCINNATUS.La manière

Rachat. Origine de ce droit féodal,
III, 203.
RACHIS. Ajouta de nouvelles lois

à celles des Lombards, II, 330. RACINE. Eloge de la Phèdre de ce poète, II, 372, 373. Raguse. Durée des magistratures de cette république, I, 52. Raillerie. Le monarque doit toujours s'en abstenir, I, 388. Raison. Il y en a une primitive, qui est la source de toutes les lois, I, 29, 30. Ce que l'auteur pense de la raison portée à l'excès, 311. - Ne produit jamais de grands effets sur l'esprit des hommes, II, 87. - La résistance qu'on lui oppose est son triomphe, 528. Rangs. Ceux qui sont établis parmi

nous sont utiles : ceux qui sont établis aux Indes, par la religion, sont pernicieux, II, 334. En quoi consistoit leur différence chez les anciens Francs, 438.

[merged small][ocr errors][merged small][merged small]

Ꭱ.

dont il vint à bout de lever une armée à Rome, malgré les tribuns, prouve combien les Romains étoient religieux et vertueux, I, 336, 337.

Rapt. De quelle nature est ce crime, I, 354. Rareté de l'or et de l'argent. Sous combien d'acceptions on peut prendre cette expression ce que c'est relativement au change: ses effets, II, 211 et suiv. Rathimburges. Etoient la même chose que les juges ou les échevins, III, 74. Recéleurs. Punis en Grèce, à Rome et en France de la même peine que le voleur; cette loi qui étoit juste en Grèce et à Rome, est injuste en France: pourquoi, III, 12, 13. RECESSUINDE. La loi par laquelle il permettoit aux enfants d'une femme adultère d'accuser leur mère, étoit contraire à la nature, II, 372. Fut un des réformateurs des lois des Wisigoths, 430.- Proscrivit les lois romaines, 444. Leva la prohibition des mariages entre les Goths et les Romains: pourquoi, ibid. 445. — Voulut inutilement abolir le combat judiciaire, 469. Recommander. Ce que c'étoit que se recommander pour un béné fice, III, 92. Récompenses. Trop fréquentes annoncent la décadence d'un état, I, 145.- Le despote n'en peut donner à ses sujets qu'en argent; le monarque en honneurs qui conduisent à la fortune; et la

république en honneurs seulement, ibid. Une religion qui n'en promettroit pas pour l'autre vie n'attacheroit pas beaucoup, II, 344. Réconciliation. La religion en doit fournir un grand nombre de moyens, lorsqu'il y a beaucoup de sujets de haine dans un état, II, 328.

Reconnoissance. Est une vertu prescrite par une loi antérieure aux lois positives, I, 31. Régale. Ce droit s'étend-il sur les églises des pays nouvellement conquis, parce que la couronne du roi est ronde? III, 22. Régie des revenus de l'état. Ce que c'est ses avantages sur les fermes; exemples tirés des grands états, I, 415 et suiv.

Registre Olim. Ce que c'est, II, 532.

Registres publics. A quoi ont suc

cédé leur utilité, II, 542. Reines régnantes et douairières. Il leur étoit permis, du temps de Gontran et de Childeberg, d'aliéner pour toujours, même par testament, les choses qu'elles tenoient du fisc, III, 137. Religion. L'auteur en parle, non

comme théologien, mais comme politique : il ne veut qu'unir les intérêts de la vraie religion avec la politique c'est être fort injuste que de lui prêter d'autres vues, II, 308, 30g. C'est par ses lois que Dieu rappelle sans cesse l'homme à lui, 1, 33.

[blocks in formation]

A

c'est là une des principales sources de l'inconséquence de notre conduite, 85.- Quels sont les crimes qui l'intéressent, 352.Peut mettre un peu de liberté dans les états despotiques, 389. Raisons physiques de son immutabilité en Orient, 427. — Doit, dans les climats chauds, exciter les hommes à la culture des terres, 429. — At-on droit, pour travailler à sa propagation, de réduire en esclavage ceux qui ne la professent pas? C'est cette idée qui encouragea les destructeurs de l'Amérique dans leurs crimes, 449. Gouverne les hommes concurremment avec le climat, les lois, les mœurs, etc. De là nait l'esprit général d'une nation, II, 57. Corrompit les mœurs à Corinthe, 144. établi, dans certains pays, divers ordres de femmes légitimes, 263. C'est par raisou de climat qu'elle veut, à Formose, que la prêtresse fasse avorter les femmes qui accoucheroient avant l'âge de trente-cinq ans, 275.— Les principes des différentes religions tantôt choquent, tantôt favorisent la propagation, 293. — Entre les fausses, la moins mauvaise est celle qui contribue le plus au bonheur des hommes dans cette vie, 308.-Vaut-il mieux n'en avoir point du tout que d'en avoir une mauvaise? 309. Est-elle un motif réprimant ? Les maux qu'elle a faits sont-ils comparables aux biens qu'elle a faits? 310. Doit donner plus de conseils que de lois, 317.— Quelle qu'elle soit, elle doit s'accorder avec les lois de la

[blocks in formation]

doit point avoir de crimes inexpiables, 322, 323.- Comment sa force s'applique à celle des lois civiles: son principal but doit être de rendre les hommes bons citoyens, 323 et suiv. Celle qui ne promet ni récompenses, ni peines dans l'autre vie, doit être soutenue par des lois sévères et sévèrement exécutées, 324. Gelle qui admet la fatalité absolue endort les hommes il faut que les lois civiles les excitent, ibid. Quand elle défend ce que les lois civiles doivent permettre, il est dangereux que, de leur côté, elles ne permettent ce qu'elle doit condamner, ibid.- Quand elle fait dépendre la régularité de certaines pratiques indifférentes, elle autorise la débauche, les déréglements et les haines, 325. C'est une chose bien funeste, quand elle attache la justification à une chose d'accident, 325, 326. Celle qui ne promettroit, dans l'autre monde, que des récompenses et point de punitions, seroit funeste, 326.-Comment celles qui sont fausses sont quelquefois corrigées par les lois civiles, 326, 327. Comment ses lois corrigent les inconvénients de la constitution politique, 327. Comment peut arrêter l'effet des haines particulières, 328, 329.- Comment ses lois ont l'effet des lois civiles, 330.- Ce n'est pas la vérité ou la fausseté des dogmes qui les rend utiles ou pernicieuses, c'est l'usage ou l'abus qu'on fait de ces dogmes, 330 et suiv. - Ce n'est pas assez qu'elle établisse un dogme, il faut qu'elle le dirige, 332. Il est bon qu'elle nous mène à des idées spiri

[ocr errors]

tuelles, ibid. Comment peut encourager la propagation, 333. Usages avantageux ou pernicieux qu'elle peut faire de la métempsycose, ibid. - Ne doit jamais inspirer d'aversion pour les choses indifférentes, 334.Ne doit inspirer de mépris pour rien que pour les vices, ibid. Doit être fort réservée dans l'établissement des fêtes qui obligent à la cessation du travail : elle doit même, à cet égard, consulter le climat, 335, 336.

Est susceptible de lois locales, relatives à la nature et aux productions du climat, 336, 337. - Moyens de la rendre plus générale, ibid. Il y a de l'inconvénient à transporter une religion d'un pays à un autre, 338 et suiv. Celle qui est fondée sur le climat ne peut sortir de son pays, 340.- Toute religion doit avoir des dogmes particuliers et un culte général, ibid.-Différentes causes de l'attachement plus ou moins fort que l'on peut avoir pour sa religion. 1 L'idolatrie nous attire sans nous attacher: la spiritualité ne nous attire guère; mais nous y sommes attachés; 2° la spiritualité, jointe aux idées sensibles dans le culte, attire et attache de là les catholiques tiennent plus à leur religion que les protestants à la leur; 3° la spiritualité jointe à une idée de distinction de la part de la divinité de là tant de bons musulmans; 4 beaucoup de pratiques qui occupent : de là l'attachement des mahométans et des juifs, et l'indifférence des barbares; 5 la promesse des récompenses, et la crainte des peines; 6° la pureté de la morale; 7 la magnificence du

[graphic]
« PreviousContinue »