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Politesse. Ce que c'est en ellemême quelle est la source de celle qui est en usage dans une monarchie, I, 80. Flatte autant ceux qui sont polis que ceux envers qui ils le sont, ibid. Est essentielle dans une monarchie d'où elle tire sa source, ibid., II, 61. Est utile en France; quelle y en est la source, 58. Ce que c'est; en quoi elle differe de la civilité, 71.Il y en a peu en Angleterre; elle n'est entrée à Rome que quand la liberté en est sortie, 95, 96. C'est celle des mœurs plus que celle des manieres qui doit nous distinguer des peuples barbares, 96. Nait du pouvoir absolu, ibid. Politique. Emploie, dans les monarchies, le moins de vertu qu'il est possible, 1, 66. Ce que c'est; le caractère des Anglois les empêche d'en avoir, 440.— Est autorisée par la religion chrétienne, II, 313. Politiques. Ceux de l'ancienne Grèce avoient des vues bien plus saines que les modernes sur le principe de la démocratie, 1, 61, 62.

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Sources des faux raisonnements qu'ils ont faits sur le droit de la guerre, 266 et suiv. Pologne. Pourquoi l'aristocratie de cet état est la plus imparfaite de toutes, I, 53. Pourquoi il y a moins de luxe que dans d'au

tres états, 192. L'insurrection y est bien moins utile qu'elle ne l'étoit en Crète, 233. — Objet principal des lois de cet état, 292. Il lui seroit plus avantageux de ne faire aucun commerce que d'en faire un quel conque, II, 124, 125. Polonais. Pertes qu'ils font sur leur commerce en blé, II, 110. Poltronnerie. Ce vice, dans un

particulier membre d'une nation guerrière, en suppose d'autres la preuve par le combat singulier avoit donc une raison fondée sur l'expérience, II, 462.

Poltrons. Comment étoient punis chez les Germains, III, 75. POLYBE. Regardoit la musique comme nécessaire dans un état, I, 92.

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Polygamie. Inconvénient de la polygamie dans les familles des princes d'Asie, I, 133. — Quand la religion ne s'y oppose pas, elle doit avoir lieu dans les pays chauds; raisons de cela, 475, 476. Raison de religion à part, elle ne doit pas avoir lieu dans les pays tempérés, 475. - La loi qui la défend se rapporte plus au physique du climat de l'Europe qu'au physique du climat de l'Asie, 476. - Ce n'est point la richesse qui l'introduit dans un état; la pauvreté peut faire le même effet, 477. - N'est point un luxe, mais une occasion de luxe, ibid. Ses diverses circonstances: pays où une femme a plusieurs maris : raison de cet usage, 478, 479. -A rapport au climat, ibid. La disproportion dans le nombre des hommes et des femmes peut-elle être assez grande pour autoriser la pluralité des femmes ou celle des maris, 479. Ce

que l'auteur en dit n'est pas pour en justifier l'usage, mais pour en rendre raison, ibid. Considérée en elle-même, 480.

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N'est utile ni au genre humain, ni à aucun des deux sexes, ni aux enfants qui en sont le fruit, ibid. Quelque abus qu'on en fasse, elle ne prévient pas toujours les désirs pour la femme d'un autre, 481.- Mène à cet amour que la nature désavoue, ibid. Ceux qui en usent, dans les pays où elle est permise, doivent rendre tout égal entre leurs femmes, 482.

On

Dans les pays où elle a lieu, les femmes doivent être séparées d'avec les hommes, ibid. -N'étoit permise, chez les Germains, qu'aux nobles et aux rois seulement, du temps de la première race, II, 43. ne connoit guère les bâtards dans les pays où elle est permise, 264. Elle a pu faire déférer la couronne aux enfants de la sœur à l'exclusion de ceux du roi, 376. Règle qu'il faut suivre dans un état où elle est permise, quand s'y introduit une religion qui la défend, 383. -Mauvaise foi ou stupidité du Nouvelliste dans les reproches qu'il fait à l'auteur sur la polygamie, III, 248. POMPÉE. Ses soldats apportèrent de Syrie une maladie à peu près semblable à la lèpre: elle n'eut pas de suites, I, 435. Pont-Euxin. Comment Séleucus

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Port franc. Il en faut un dans un état qui fait le commerce d'économie, II, 112.

Ports de mer. Raison morale et physique de la population que l'on y remarque malgré l'absence des hommes, II, 271. Portugais. Découvrent le cap de Bonne - Espérance, II, 191. Comment ils trafiquèrent aux Indes, ibid. - Leurs conquêtes et leurs découvertes. Leur différent avec les Espagnols: par qui jugé, 192, 193. L'or qu'ils ont trouvé dans le Brésil les appauvrira, et achèvera d'ap pauvrir les Espagnols, II, 201.

Bonne loi maritime de ce peuple, 408. Portugal. Combien le pouvoir du clergé y est utile au peuple, I, 54. Tout étranger que le droit du sang y appelleroit à la couronne est rejeté, III, 405. Pouvoir. Comment on en peut réprimer l'abus, I, 291. Pouvoir arbitraire. Maux qu'il fait

dans un état, I, 395. Pouvoir paternel. N'est point l'ori

gine du gouvernement d'un seul, I, 37. Pouvoirs. Il y en a de trois sortes

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Pouvoirs intermédiaires. Quelle est leur nécessité, et quel doit être leur usage dans la monarchie, I, 53. Quel corps doit plus naturellement en être dépositaire, 54. Praticiens. Lorsqu'ils commencerent à se former, les seigneurs perdirent l'usage d'assembler leurs pairs pour juger, II, 538. - Les ouvrages de ceux qui vivoient du temps de saint Louis sont une des sources de nos coutumes de France, 545. Pratiques religieuses. Plus une religion en est chargée, plus elle attache ses sectateurs, II, 343. Pratiques superstitieuses. Une religion qui fait consister dans leur observance le principal mérite de ses sectateurs, autorise par là les désordres, la débauche et les haines, II, 324, 334 et suiv.

Préceptes. La religion en doit moins

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donner que de conseils, II, 317. Préceptions. Ce que c'étoit sous la première race de nos rois; par qui et quand l'usage en fut aboli, III, 123. Abus qu'on en fit, 176. Predestination. Le dogme de Mahomet sur cet objet est pernicieux à la société, II, 321. Une religion qui admet ce dogme

a besoin d'être soutenue par des lois civiles sévères et sévérement exécutées. Source et ef fet de la prédestination mahométane, 323, 324. - Ce dogme donne beaucoup d'attachement pour la religion qui l'enseigne, 342, 343. Prerogatives. Celles des nobles ne doivent point passer au peuple, 1, 121.

Presents. On est oblige, dans les états despotiques, d'en faire à ceux à qui on demande des grâces, 1, 141.Sont odieux dans une république et dans une monarchie, 142. Les magistrats n'en doivent recevoir aucun, ibid. — C'est une grande impiété de croire qu'ils apaisent aisément la divinité, II, 353. Présomptions. Celle de la loi vaut mieux que celle de l'homme, III, 23.

Prét. Du prêt par contrat, II, 249. Prêt à intérêt. C'est dans l'Evan

gile et non dans les rêveries des scolastiques qu'il en faut chercher la source, II, 187. Préteurs. Quelles qualités doivent avoir, I, 43. Pourquoi introduisirent à Rome les actions de bonne foi, 160.-Leurs principales fonctions à Rome, 334.

Temps de leur création : leurs fonctions; durée de leur pouvoir à Rome, 339. Suivoient la lettre plutôt que l'esprit des lois, II, 419. — Quand commencèrent à être plus touchés des raisons d'équité que de l'esprit de la loi, 425. Pretres. Sources de l'autorité qu'ils ont ordinairement chez les peuples barbares, II, 52. Les peuples qui n'en ont point sont ordinairement barbares; leur origine; pourquoi ont s'est ac

coutumé à les honorer, pourquoi sont devenus un corps séparé; dans quel cas il seroit dangereux qu'il y en eût trop; pourquoi il y a des religions qui leur ont ôté non-seulement l'embarras des affaires mais même celui d'une famille, II, 348 et suiv. Preuves. L'équité naturelle demande que leur évidence soit proportionnée à la gravité de l'accusation, III, 215, 226. Celles que nos pères tiroient de l'eau bouillante, du fer chaud et du combat singulier, n'étoient pas si imparfaites qu'on le pense, II, 459 et suiv. Preuves négatives. N'étoient point admises par la loi salique; elles l'étoient par les autres lois barbares, III, 455 et suiv. En quoi consistoient, ibid. Les inconvénients de la loi qui les admettoit étoient réparés par celle qui admettoit le combat singulier, 457. Exception de la loi salique à cet égard, 455. -Autre exception, 459. convénients de celles qui étoient en usage chez nos pères, 466 et suiv. Comment entraînoient la jurisprudence du combat judiciaire, 467, 468. Ne furent jamais admises dans les tribunaux ecclésiastiques, 471. Preuves par l'eau bouillante. Admises par la loi salique. Tempé rament qu'elle prenoit pour en adoucir la rigueur, II, 459. Comment se faisoient, 463. Dans quel cas on y avoit recours, 464.

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Preuves par l'eau froide. Abolies par Lothaire, II, 471. Preuves par le combat. Par quelles lois admises, II, 457, 464. Leur origine, 457.- Lois particulières à ce sujet, ibid. Etoient en usage chez les Francs:

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une monarchie. Quelle doit être la règle de ses volontés, I, 53. -Est la source de tout pouvoir dans une monarchie, 54. Il y en a de vertueux, 67. Sa sûreté, dans les mouvements de la monarchie, dépend de l'attachement des corps intermédiaires pour les lois, 125.- En quoi consiste sa vraie puissance, 256, Quelle réputation lui est la plus utile, 264. Souvent ne sont tyrans que parce qu'ils sont foibles, 361, 362. Ne doit point empêcher qu'on lui parle des sujets disgraciés, 291.

La plupart de ceux de l'Europe emploient pour se ruiner des moyens que le fils de famille le plus dérangé imagineroit à peine, 413.- Doit avoir toujours une somme de réserve: il se ruine quand il dépense exactement ses revenus, ibid. Règles qu'il doit suivre, quand il veut faire de grands changements dans sa nation, II, 67. Ne doit point faire le commerce, 119. Dans quels rapports peut fixer la valeur de la monnoie, 219.- Il est nécessaire qu'il croie, qu'il aime, ou qu'il craigne la religion, 310.

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Indiens pour s'assurer que leur roi est de ce sang, II, 377. Principe du gouvernement. Ce que c'est; en quoi diffère du gouvernement, I, 59. Quel est celui des divers gouvernements, 60 et suiv. Sa corruption entraine presque toujours celle du gouvernement, 229 et suiv. — Moyens très-efficaces pour conserver celui de chacun des trois gouvernements, 239 et suiv. Privileges. Sont une des sources de la variété des lois dans une monarchie, I, 152. Ce que l'on nommoit ainsi à Rome, du temps de la république, 377, 378.

Priviléges exclusifs. Doivent rare

ment être accordés pour le commerce, II, 113, 120. Prix. Comment celui des choses se fixe dans la variation des richesses de signe, II, 214. Probité. N'est pas nécessaire pour le maintien d'une monarchie ou d'un état despotique, I, 60. Combien avoit de force sur le peuple romain, 171. Procédés. Faisoient, au commen

cement de la troisième race, toute la jurisprudence, II, 473. Procédure. Le combat judiciaire l'avoit rendue publique, II, 515.--Comment devint secrete, 516. Lorsqu'elle commença à devenir un art, les seigneurs

perdirent l'usage d'assembler leurs pairs pour juger, 538. Procédure par record. Ce que c'étoit, II, 516.

Procès entre les Portugais et les Espagnols. A quelle occasion: par qui jugé, II, 192. Procès criminels. Se faisoient autrefois en public: pourquoi : abrogation de cet usage, II, 516.

PROCOPE. Faute commise par cet usurpateur de l'empire, I, 147. Proconsuls. Leurs injustices daus les provinces, I, 344. Procureurs du roi. Utilité de ces magistrats, I, 168.- Etablis à Majorque par Jacques II, II, 523.

Procureurs généreux. Il ne faut pas les confondre avec ce qu'on appeloit autrefois avoués: différence de leurs fonctions, II, 520.

Prodigues. Pourquoi ne pouvoient pas tester, U, 414, 415. Professions. Ont toutes leur lot: les richesses seulement pour les traitants, la gloire et l'honneur pour la noblesse, le respect et la considération pour les ministres et les magistrats, I, 417. -Est-il bon d'obliger les enfants de n'en point prendre d'autre que celle de leur père? II, 121,

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