Page images
PDF
EPUB

211.- Doivent être tirées de la nature de chaque crime, 352 et suiv.

le bon sens, que l'on doit suivre quand on impose des pénitences autres ou à soi-même,

II, 322. Pensées. Né doivent point être punies, I, 366.

PEONIUS. La perfidie de son fils prouve que les offices des comtes étoient annuels, et qu'ils les rendoient perpétuels à force d'argent, III, 116.

aux Quelles doivent être celles des sacriléges, ibid.-Des crimes qui sont contre les mœurs ou contre la pureté, 354.-Des crimes coutre la police, ibid., 355.-Des crimes qui troublent la tranquillité des citoyens sans en attaquer la sûreté, ibid.. Quelles doivent être celles des crimes qui attaquent la sûreté publique, ibid. — Quel doit être leur objet, 371. On ne doit point en faire subir qui violent la pudeur, ibid. On en doit faire usage pour arrêter les crimes, et non pour faire changer les manières d'une nation, II, 67. Imposées par les lois romaines contre les célibataires, 287, 288. Une religion qui n'en annonceroit point pour l'autre vie n'attacheroit pas beaucoup, 344.-Celles des lois barbares étoient toutes pécuniaires; ce qui rendoit la partie publique inutile, 519.- Pourquoi il y en avoit tant de pécuniaires chez les Germains qui étoient si pauvres, III, 79. Peines fiscales. Pourquoi plus grandes en Europe qu'en Asie, I, 405.

[ocr errors]
[blocks in formation]
[ocr errors]

PEPIN. Fit rédiger les lois des Frisons, II, 429. Constitution de ce prince qui ordonne de suivre la coutume partout où il n'y a pas de loi, mais de ne pas préférer la coutume à la loi, 452. Explication de cette constitution, 453. De son temps, les coutumes avoient moins de force que les lois: on préféroit cependant les coutumes; enfin elles prirent entièrement le dessus, 454. Comment sa maison devint puissante: attachement singulier de la nation pour elle, III, 135, 136. Se rendit maître de la monarchie en protégeant le clergé, 144.-Précaution qu'il prit pour faire rentrer les ecclésiastiques dans leurs biens, 150.

[ocr errors]

- Fait oindre et bénir ses deux fils en même temps que lui: fait obliger les seigneurs à n'élire jamais personne d'une autre race. Ces faits, avec plusienrs autres qui suivent, prouvent que, pendant la seconde race, la couronne étoit élective, 163 et suiv. Partage son royaume entre ses deux fils, ibid.· La foi et hommage a-t-elle commencé à s'établir de son temps, 208.

Pères. Doivent-ils être punis pour

leurs enfants? I, 188.- C'est le comble de la fureur despotique que leur disgrâce entraîne celle

de leurs enfants et de leurs fem. mes, 390. Sont dans l'obligation naturelle d'élever et de nourrir leurs enfants : et c'est pour trouver celui que cette obligation regarde que le mariage est établi, II, 260.- Est-il juste que le mariage de leurs enfants dépende de leur consentement? 266.- Il est contre la nature qu'un père puisse obliger sa fille à répudier son mari, surtout s'il consenti au mariage, 371. Dans quels cas sont autorisés, par le droit naturel, à exiger de leurs enfants qu'ils les nourrissent, 373.- Sont-ils obligés, par le droit naturel, de donner à leurs enfants un métier pour gagner leur vie? ibid.—La loi naturelle leur ordonne de nourrir leurs enfants, mais non pas de les faire héritiers, 375.Pourquoi ne peuvent pas épouser leurs filles, 388.- Pouvoient vendre leurs enfants. De là la faculté sans bornes que les Romains avoient de tester, 412. -La force du naturel leur faisoit souffrir à Rome d'ètre coufondus dans la sixième classe, pour éluder la loi Voconienne en faveur de leurs enfants, 419. Père de famille. Pourquoi ne pouvoit pas permettre à son fils, qui étoit en sa puissance, de tester, III, 415.

Pères de l'église. Le zèle avec lequel ils ont combattu les lois Juliennes est pieux, mais mal entendu, II, 285. Périéciens.Peuple vaincu par lesCrétois. Etoient condamnés à exer cer l'agriculture, regardée comme une profession servile, 1, 93. Perse. Les ordres du roi y sont

irrévocables, I, 74. — Comment le prince s'y assure la couronne, 133.- Bonne coutume

de cet état, qui permet à qui veut de sortir du royaume, 391. Les peuples y sont heureux parce que les tributs y sont en régie, 416. - La polygamie, du temps de Justinien, n'y empèchoit pas les adultères, 481. Les femmes n'y sont pas même chargées du soin de leurs habillements, 490.-La religion des Guebres a rendu ce royaume florissant; celle de Mahomet le détruit pourquoi, II, 321.C'est le seul pays où la religion des Guèbres pût convenir, 340. -Le roi y est chef de la religion : l'Alcoran borne son pouvoir spirituel, 355.—Il est aisé, en suivant la méthode de M. l'abbé Dubos, de prouver qu'elle ne fut point conquise par Alexandre, mais qu'il y fut appelé par les peuples, III, 103. Perses. Leur empire étoit despotique, et les anciens le prenoient pour une monarchie, I, 315.-Coutume excellente chez eux pour encourager l'agriculture, 430. Comment vinrent à bout de rendre leur pays fertile et agréable, II, 20. — Etendue de leur empire: en surent-ils profiter pour le commerce? 146 et suiv.-Préjugé singulier qui les a toujours empêchés de faire le commerce des Indes, 147.Pourquoi ne profitèrent pas de la conquête de l'Egypte pour leur commerce, 151.- Ayoient des dogmes faux, mais trèsutiles, 333.-Pourquoi avoient consacré certaines familles au sacerdoce, 349. - Epousoient leur mère, en conséquence du précepte de Zoroastre, 391. Personnes. Dans quelle proportion

doivent être taxées, I, 399. Peste. L'Egypte en est le siége principal sages précautions

[ocr errors]

prises en Europe pour en empêcher la communication, I, 436.

Pourquoi les Turcs prennent si peu de précautions contre cette maladie, 437. Petits-enfants. Succédoient, dans l'ancienne Rome, à l'aïeul paternel, et non à l'aïeul maternel raisons de cette disposition, II, 410, 411. Peuple. Quand il est souverain, comment peut user de sa souveraineté, I, 41. Ce qu'il doit faire par lui-même quand il est souverain: ce qu'il doit faire par ses ministres, 42. Doit, quand il a la souveraineté, nommer ses ministres et son sé

[merged small][merged small][ocr errors]

il est souverain, par qui doit être conduit, 44.· Son incapacité dans la conduite de cer*taines affaires, ibid.-De quelle importance il est que, dans les états populaires, la division que l'on en fait par classes soit bien faite, ibid.- Ses suffrages doivent être publics, 47. - Son caractère, ibid. - Doit faire les lois dans une démocratie, 48. - Quel est son état dans l'aristocratie, 49.

nes maximes qu'il a une fois embrassées, 98. Peut-il,

dans une république, être juge des crimes de lèse-majesté? 160. et suiv.- Les lois doivent mettre un frein à la cupidité qui le guideroit dans les jugements des crimes de lèse-majesté, 161. Cause de sa corruption, 225,

Ne doit pas, dans un état libre, avoir la puissance légis lative à qui doit la confier, 298. Son attachement pour les bons monarques, 383. Jusqu'à quel point on doit le charger d'impôts, 398 et suiv. Veut qu'on lui fasse illusion dans la levée des impôts: comment on peut conserver cette illusion, 402. Est plus heureux sous un gouvernement barbare que sous un gouvernement corrompu, 412. SON SALUT EST LA PREMIÈRE LOI, II, 405. Peuple d'Athènes. Comment fut divisé par Solon, I, 45. Peuple de Rome. Son pouvoir sous les cinq premiers rois, I, 318 et suiv. Comment il établit sa liberté, 323 et suiv. — Sa trop grande puissance étoit cause de l'énormité de l'usure, II, 251 et Pourquoi Louis-le-Débonnaire lui abandonna le droit d'élire les papes, III, 157, 158. Peuple naissant. Il est incommode d'y vivre dans le célibat; il ne l'est point d'y avoir des enfants:

c'est le contraire dans un peuple formé, II, 268, 269. Peuple romain. Comment il fut divisé par Servius Tullius, I, 44.

suiv. Il est utile que, dans l'aristocratie, il ait quelque influence dans le gouvernement, ibid.-Il est difficile que, dans une monarchie, il soit ce que l'auteur appelle vertueux : pourquoi, 68. Comment, dans les états despotiques, il est à l'abri des ravages des ministres, 72. Ce qui fait sa súreté dans les états despotiques, 75. La cruauté du souverain le soulage quelquefois, ibid. Pourquoi on méprise sa franchise dans une monarchie, 79. Tient long-temps aux bon

Comment étoit divisé du temps de la république, et comment s'assembloit, 324. Peuples. Ceux qui ne cultivent point les terres sont plutôt goule droit des gens par

vernés

que par le droit civil, II, 24. et suiv. Leur gouvernement, leurs mœurs, 25 et suiv. — Ne tirent point leurs ornements de l'art, mais de la nature; de la la longue chevelure des rois francs, 43. Leur pauvreté peut dériver de deux causes qui ont différents effets, 102. Peur. Les Lacédémoniens érigent un autel à la peur; pourquoi? II, 311.

PHALEAS de Chalcédoine. En vou

lant établir l'égalité, il la rendit odieuse, I, 105.

PHEDRE. Eloge de la Phèdre de

[blocks in formation]

siége d'une ville, I, 384. Comment profita d'une loi de la Grèce, qui étoit juste mais imprudente, III, 4. PHILIPPE II, dit Auguste. Ses établissements sont une des sources des coutumes de France, II, 544.

PHILIPPE IV, dit le Bel. Quelle

autorité il donna aux lois de Justinien, II, 537. PHILIPPE VI, dit de Valois. Abolit l'usage d'ajourner les seigneurs sur les appels des sentences de leurs juges, et soumit leurs baillis à cet ajournement, II,

513.

PHILIPPE II, roi d'Espagne. Ses richesses furent cause de sa banqueroute et de sa misère, II, 197. Absurdité dans laquelle il tomba, quand il proscrivit le prince d'Orange, III, 25.

de l'esprit DES LOIS. T. III.

PHILON. Explication d'un passage de cet auteur touchant les mariages des Athéniens et des Lacédémoniens, I, 104. Philosophes. Où ont-ils appris les lois de la morale? III, 233. Philosophie. Commença à introduire le célibat dans l'empire: le christianisme acheva de l'y mettre en crédit, II, 293. PIERRE Ier (le czar). Mauvaise loi de ce prince, I, 386. Loi sage de ce prince, 398. — S'y prit mal pour changer les mœurs et les manières des Moscovites, II, 67. Comment a joint le Pont-Euxin à la mer Caspienne, 135.

Piété. Ceux que cette vertu inspire parlent toujours de religion, parce qu'ils l'aiment, II, 341.

Pistes. Voyez Edit de Pistes. Places fortes. Sont nécessaires sur les frontières d'une monarchie, pernicieuses dans un état despotique, I, 255.

Placites des hommes libres. Ce qu'on appeloit ainsi dans les temps reculés de la monarchie, III, 71.

Plaideurs. Comment traités en Turquie, I, 155. - Passions funestes dont ils sout animés, 156.

Plaines. La monarchie s'y établit mieux qu'ailleurs, II, 15. Plantes. Pourquoi suivent mieux les lois naturelles que les bêtes, 1, 31, 32.

PLATON. Ses lois étoient la correction de celles de Lacédémone, I, 87. Doit servir de modèle à ceux qui voudront faire des institutions nouvelles, 89, 90. Ses lois ne pouvoient subsister que dans un petit état, 91. Regardoit la musique comme une chose essentielle dans

[ocr errors]

28

-

un état, 92. Vouloit qu'on punît un citoyen qui faisoit le commerce, 94.- Vouloit qu'on punît de mort ceux qui recevoient des présents pour faire leur devoir, 142. Compare la vénalité des charges à la vénalité de la place de pilote dans un vaisseau, 148. Ses lois ôtoient aux esclaves la défense naturelle on leur doit même la défense civile, 467.Pourquoi il vouloit qu'il y eût moins de lois dans une ville où il n'y a point de commerce maritime que dans une ville où il y en a, II, 118, 119. -Ses préceptes sur la propagation, 277. Regardoit avec raison comme également impies ceux qui nient l'existence de Dieu, ceux qui croient qu'il ne se mêle point des choses d'ici-bas, et ceux qui croient qu'on l'apaise par des présents, 352, 353. A fait des lois d'épargne sur les funérailles, ibid. Dit que les dieux ne peuvent pas avoir les offrandes des impies pour agréables, puisqu'un homme de bien rougiroit de recevoir des présents d'un malhonnête homme, 353, 354. Loi de ce philo. sophe contraire à la loi naturelle, 370. Dans quel cas il vouloit que l'on punît le suicide, III, 8, 24. Loi vicieuse de ce philosophe, 24. Source du vice de quelques-unes de ses lois, 28.

PLAUTIUS. Son crime, qu'il ne faut pas confondre avec celui de Papirius, affermit la liberté de Rome, I, 381. Plébéiens. Pourquoi ont eu tant de peine, à Rome, à s'élever aux grandes charges: pourquoi ils ne le furent jamais à Athènes, quoiqu'ils eussent droit d'y pré

[ocr errors][merged small][ocr errors][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small]
« PreviousContinue »