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Novelles de Justinien. Sout trop

diffuses, III, 18.

NUMA. Fit des lois d'épargne sur les sacrifices, II, 353. — Ses lois sur le partage des terres

Obéissance. Différence entre celle qui est due dans les états modérés et celle qui est due dans les états despotiques, I, 74.—L'honneur met des bornes à celle qui est due au souverain dans une monarchie, 81.

Obligations. Celles que les matelots passent entre eux dans un navire doivent-elles être regardées comme nulles? II, 408. Offices, Les maires du palais contribuèrent de tout leur pouvoir à les rendre inamovibles: pourquoi, III, 136. - Quand les grands commencèrent à devenir héréditaires, 191. Officiers généraux. Pourquoi, dans

les états monarchiques, ils ne sont attachés à aucun corps de mil.ce, I, 140.-Pourquoi il n'y en a point en titre dans les états despotiques, ibid. Offiandes. Raison physique de la maxime religieuse d'Athènes, qui disoit qu'une petite offrande honoroit plus les dieux que le sacrifice d'un bœuf, II, 337, 338.Bornes qu'elles doivent avoir: on n'y doit rien admettre de ce qui approche du luxe,

352.

Olim. Ce que c'est que les registres que l'on appeloit ainsi, II, 532.

Oncles. Sont regardés, aux Indes,

comme les pères de leurs neveux c'est ce qui fait que les mariages entre beau-frere et

0.

furent rétablies par Servius Tul

lius, 411.

Numidie. Les frères du roi succé

doient à la couronne, à l'exclusion de ses enfants, II, 376.

belle-sœur y sont permis, If, 393. Oppienne. Voyez Loi Oppienne. Or. Plus il y en a dans un état, plus cet état est pauvre, II, 197. La loi qui défend en Espagne de l'employer en superfluites est absurde, 201. — Cause de la quantité plus ou moins grande de l'or et de l'argent, 211. Dans quel sens il seroit utile qu'il y en eût beaucoup, et dans quel sens il seroit utile qu'il y en eût peu, 212.- De sa rareté relative à celle de l'argent, 217, 218.

Or (côte d'). Si les Carthaginois avoient pénétré jusque-là, ils y auroient fait un commerce bien plus important que celui que l'on y fait aujourd'hui, II, 168.

Oracles. A quoi Plutarque attribue leur cessation, II, 279. ORANGE (le prince d'). Sa pros cription, III, 25.

Orchomène. A été une des villes les plus opulentes de la Grèce : pourquoi, II, 144.-Sous quel autre nom cette ville est connue, 145. Ordonnance de 1287. C'est à tort qu'on la regarde comme le titre de création des baillis; elle porte seulement qu'ils seront pris parmi les laïques, II, 541.

de 1670. Faute que l'auteur attribue mal à propos à ceux qui l'ont rédigée, III, 20.

Ordonnances. Les barons, du Orléans. Le combat judiciaire y

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temps de saint Louis, n'étoient soumis qu'à celles qui s'étoient faites de concert avec eux, II, 5ag. Ordres. Ceux du despote ne peuvent être ni contredits ni éludés, I, 74, 75. Orgueil. Est la source ordinaire

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de notre politesse, I, 80. Source de celui des courtisans; ses différents degrés, 81.- Est pernicieux dans une nation, II, 61. Est toujours accompagné de la gravité et de la paresse, ibid. Peut être utile quand il est joint à d'autres qualités morales : les Romains en sont une preuve, 62, 63. Orient. Il semble que les eunuques y sont un mal nécessaire, I, 473. - Une des raisons qui ont fait que le gouvernement populaire y a toujours été difficile à établir, est que le climat demande que les hommes y aient un empire absolu sur les femmes, 483, 484. - Principe de la morale orientale, 485 et suiv. -Les femmes n'y ont pas le gouvernement intérieur de la maison; ce sont les eunuques, 490. Il n'y est point ques tion d'enfants adultérius, II, 264.

Orientaux. Absurdité de l'un de leurs supplices, I, 371. — Raisons physiques de l'immutabilité de leur religion, de leurs mœurs, de leurs manières et de leurs lois, 427. — Tous, excepté les mahométans, croient que toutes les religions sont indifférentes en elles-mêmes, II, 365.

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étoit en usage dans toutes les demandes pour dettes, II, 473. Orphelins. Comment un état bien policé pourvoit à leur subsistance, II, 305.

Orphitien. Voy. Sénatus-consulte. ORTE (le vicomte d'). Refuse par honneur d'obéir à son roi, I, 81, 82. Ostracisme. Prouve la douceur du gouvernement populaire qui l'employoit, II, 398. Pourquoi nous le regardons comme une peine, tandis qu'il couvroit d'une nouvelle gloire celui qui y étoit condamné, 398, 399.

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- On cessa de l'employer dès qu'on en eut abusé contre un homme sans mérite, 399.- Fit mille maux à Syracuse, et fut une chose admirable à Athènes, III, 6.

Ostrogoths. Les femmes, chez eux, succédoient à la couronne, et pouvoient régner par elles-mêmes, II, 42. — Théodoric abolit chez eux l'usage du combat judiciaire, 469. L'auteur promet un ouvrage particulier sur leur monarchie, II, 51. OTHONS. Autorisèrent le combat judiciaire, d'abord dans les af

faires criminelles, ensuite dans les affaires civiles, II, 466, 467. Ouvriers. On doit chercher à en augmenter, non pas à en diminuer le nombre, II, 274. Laissent plus de biens à leurs enfants que ceux qui ne vivent que du produit de leurs terres,

279.

Oxus. Pourquoi ce fleuve ne se jette plus dans la mer Caspieņne, II, 134.

Paganisme. Pourquoi il y avoit et il pouvoit y avoir dans cette religion des crimes inexpiables, II, 322, 323.

Paiens. De ce qu'ils élevoient des autels aux vices s'ensuit-il qu'ils aimoient les vices? II, 311.

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Pairs. Henri VIII se déft de ceux qui lui déplaisoient par le moyen des commissaires, I. 383.- Etoient les vassaux d'un même seigneur, qui l'assistoient dans les jugements qu'il rendoit pour ou contre chacun d'eux, II, 491, 492.- Afin d'eviter le crime de félonie, on les appeloit de faux jugement, et non pas le seigneur, ibid. Leur devoir étoit de combattre Comment et de juger, 496. rendoient la justice, 537, 538. -Quand commencèrent à ne plus être assemblés par les seigneurs pour juger, 538. — Ce n'est point une loi qui a aboli les fonctions des pairs dans les cours des seigneurs; cela s'est fait peu à peu, 540. Paix. Est la première loi naturelle de l'homme qui ne seroit point en société, I, 34. Est l'effet naturel du commerce, II, 100. Paladins. Quelle étoit leur occu

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pation, II, 179. Palestine. C'est le seul pays, et ses environs, où une religion qui défend l'usage du cochon puisse être bonne : raisons physiques, II, 338. Papes. Employèrent les excommunications pour empêcher que le droit romain ne s'accréditát au préjudice de leurs canons,

P.

II, 537. Les décrétales sont,
à proprement parler, leurs res-
crits; et les rescrits sont une
mauvaise sorte de législation :
pourquoi, III, 26. — Pourquoi
Louis-le-Débonnaire abandonna
leur élection au peuple romain,
157, 158.

Papier. Un impôt sur le papier
destiné à écrire les actes seroit
plus commode que celui qui se
prend sur les diverses clauses
des actes, I, 403.
Papiers circulants. Combien il y en
a de sortes: qui sont ceux qu'il
est utile à un état de faire circu-
ler, II, 242 et suiv.
PAPIRIUS. Son crime, qui ne doit
pas être confondu avec celui de
Plautius, fut utile à la liberté,
I, 381.
Paraguay. Sagesse des lois que les
jésuites y ont établies, I, 89.—
Pourquoi les peuples y sont si
fort attachés à la religion chré-
tienne, tandis que les autres
sauvages le sont si peu à la leur,
II, 346.

Paresse. Celle d'une nation vient de son orgueil, II, 61. — Dé dommage les peuples des maux que leur fait souffrir le pouvoir. arbitraire, I, 395.

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Paresse de l'ame. Sa cause et son effet, II, 324. Parlement. Ne devroit jamais frapper ni sur la juridiction des seigneurs, ni sur la juridiction ecclésiastique, I, 54. - Il en faut dans une monarchie, 55. - Plus il délibère sur les ordres du prince, mieux il lui obéit, 123.- A souvent, par sa fermeté, préservé le royaume de

--

sa chute, 124. Son attachement aux lois est la sûreté du prince dans les mouvements de la monarchie, 126. La manière de prononcer des enquêtes, dans le temps de leur création, n'étoit pas la même que celle de la grand'chambre: pourquoi, II, 514, 515. Ses jugements avoient autrefois plus de rapport à l'ordre politique qu'à l'ordre civil: quand et com. ment il descendit dans le détail civil, 531, 532. Rendu sédentaire, il fut divisé en plusieurs classes, 532. A réformé les abus intolérables de la juridiction ecclésiastique, 534. A mis, par un arrêt, des bornés à la cupidité des ecclésiastiques, 535. Voyez Corps législatif. Paroles. Quand sont crimes, et quand ne le sont pas, I, 366. Parricides. Quelle étoit leur peine

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du temps de Henri Ier, II,

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Parthes. L'affabilité de Mithridate leur rendit ce roi insupportable: cause de cette bizarrerie, II, 55. -Révolutions que leurs guerres avec les Romains apportèrent dans le commerce, 183. Partie publique. Il ne pouvoit y en avoir dans le temps que les lois des barbares étoient en vigueur : il ne faut pas prendre les avoués pour ce que nous appelons aujourd'hui partie publique : quand a été établie, III, 519 et suiv. Passions. Les pères peuvent plus aisément donner à leurs enfants leurs passions que leurs connoissances: parti que les républiques doivent tirer de cette règle, I, 86. - Moins nous pouvons donner carrière à nos passions particulières, plus nous nous livrons aux générales; de là l'attachement des moines pour leur or

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PAUL. Raisonnement absurde de ce

jurisconsulte, III, 22. Pauvreté. Fait finir les monarchies,

I, 199. Celle d'un petit état
qui ne paie point de tributs est-
elle une preuve que, pour rendre
un peuple industrieux, il faut le
surcharger d'impôts, 394.-Ef-
fets funestes de celle d'un pays,
395. Celle des peuples peut
avoir deux causes: leurs diffé-
rents effets 11, 102.-C'est une
absurdité de dire qu'elle est favo-
rable à la propagation, 270.
Ne vient pas du défaut de pro-
priété, mais du défaut de travail,
305. Sources ordinaires de la
pauvreté des particuliers. Moyens
de soulager et de prévenir cette
pauvreté : 1° les hôpitaux, ou
plutôt des secours qui ne soient
que passagers comme la cause
du mal, qui, dans un état bien
réglé, ne doit jamais être perpé-
tuelle; 2° l'interdiction de l'hos-
pitalité chez les moines, et de
tous les asiles de la paresse, 305
et suiv.

Pays de droit écrit. Pourquoi les

coutumes n'ont pu y prévaloir sur les lois romaines, II, 451,— Révolutions que les lois romaines y ont essuyées, 452. Pays formes par l'industrie des hommes. La liberté y convient, II, 18, 19.

Paysans. Lorsqu'ils sont à leur aise, la nature du gouvernement leur est indifférente, II, 13. Péché originel. L'auteur étoit-il

obligé d'en parler dans son chapitre premier, III, 229. Péculat. Ce crime est naturel dans

les états despotiques, 1, 138.La peine dont on le punit à Rone, quand il y parut, prouve que les lois suivent les mœurs, II, 79.

Pédaliens. N'avoient point de pré

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tres, et étoient barbares, 11, 348. Pédanterie. Seroit-il bon d'en introduire l'esprit en France? 58, 59. Pégu. Comment les successions y sont réglées, I, 182. — Un roi de ce pays pensa étouffer de rire, en apprenant qu'il n'y avoit point de roi à Venise, II, 55.Les points principaux de la religion de ses habitants sont la pratique des principales vertus morales, et la tolérance de toutes les autres religions, 318. Peine de mort. Dans quel cas est juste, I, 335.

Peine du talion. Dérive d'une loi antérieure aux lois positives, I, 31. Peines. Doivent être plus ou moins sévères, suivant la nature des gouvernements, I, 168.--Augmentent ou diminuent dans un état, à mesure qu'on s'approche ou qu'on s'éloigne de la liberté, 169. - Tout ce que la loi appelle peine, dans un état modéré, en est une : exemple singulier, 170.-Comment on doit ménager l'empire qu'elles ont sur les esprits, 173. — Quand elles sont outrées, elles corrompent le despotisme mème, 175. Le sénat de Rome préféroit celles qui sont modérées : exemple, 179. Les empereurs romains en proportionneren! la rigueur au rang des coupables, 182. Doivent être dans une juste proportion avec les crimes: la liberté dépend de cette proportion, 183, 352. C'est un grand mal en France qu'elles ne soient pas proportionnées aux crimes, 185. Pourquoi celles que les empereurs romaius avoient prononcées contre l'a dultère ne furent pas suivies,

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