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dangereux à un état de hausser ou baisser la monnoje, 227 et suiv. Quand les Romains firent des changements à la leur, pendant les guerres puniques, ce fut un coup de sagesse qui ne doit point être imité parmi nous, 233 et suiv. A haussé ou baissé à Rome à mesure que l'or et l'argent y sont devenus plus ou moins communs, 236 et suiv." Epoque et progression de l'altération qu'elle éprouva sous les empereurs romains, 238, 239. - Le change empêche qu'on ne la puisse altérer jusqu'à un certain point, 240.

Monnoie idéale. Ce que c'est, II,

210.

210.

Monnoie réelle. Ce que c'est, II, Pour le bien du commerce on ne devroit se servir que de monnoie réelle, 211. Monnoyeurs (faux). La loi qui les déclaroit coupables de lèse-majesté étoit une mauvaise loi, I, 363. Montagnes. La liberté s'y conserve

mieux qu'ailleurs, II, 15. Montagnes d'argent. Ce que l'on

appeloit ainsi, II, 169. MONTESQUIEU (M. DE). Vingt ans avant la publication de l'Esprit des Lois, avoit composé un petit ouvrage qui y est confondu, II, 197. Peu importe que ce soit lui ou d'anciens et célèbres jurisconsultes qui disent des vérités, pourvu que ce soient des vérités, 441. Promet un ouvrage particulier sur la monarchie des Ostrogoths, Preuves qu'il n'est ni déiste ni spinosiste, 214, 215. Admet une religion révélée : croit et aime la religion chrétienne, 219 et suiv. N'aime point à dire des injures,

III,

51.

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Pourquoi il a répondu au Nouvelliste ecclésiastique, 291. MONTÉZUMÁ. Ne disoit pas une

absurdité quand il soutenoit que la religion des Espagnols est bonne pour leur pays, et celle du Mexique pour le Mexique, II, 336, 337. Montfort. Les coutumes de ce comté tirent leur origine des lois du comte Simon, II, 544. Mont Janicule. Pourquoi le peuple de Rome s'y retira : ce qui en résulta, I, 381. MONTPENSIER (la duchesse DE). Les malheurs qu'elle attira sur Henri III prouvent qu'un monarque ne doit jamais insulter ses sujets, I, 389. Mont sacré. Pourquoi le peuple de Rome s'y retira, I, 380. Morale. Ses lois empêchent, à chaque instant, l'homme de s'oublier lui-même, I, 33. · Ses règles doivent être celles de toutes les fausses religions, II, 318. On est attaché à une religion à proportion de la pureté de sa morale, 344.- Nous aimons spéculativement, en matière de morale, tout ce qui porte le caractère de la sévérité, 1. 349.

Mort civile. Etoit encourue, chez les Lombards, la lèpre, pour

I, 435. Moscovie. Les empereurs mêmes y travaillent à détruire le des

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potisme, I, 130. — Le czar y choisit qui il veut pour son successeur, 133. Le défaut de proportion dans les peines cause beaucoup d'assassinats, 185. L'obscurité où elle avoit toujours été dans l'Europe contribua à la grandeur relative de la France sous Louis XIV, 260. Loi bien sage établie dans cet empire par Pierre Ier, 398. Ne peut descendre du despotisme, parce que ses lois sont contraires au commerce et aux opérations du change, 240. Moscovites. Idée plaisante qu'ils avoient de la liberté, I, 289. — Comment sont insensibles à la douleur raison physique de cette insensibilité, 423. Pourquoi se vendent si facilement, 452. Pourquoi ent changé si facilement de mœurs et de manières, II, 67 et suiv. Mosquées. Pourquoi Gengiskan les méprisa si fort, quoiqu'il approuvât tous les dogmes des mahométans, II, 345. Moulins. Il seroit peut-être utile

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vents est l'époque de la naviga tion en pleine mer. Ce que c'est,

temps où ils règnent, leurs effets, II, 156.

Mouvement. Est la hase du monde physique. Ses règles sont invariables. Ses variations mêmes sont constantes, I, 30. Muet. Pourquoi ne peut pas tester, II, 414, 415. Multiplication. Est beaucoup plus grande chez les peuples naissants que chez les peuples formés, * II, 266. MUMMOLUS. L'abus qu'il fit`de la confiance de son père prouve que les comtes, à force d'argent, rendoient perpétuels leurs offices, qui n'étoient qu'annuels, III, 116.

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Musique. Les anciens la regardoient comme une science nécessaire aux bounes mœurs, I, Différence des effets qu'elle produit en Angleterre et en Italie, Raisons physiques de cette différence, tirées de la différence des climats, 423. MUTIUS SCEVOLA. Punit les traitants pour rappeler les bonnes mœurs, 1, 341.

peuple de la Louisiane à déroger à la constitution essentielle de ses moeurs. Ils sont esclaves quoiqu'ils n'aient pas de monnoie, II, 29.

Nations. Comment doivent se trai

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guée ne peut avoir qu'un oppres seur, II, 87.- Comparées aux particuliers: quel droit les gouverne, 194.

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Nature. Les sentiments qu'elle inspire sont surbordonnés, dans les états despotiques, aux volontés du prince I, 74. Douceur et grandeur des délices qu'elle prépare à ceux qui écoutent sa voix, 340, 359.

Elle compense avec justesse les biens et les maux, 395.. Les mesures qu'elle a prises pour assurer la nourriture aux enfants détruisent toutes les raisons sur lesquelles on fonde l'esclavage de naissance, 447, 448.

- C'est elle qui entretient les commodités que les hommes ne tirent que de l'art, II, 20.— -C'est elle presque seule, avec le climat, qui gouverne les sauvages, 57. Sa voix est la plus douce de toutes les voix, 373.

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Ses lois ne peuvent être locales et sont invariables, 392. Nature du gouvernement. Ce que c'est en quoi diffère du principe du gouvernement, I, 59. Naufrage (droit de). Epoque de

l'établissement de ce droit insensé; tort qu'il fit au commerce, II, 184, Navigation. Effets d'une grande

navigation, II, 106.- Combien l'imperfection de celle des anciens étoit utile au commerce des Tyriens, 135. — Pourquoi celle des anciens étoit plus lente que la nôtre, 136 et suiv.

Comment fut perfectionnée par les anciens, 158.-N'a point contribué à la population de l'Europe, 301. Défendue, sur les fleuves, par les Guèbres. Cette loi, qui partout ailleurs auroit été funeste, n'avoit nul inconvénient chez eux, III, 339.

Navires. Pourquoi leur capacité se mesuroit-elle autrefois par muids de blé, et se mesure-t-elle aujourd'hui par tonneaux de liqueurs, II, 130.-Causes physiques de leurs différents degrés de vitesse, suivant leurs différentes grandeurs et leurs différentes formes, 138. — Pourquoi les nôtres vont presque à tous les vents, et que ceux des anciens n'alloient presque qu'à un seul, ibid. Comment on mesure la charge qu'ils peuvent porter, 141.- Les obligations, civiles que les matelots y passent entre eux doivent-elles être regardées comme nulles? 408. Négociants. Dans quel gouvernement ils peuvent faire de plus grandes entreprises, II, 103.

Il est bon qu'ils puissent acquérir la noblesse, 121. Négociants (compagnies de). Ne conviennent jamais dans le gou, vernement d'un seul, et rarement dans les autres, II, III. Nègres. Motif singulier qui détermina Louis XIII à souffrir que ceux de ses colonies fussent esclaves, I, 449. Raisons admirables qui font le fondement du droit que nous avons de les rendre esclaves, 450.. Comment trafiquent avec les Maures, II, 205.-Monnoie de ceux des côtes de l'Afrique, 216. NERON. Pourquoi ne voulut pas faire les fonctions de juge, I, 164. -Loi droite et utile dé cet em

pereur, 400, 401.· Dans les beaux jours de son empire il voufut détruire les fermiers et les traitants, 417. Comment il éluda de faire un loi touchant les affranchis, 469. Neveux. Sont regardés aux Indes

comme les enfants de leurs oncles. De là le mariage entre le

beau-frère et la belle-sœur y est permis, II, 393. NITARD. Témoignage que cet his

torien, témoin oculaire, nous rend du règne de Louis-le-Débonnaire, III, 174, 175. Nobles. Sont l'objet de l'envie dans l'aristocratie, I, 49. — Quand ils sont en grand nombre dans une démocratie, police qu'ils doivent mettre dans le gouvernement, ibid. - Répriment facilement le peuple dans une aristocratie, et se répriment difficilement eux-mêmes, 65. — Doivent être populaires dans une démocratie, 114. — Doivent être tous égaux dans une aristocratie, 120. - Ne doivent, dans une aristocratie, ètre ni trop pauvres ni trop riches moyens de prévenir ces deux excès, ibid. — N'y doivent point avoir de contestations, ibid. Comment punis autrefois en France, 171. — Quelle est leur unique dépense à Venise, 196. Quelle part ils doivent avoir, dans un état libre, aux trois pouvoirs, 300. -Doivent, dans un état libre, être jugés par leurs pairs, 305. -Cas où, dans un état libre, ils doivent être juges des citoyens de tout étage, 305, 306. Noblesse. Doit naturellement, dans une monarchie, être dépositaire du pouvoir intermédiaire, I, 54. Elle a des vices qui, dans une monarchie, empêchent qu'elle puisse être dépositaire des lois, 57. - Sa profession est la guerre : l'honneur l'y entraine; l'honneur l'en arrache, 81. L'honneur en est l'enfant et le père, 121. — Doit être soutenue dans une monarchie moyens d'y réussir, ibid. --Doit seule posséder les fiefs

dans une monarchie : ses priviléges ne doivent point passer au peuple, ibid. Causes des dif férences dans les partages des biens qui lui sont destinés, 152. -Est toujours portée à défendre le tróne: exemples, 230. -Doit, dans un état libre, former un corps distingué, qui ait part à la législation doit y être héréditaire : comment sa part dans le pouvoir législatif doit être limitée, 300, 301. La gloire et l'honneur sont sa récompense, 318. Le commerce lui doit-il être permis dans une monarchie? 120, 121. -Estil utile qu'on la puisse acquérir à prix d'argent? 122.— Celle de robe comparée avec celle d'épée, ibid. — Quand commença à quitter, mème à mépriser la fonction du juge, 538, 539.

Noblesse françoise. Le système de M. l'abbé Dubos, sur l'origine de notre noblesse françoise est faux et injurieux au sang de nos premières familles, et aux trois grandes maisons qui ont régné sur nous, IH, 104. — Il paroit que l'auteur la fait dériver des antrustions, 106 et suiv. -Quand et dans quelle occasion elle commença à refuser de suivre les rois dans toutes sortes de guerres, 189, 190. Noces (secondes). Etoient favorisées et même prescrites par les anciennes lois romaines : le christianisme les rendit défavorables, II, 288 et suiv.

Noirs. Voyez Nègres. Noms. Contribuent beaucoup à la propagation l vaut mieux qu'ils distinguent les familles que les personnes seulement, II, 262.

Nord. Raisons physiques de la force

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du corps, du courage, de la franchise, etc., des peuples du nord, I, 419 et suiv. Les peuples y sont fort peu sensibles à l'amour, 423.- Raisons physiques de la sagesse avec laquelle ces peuples se maintinrent contre la puissance romaine, 426. Les passions des femmes y sont fort tranquilles, 488.- Est toujours habité, parce qu'il est presque inhabitable, II, 15, 16. Ce qui rend son commerce nécessaire avec le midi, 129.-Les femmes et les hommes y sont plus longtemps propres à la génération qu'en Italie, 290.- Pourquoi le protestantisme y a été mieux reçu que dans le midi, 315. Normandie. Les coutumes de cette province ont été accordées par le duc Raoul, III, 544. Normands. Leurs ravages causè

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noircir l'auteur de l'Esprit des Lois sont des calomnies atroces: preuves sans réplique, III, 214 et suiv. Nouvelliste ecclésiastique. N'entend jamais le sens des choses, III, 219.-Méthode singulière dont il se sert pour s'autoriser à dire des invectives à l'auteur, 232.

Jugements et raisonnements absurdes et ridicules de cet écrivain, 234 et sulv. Quoiqu'il n'ait d'indulgence pour personne, l'auteur en a beaucoup pour lui, 240.-Pourquoi a déclamé contre l'Esprit des Lois, qui a l'approbation de toute l'Europe; et comment il s'y est pris pour déclamer ainsi, 241 et suiv. Sa mauvaise fõi, 247.Sa stupidité ou sa mauvaise foi dans les reproches qu'il fait à l'auteur touchant la polygamie, 252. - Veut que, dans un livre de jurisprudence, on ne parle que de théologie, 260, 261.— Imputation stupide ou méchante de cet écrivain, 262, 263. Juste appréciation de ses talents et de son ouvrage, 278. Sa critique de l'Esprit des Lois est pernicieuse; pleine d'ignorance, de passion, d'inattention, d'orgueil, d'aigreur : n'est ni travaillée, ni réfléchie: est inutile, dangereuse, calomnieuse, contraire à la charité chrétienne, même aux vertus simplement humaines; pleine d'injures atroces, pleine de ces emportements que les gens du monde ne se permettent jamais elle annonce un méchant caractère : contraire au bon sens, à la religion; capable de rétrécir l'esprit des lecteurs : pleine d'un pédantisme qui va à détruire toutes les sciences, 283 et suiv.

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