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Comment celles d'une nation peuvent être formées par les lois, 83 et suiv. Cas où les lois en dépendent, ibid. et suiv. MANLIUS. Moyens qu'il employoit

pour réussir dans ses desseins ambitieux, I, 380. Mansus. Ce que signifie ce mot dans le langage des capitulaires, III, 54. MANUEL COMNÈNE. Injustices commises sous son règne, sous prétexte de magie, I, 356, 357. Manufactures. Sont nécessaires

dans nos gouvernements : doit-on chercher à en simplifier les machines? II, 274. MARC-ANTONIN. Sénatus - consulte qu'il fit prononcer touchant les mariages, II, 387. Marchands. Il est bon, dans

les gouvernements despotiques, qu'ils aient une sauvegarde personnelle, I, 404.-Leurs fonctions et leur utilité dans un état modéré, 272, 273. Ne doi

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vent point être gênés par les difficultés des fermiers, 114.-Les Romains les rangeoient dans la classe des plus vils habitants, 176. Marchandises. Les impôts que l'on met sur les marchandises sont les plus commodes et les moins onéreux, I, 400.- Ne doivent point être confisquées, même en temps de guerre, si ce n'est par représailles bonne politique des Anglois ; mauvaise politique des Espagnols sur cette matière, II, 116. En peut-on fixer le prix? 214.- Comment on en fixe le prix dans la variation des richesses de signe, ibid.

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- Leur quantité croît par une augmentation de commerce, 217. MARCULFE. La formule qu'il rap

porte, et qui traite d'impie la coutume qui prive les filles de la succession de leurs pères, est-elle juste? II, 374.—Appelle antrustions du roi ce que nous appelons ses vassaux, III, 64.

Mariage. Pourquoi celui du plus proche parent avec l'héritière est ordonné chez quelques peuples, I, 103.- Il étoit permis, à Athènes, d'épouser sa sœur consanguine, et non pas sa sœur utérine: esprit de cette loi, ibid.

A Lacédémone, il étoit permis d'épouser sa sœur utérine, et non pas sa sœur consanguine, 104. A Alexandrie, on pouvoit épouser sa sœur, soit consanguine, soit utérine,¿ ibid. Comment se faisoit chez les Sam

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sonne n'a de femmes, et tous les hommes usent de toutes, II, 25, 43. A été établi par la nécessité qu'il y a de trouver un père aux enfants, pour les nourrir et les élever, 260.- Est-il juste que les mariages des enfants dépendent des pères? 266. -Etoient réglés à Lacédémone par les seuls magistrats, ibid. -La liberté des enfants, à l'égard des mariages, doit être plus gênée dans les pays où le monachisme est établi qu'ailleurs, 267. Les filles y sont plus portées que les garçons : pourquoi, 268.-Motifs qui y déterminent, ibid. - Détail des lois romaines sur cette matière, 281, 295.-Etoient défendus, à Rome, entre gens trop âgés pour faire des enfants, 289.- Etoient défendus, à Rome, entre gens de condition trop inégale; quand ont commencé d'y être tolérés: d'où vient notre fatale liberte à cet égard, 290 et suiv. — Plus les mariages sont rares dans un état, plus il y a d'adultères, 297. Il est contre la nature de permettre aux filles de se choisir un mari à sept ans, 371. - Il est injuste, contraire au bien public et à l'intérêt particulier,, d'interdire le mariage aux femmes dont les maris sont absents depuis long-temps, et dont elles n'ont point eu de nouvelles, 381, 382. Justinien n'avoit pas de vues justes sur cette association, 38a. Est-il bon que le consentement des deux époux d'entrer dans un monastère soit une cause de divorce? ibid. Dans quels cas il faut suivre, à l'égard des mariages, les lois de la religion, et dans quels cas il faut suivre les lois civiles, 385 et suiv. - Dans

quels cas les mariages entre parents doivent se régler par les lois de la nature; dans quels cas ils doivent se régler par les lois civiles, 387 et suiv. Pourquoi le mariage entre la mère et le fils répugne plus à la nature que le mariage entre le père et la fille, 388. Lès idées de religion en font contracter d'incestueux à certains peuples, 392. --Le principe qui le fait défendre entre les peres et les enfants, les frères et les sœurs, sert à découvrir à quel degré la loi naturelle le défend, ibid. — Est permis ou défendu, par la loi civile, dans les différents pays, selon qu'il paroit conforme ou contraire à la loi de nature, 393.- Pourquoi permis, entre le beau-frère et la belle-sœur, chez des peuples, et défendu chez d'autres, ibid. Doit-il être interdit à une femme qui a pris l'habit de religieuse sans être consacrée? III, 21.-Toutes les fois qu'on parle de mariage, doit-on parler de la révélation? 265.

Marine. Pourquoi celle des Anglois est supérieure à celle des autres nations, II, 91. Du génie des Romains pour la marine, 174, 175.

Maris. Comment on les nommoit autrefois, II, 487. MARIUS. Coup mortel qu'il porta à la république, I, 331. Maroc. Cause des guerres civiles qui affligent ce royaume à chaque vacance du trône, 1, 133. - (Le roi de). A dans son sérail des femmes de toutes couleurs. Le malheureux! I, 480, 481.

Marseille. Pourquoi cette république n'éprouva jamais les passages de l'abaissement à la

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Pourquoi si constamment

fidèle aux Romains, ibid. - La ruine de Carthage et de Corinthe augmenta sa gloire, ibid. Martyr. Ce mot, dans l'esprit des magistrats japonais, signifioit ¿. rebelle; c'est ce qui a rendu la religion chrétienne odieuse au Japon, II, 364.

Matelots. Les obligations civiles qu'ils contractent, dans les navires, entre eux, doivent-elles être regardées comme nulles? } II, 408. Matérialistes. Leur système de la fatalité est absurde : pourquoi, I, 29, 30.

Maures. Comment trafiquent avec les nègres, II, 205. MAURICE, empereur. Outre la clémence, I, 190. - Injustice faite sous son règne, sous prétexte de magie, 357. MAXIMIN. Sa cruauté étoit mal en

tendue, I, 190. MAZULIPATAN. Il n'y a point de loi écrite; on se règle, dans les jugements, sur de certaines coutumes, I, 154, 155. Méaco. Est un ville sainte au Japon, qui entretient toujours le commerce dans cet empire malgré les fureurs de la guerre, II, 327, 328. Mecque, Gengiskan en trouvoit le pèlerinage absurde, II, 345. Medailles fourrées. Ce que c'est, III, 144.

Médecins. Pourquoi étoient punis de mort, à Rome, pour négligence ou pour impéritie, et ne le sont pas parmi nous, III,

17.

Mendiants. Pourquoi ont beaucoup d'enfants pourquoi se multiplient dans les pays riches ou superstitieux, II, 269. Mensonges. Ceux qui se font au Japon devant les magistrats sont punis de mort cette loi estelle bonne ? I, 176.

Mer Antiochide. Ce que l'on appeloit ainsi, II, 1 53. Mer Caspienne. Pourquoi les an

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ciens se sont si fort obstinés à croire que c'étoit une partie de l'océan, II, 153.

Mer des Indes. Sa découverte, II, 137.

Mer Rouge. Les Egyptiens en aban

donnoient le commerce à tous les petits peuples qui y avoient des ports, II, 1 36.- Quand et comment on en fit la découverte, 151 et suiv.

Mer Seleucide. Ce que l'on appeloit ainsi, II, 153. MERCATOR (ISIDORE). Sa collection de canons, II, 449. Mères. Il est contre nature qu'elles

puissent être accusées d'adultère par leurs enfants, II, 372.

Pourquoi une mère ne peut pas épouser son fils, 386. Dans l'ancienne Rome ne succédoient point à leurs enfants, et leurs enfants ne leur succédoient point: quand et pourquoi cette disposition fut abolie, 410. Mérovingiens. Leur chute du trône ne fut point une révolution, III, 160 et suiv.

Mesures. Est-il nécessaire de les

rendre uniformes dans toutes les provinces du royaume ? III,

27.

Métal. C'est la matière la plus

propre pour la monnoie, II, 206. METELLUS NUMIDIOUS. Regardoit

les femmes comme un mal né

cessaire, II, 282. Metempsycose. Ce dogme est utile

ou füneste, quelquefois l'un et l'autre en même temps, suivant qu'il est dirigé, II, 333.Est utile aux Indes raisons physiques, 337.

Metiers. Les enfants à qui leur père n'en a point donné pour gagner leur vie, sont-ils obligés par le droit naturel de le nourrir quand il est tombé dans l'indigence? II, 373. MÉTIUS SUFFÉTIUS. Supplice au

quel il fut condamné, I, 180. Métropoles. Comment doivent com

mercer entre elles et avec les colonies, II, 194.

Meurtres. Punition de ceux qui

étoient involontaires chez les Germains, III, 83.

Mexicains. Biens qui pouvoient leur revenir d'avoir été conquis par les Espagnols; maux qu'ils en ont reçus, I, 269. Mexique. On ne pouvoit pas, sous peine de la vie, y reprendre une femme qu'on avoit répudiée: cette loi est plus sensée que celle des Maldives, I, 492.- Ce n'est point une absurdité de dire que la religion des Espagnols est bonne pour leur pays et n'est pas bonne pour le Mexique, II, 336, 337.

Midi. Raisons physiques des passions et de la foiblesse des corps du midi, I, 419 et suiv.- Contradictions dans les caractères de certains peuples du midi, 425, 426. Il y a, dans les pays du midi, une inégalité entre les deux sexes : conséquences tirées de cette vérité touchant la liberté qu'on y doit accorder

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aux femmes, 474 et suiv. — Ce qui rend son commerce nécessaire avec le nord, 129.-Pourquoi le catholicisme s'y est maintenu contre le protestan tisme plutôt que dans le nord, II, 315.

Milice. Il y en avoit de trois sortes dans les commencements de la monarchie, III, 70. Militaire (gouvernement). Les empereurs qui l'avoient établi, sentant qu'il ne leur étoit pas moins funeste qu'aux sujets, cherchèrent à le tempérer, I,

182.

Militaires. Leur fortune et leurs récompenses en France, II, 122, 123.

Militaires (emplois). Doivent-ils être mis sur la même tête que les emplois civils? 1, 146 et

suiv.

Mine de pierres précieuses. Pourquoi fermée à la Chine aussitôt que trouvée, I, 202. Mines. Profitent davantage travaillées par des esclaves que par des hommes libres, I, 455. Y en avoit-il en Espagne autant qu'Aristote le dit? II, 168. Quand celles d'or et d'argent sont trop abondan. tes, elles appauvrissent la puissance qui les travaille: preuves par le calcul du produit de celles de l'Amérique, 197 et suiv. Celles d'Allemagne et de Hongrie sont utiles parce qu'elles ne sont pas abondantes,

202.

Miniares. Nom donné aux Argonautes et à la ville d'Orchomène, II, 144, 145. Ministres. L'usage qu'en font certains princes fait qu'ils trouvent qu'il est bien aisé de gouverner, I, 57. Sont plus rompus aux affaires dans une

-

monarchie que dans un état despotique, 76. Ne doivent point être jugés dans une monarchie; la nature des choses les en exclut, 165. Il est absurde qu'ils se mêlent de juger les affaires fiscales, ibid. - Doivent être en petit nombre dans une monarchie, 166. Sont coupables de lèse-majesté au premier chef, quand ils corrompent le principe de la monarchie pour le tourner au despotisme, 228, 229.- Quand doivent entreprendre la guerre, 263.-Ceux qui conseillent mal leur maître doivent être recherchés et punis, 304, 305.-Est-ce un crime de lèse-majesté que d'attenter contre eux? 361. Portrait, conduite et bévues de ceux qui sont malhabiles. Ils ruinent l'autorité du prince en la présentant toujours menaçante, 386. - Leur nonchalance, en Asie, est avantageuse aux peuples: la petitesse de leur vue, en Europe, est cause de la rigueur des tributs que l'on y paie, 41 1.—Qui sont ceux que l'on a la folie, parmi nous, de regarder comme grands, ibid.

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Le respect et la considération sont leur récompense, 318.

Pourquoi ceux d'Angleterre sont plus honnêtes gens que ceux des autres nations, II, 92. Minorité. Pourquoi si longue à

Rome devroit-elle l'être autant parmi nous? I, 113. MINOS. Ses lois ne pouvoient subsister que dans un petit état, I, 91.- Ses succès, sa puissance, II, 142.

Missi dominici. Quand et pourquoi on cessa de les envoyer dans les provinces, II, 447, 448.

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On n'appeloit point devant eux des jugements rendus dans

la cour du comte: différence de ces deux juridictions, 500. Renvoyoient au jugement du roi les grands qu'ils prévoyoient ne pouvoir pas réduire à la rai

son, ibid. Epoque de leur

extinction, 523

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Profitoit de la disposition des esprits pour reprocher aux Romains, dans ses harangues, les formalités de leur justice, II, 55. Source de sa grandeur, de ses forces et de sa chute, 173 et suiv.

Mobilier. Les effets mobiliers appartenoient à tout l'univers, II, 123. Modération. De quel temps on parle, quand on dit que les Romains étoient le peuple qui aimoit le plus la modération dans les peines, I, 181. — Est une verta bien rare, II, 536. - C'est de cette vertu que doit principalement être animé un législateur, III, 1. Modération dans le gouvernement. Combien il y en a de sortes : est l'âme du gouvernement aristocratique, 1, 65, 66.- En quoi consiste dans une aristocratie, 114.

Modes. Sont fort utiles au commerce d'une nation, II, 61. Tirent leur source de la vanité, ibid.

Mours. Doivent, dans une monarchie, avoir une certaine franchise, I, 79. - Par com

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