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que? II, 374, 375. - Dans quel temps et à quelle occasion fut faite éclaircissements sur cette loi, 416, 417. — Comment on trouva dans les formes judiciaires le moyen de l'éluder, 419. Sacrifioit le citoyen et l'homme, et ne s'occupoit que de la république, 422. — Cas où la loi Pappienne en fit cesser la prohibition en faveur de la propagation, 423. Par quels degrés on parvint à l'abolir touta-fait, ibid. et suiv. Lois. Leur définition, I, 29 et suiv.

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Tous les êtres ont des lois relatives à leur nature; ce qui prouve l'absurdité de la fatalité imaginée par les matérialistes, ibid. et suiv. — Dérivent de la raison primitive, 29, 30. Celles de la création sont les mêmes que celles de la conservation, 30.. Entre celles qui gouvernent les êtres intelligents, il y en a qui sont éternelles : qui elles sont, 31.- La loi qui prescrit de se conformer à celles de la société dans laquelle on vit est antérieure à la loi positive: sont suivies plus constamment par le monde physique que par le monde intelligent : pourquoi, 33. - Considérées dans le rapport que les peuples ont entre eux, forment le droit des gens; dans le rapport qu'ont ceux qui gouvernent avec ceux qui sont gouvernés, forment le droit politique; dans le rapport que tous les citoyens ont entre eux forment le droit civil, 36 et suiv. Les rapports qu'elles ont entre elles, 38, 39. Leur rapport avec la force défensive, 249 et suiv. Leur rapport avec la force offensive, 263 et suiv. Diverses sortes de celles qui gouvernent les hom

mes: le droit naturel, 2 le droit divin, 3° le droit ecclésiastique ou canonique, 4° le droit des gens, 5 le droit politique général, 6 le droit politique particulier, 7° le droit de conquête, 8 le droit civil, g⚫ le droit domestique. C'est dans ces diverses classes qu'il faut trouver les rapports que les lois doivent avoir avec l'ordre des choses sur lesquelles elles statuent, II, 367 et suiv. Les êtres intelligents ne suivent pas toujours les leurs, 391. LE SALUT DU PEUPLE EST LA SUPREME LOI. Conséquences qui découlent de cette maxime, 405.- Le Nouvelliste ecclésiastique a donné dans une grande absurdité, en croyant trouver dans la définition des lois, telle que l'auteur la donne, la preuve qu'il est spinosiste, tandis que cette définition même, et ce qui suit, détruit le système

de Spinosa, III, 214 et suiv. Lois agraires. Sont utiles dans une

démocratie, I, 194. Au défaut d'arts, sont utiles à la propagation, II, 273. — Pourquoi Cicéron les rega:doit comme funestes, 394. — Par qui faites à Rome, 411. Pourquoi le peuple ne cessa de les demander, à Rome, tous les deux ans, 413. Lois barbares. Doivent servir de modèle aux conquérants, I, 266.

Quand et par qui furent ré digées celles des Saliens, Ripuaires, Bavarois, Allemands, Thuringiens, Frisons, Saxons, Wisigoths, Bourguignons et Lom bards. Simplicité admirable de celles des six premiers de ces peuples; causes de cette simplicité pourquoi celles des quatre autres n'en eurent pas tant, II, 428 et suiv. N'étoient point attachées à un certain territoire,

elles étoient toutes personnelles : pourquoi, 432. Comment on leur substitua les coutumes, 451.

- En quoi différoient de la loi salique, 455 et suiv. Celles qui concernoient les crimes ne pouvoient convenir qu'à des peuples simples, et qui avoient une certaine candeur, 457. Admettoient toutes, excepté la loi salique, la preuve par le combat singulier, ibid. On y trouve des énigmes à chaque pas, 474. Les peines qu'elles infligeoient aux criminels étoient toutes pécuniaires, et ne demandoient point de partie publique, 523. Pourquoi roulent presque toutes sur les troupeaux, III, 36. Pourquoi sont écrites

en latin pourquoi on y donne aux mots latins un sens qu'ils n'avoient pas originairement : pourquoi on en a forgé de nouveaux, 57. Pourquoi ont fixé le prix des compositions : ce prix y est réglé avec une précision et une sagesse admirables, 78, 79.

Lois civiles. Celles d'une nation peuvent difficilement convenir à une autre, I, 38.-Doivent être propres au peuple pour qui elles sont faites, et relatives au principe et à la nature de son gouvernement, au physique et au climat des pays, aux mœurs, aux inclinations et à la religion des habitants, 38, 39, 97, 114 et suiv. Pourquoi l'auteur n'a point séparé les lois civiles des lois politiques, 89. Qui sont celles qui dérivent de la nature du gouvernement, 40 et suiv. Où doivent être déposées dans une monarchie, 55.- La noblesse et le conseil

du prince sont incapables de ce dépôt, 56. Doivent être re

latives tant au principe qu'à la nature du gouvernement, 59.

Doivent remédier aux abus qui peuvent résulter de la nature du gouvernement, 123.— Différents degrés de simplicité qu'elles doivent avoir dans les différents gouvernements, 151 et suiv.

Dans quel gouvernement et dans quel cas on en doit suivre le texte précis dans les jugements, 157.

A force d'être sévères, elles deviennent impuissantes: exemple tiré du Japon, 155 et suiv.

Dans quels cas et pourquoi elles donnent leur confiance aux hommes, 185. Peuvent régler ce qu'on doit aux autres, non tout ce qu'on se doit à soimême, 208.- Sont tout à la fois clairvoyantes et aveugles: quand et par qui leur rigidité doit être modérée, 324. - Les prétextes spécieux que l'on emploie pour faire paroître justes celles qui sont le plus injustes, sont la preuve de la dépravation d'une nation, 376, 377

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- Doivent être différentes chez les différents peuples, suivant qu'ils sont plus ou moins communicatifs, 434. De celles des peuples qui ne cultivent point les terres, II, 24. Celles des peuples qui n'ont point l'usage de la monnoie, 27. Celles des Tartares, au sujet des successions, 32. Quelle est celle des Germains, d'où l'on a tiré ce que nous appelons la loi salique, 33 et suiv. — Considérées dans le rapport qu'elles ont avec les principes qui forment l'esprit général, les mœurs et les manières d'une nation, 54, 83 et suiv. Combien, pour

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les meilleures lois, il est nécessaire que les esprits soient préparés, 54. Gouvernent

les hommes concurremment avec le climat, les mœurs, etc.: de là nait l'esprit général d'une nation, 57. Differences entre leurs effets et ceux des mœurs, 65. - Ce que c'est, 67. - Ce n'est point par leur moyen que l'on doit changer les mœurs et les manières d'une nation, ibid. Différence entre les lois et les mœurs, 69. Ce ne sont point les lois qui ont établi les mœurs, 70. Comment doivent être relatives aux mœurs et aux manières, 78.-Comment peuvent contribuer à former les mœurs, les manières et le caractère d'une nation, 83 et suiv. - Considérées dans le rapport qu'elles ont avec le nombre des habitants, 259 et suiv. - Celles qui font regarder comme nécessaire ce qui est indifférent, font regarder comme indifferent ce qui est nécessaire, 323, 324. Sont quelquefois obligées de défendre les mœurs contre la religion, 326, 327. Rapport qu'elles doivent avoir avec l'ordre des choses sur lesquelles elles statuent, 367, 407. Ne doivent point être contraires à la loi naturelle exemples, 370 et suiv.-Règlent seules les successions et le partage des biens, 374 et suiv. Seules, avec les lois politiques, décident, dans les monarchies purement électives, dans quel cas la raison veut que la couronne soit déférée aux enfants ou à d'autres, 375. Seules, avec les lois politiques, règlent les droits des båtards, 377, 380.-Leur obDans quels cas doi

jet, 381. vent être suivies, lorsqu'elles permettent, plutôt que celles de la religion qui défendent, 383. Cas où elles défendent des

mœurs et des manières, 392, 393.-Leurs défenses sont accidentelles, ibid. - Les hommes leur ont sacrifié la communauté naturelle des biens : conséquences qui en résultent, 394 et suiv. Sont le palladium de la propriété, 395. — Il est absurde de réclamer celle de quelque peuple que ce soit, quand il s'agit de régler la succession à la couronne, 398. Il faut examiner si celles qui paroissent se contredire sont du même ordre, 400.-Ne doivent point décider les choses qui dépendent du droit des gens, 402. On est libre quand ce sont elles qui gouvernent, ibid. — Leur puissance et leur autorité ne sont pas la même chose, 406. y en a d'un ordre particulier, qui sont celles de la police, 407. Il ne faut pas confondre leur violation avec celles de la simple police, ibid. — II n'est pas impossible qu'elles n'obtiennent une grande partie de leur objet, quand elles sont telles qu'elles ne forcent que les honnêtes gens à les éluder, 422. De la manière de les composer, III, 1, 28. — Celles qui paroissent s'éloigner des vues du législateur y sont souvent conformes, 2.- De celles qui choquent les vues du législateur, 3. Exemple d'une loi qui est en contradiction avec elle-même, 4. Celles qui paroissent les mêmes n'ont pas toujours le même effet, ni le mème motif, 5, 7- Néces sité de les bien composer, 6. -Celles qui paroissent contraires dérivent quelquefois du même esprit, 10. - De quelle manière celles qui sont diverses peuvent être comparées,

II.

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Précau

Com

Celles qui paroissent les mêmes sont quelquefois réellement différentes, 12. Ne doivent point être séparées de l'objet pour lequel elles sont faites, 14 et suiv. Dépendent des lois politiques : pourquoi, 15. — Ne doivent point être séparées des circonstances dans lesquelles elles ont été faites, 16. Il est bon quelquefois qu'elles se corrigent elles-mêmes, 17. tions que doivent apporter celles qui permettent de se faire justice soi-même, ibid. ment doivent êtres composées quant au style et quant au fond des choses, 18 et suiv. - Leur présomption vaut mieux que celle de l'homme, 23. On n'en doit point faire d'inutiles: exemple tiré de la loi Falcidie, 24. C'est une mauvaise manière de les faire par des rescrits, comme faisoient les empereurs romains: pourquoi, 26. • Est-il nécessaire qu'elles soient uniformes dans un état ? 27. Se sentent toujours des passions et des préjugés du législateur, 28.

Lois civiles des Francois. Leur origine et leurs révolutions, II, 428.

Lois civiles sur les fiefs. Leur origine, III, 209 et suiv. Lois (clerge). Bornes qu'elles doivent mettre aux richesses du clergé, II, 350 et' suiv.

Lois (climat). Leur rapport avec

la nature dn climat, I, 419, 444. -Doivent exciter les hommes à la culture des terres dans les climats chauds: pourquoi, 429. -De celles qui ont rapport aux maladies du climat, 434 et suiv.

La confiance qu'elles ont dans le peuple est différente

selon les climats, 442 et suiv.Comment celles de l'esclavage civil ont du rapport avec la nature du climat, 444. Lois (commerce). Des lois considérées dans le rapport qu'elles ont avec le commerce considéré dans sa nature et ses disdinctions, II, 99, 127.— De celles qui emportent la confiscation de la marchandise, 115.

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De celles qui établissent la sûreté du commerce, 116. Des lois, dans le rapport qu'elles ont avec le commerce, considéré dans les révolutions qu'il a eues dans le monde, 127.Des lois du commerce aux Indes, 193 et suiv. Lois fondamentales du commerce de l'Europe, 193 et suiv. Lois (conspiration). Précautions que l'on doit apporter dans les lois qui regardent la révélation des conspirations, I, 372, 373. Lois Cornéliennes. Leur auteur, leur cruauté, leur motif, I, 293.

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vent tirer chaque peine de la nature du crime, 352 et suiv.Ne doivent punir que les actions extérieures, 366. — Le criminel qu'elles font mourir ne peut réclamer contre elles, puisque c'est parce qu'elles le font mourir qu'elles lui ont sauve la vie à tous les instants, 447. — En fait de religion, les lois criminelles n'ont d'effet que comme destruction, II, 358, 359.Celle qui permet aux enfants d'accuser leur père de vol ou d'adultère, est contraire à la nature, 372. Celles qui sont les plus cruelles peuvent-elles être les meilleures? III 2. Lois d'Angleterre. Ont été produites, en partie, par le clmat, II, 83. Voyez Angle

terre.

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Lois de Crète. Sont l'original sur

lequel on a copié celles de Lacédémone, I, 87.

Lois de la Grèce. Celles de Minos, de Lycurgue et de Platon ne peuvent subsister que dans un petit état, I, 91.- Ont puni, ainsi que les lois romaines, l'homicide de soi-même, sans avoir le même objet, III, 8. -Source de plusieurs lois abominables de la Grèce, 16. Lois de la morale. Sont bien moins observées que les lois physiques, I, 31. Quel en est le principal effet, 32 et suiv. Lois de l'éducation. Doivent être relatives aux principes du gouvernement, I, 77 et suiv. Lois de Lycurgue. Leurs contradictions apparentes prouvent la grandeur de son génie, I, 87, 88.- Ne pouvoient subsister que dans un petit état,

91.

Lois de Moise. Pourquoi s'écartent quelquefois de la loi naturelle,

I, 467. jet des asiles, II, 347. Lois de M. Penn. Comparées avec

Leur sagesse au su

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celles de Lycurgue, I, 88. Lois de Platon. Etoient la correction de celles de Lacédémone, I, 87. Ne pouvoient subsister que dans un petit état, gr. Lois des Bavarois. On y ajouta plusieurs capitulaires : suite qu'eut cette opération, II, 440. Lois des Bourguignons. Sont assez judicieuses, II, 432. Comment cesserent d'ètre en usage chez les François, 444, 445. Lois des Lombards. Les changements qu'elles essuyèrent furent plutôt des additions que des changements, II, 430. Sont assez judicieuses, 432. On y ajouta plusieurs capitulaires: suite qu'eut cette opération, 449.

Lois (despotisme). Il n'y a point de lois fondamentales dans les états despotiques, I, 57. Qui sont celles qui dérivent de l'état despotique, ibid. Il en faut un très-petit nombre dans un état despotique, 128. Comment elles sont relatives au pouvoir despotique, ibid. — La volonté du prince est la seule loi dans les états despotiques, 129 et suiv. Causes de leur simplicité dans les états despotiques, 155. Celles qui ordonnent aux enfants de n'avoir d'autre profession que celle de leur père ne sont bonnes que dans un état despotique, II,

121, 122.

Lois des Saxons. Causes de leur dureté, II, 431. Lois des Wisigoths. Furent refon

dues par leurs rois et par le clergé. Ce fut le clergé qui y introduisit les peines corporelles qui furent toujours in

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