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Pourquoi firent le commerce des Indes avant les Perses, qui en étoient bien plus à portée, 146 et suiv. - Leur commerce aux Indes n'étoit pas si étendu, mais plus facile que le nôtre, 159. Leurs colonies, 172. — Pourquoi estimoient plus les troupes de terre que celles de mer, 174. — Loi qu'ils imposèrent aux Perses, 195. — Leurs différentes constitutions sur la propagation, suivant le plus grand ou le plus petit nombre d'habitants, 276 et suiv. — N'auroient pas commis les massacres et les ravages qu'on leur reproche, s'ils eussent été chrétiens, 312, 313. Leurs prétres d'Apollon jouissoient d'une paix éternelle; sagesse de ce réglement religieux, 327.-Comment, dans le temps de leur barbarie, ils employèrent la religion pour arrêter les meurtres, 328. L'idée des asiles devoit leur venir plus naturellement qu'aux autres peuples : ils restreignirent d'abord l'usage qu'ils en firent dans de justes bornes; mais ils les laissèrent devenir abusifs et pernicieux, 346, 347. Grecs du Bas- Empire. Combien

étoient idiots, 357,358. GRIMOALD. Ajouta de nouvelles lois à celles des Lombards, II, 430.

Guèbres. Leur religion est favorable à la propagation, II, 295.

Leur religion rendit autrefois le royaume de Perse florissant, parce qu'elle n'est point contemplative celle de Mahomet l'a détruit, 321. Leur religion ne pouvoit convenir que dans la Perse, 339. Guerre. Quel en est l'objet, I, 36.

On ne doit point en entreprendre de lointaines, 259.Dans quel cas on a le droit de la faire d'où dérive ce droit, 262.- Donne-t-elle droit de tuer les captifs? 446. C'est le christianisme qui l'a purgée de presque toutes les cruautés, II, 312, 313. - Comment la religion peut en adoucir les fureurs, 328, 329.Etoit souvent terminée par le combat judiciaire, 486.- Avoit souvent autrefois pour motif la violation du droit politique; comme celles d'aujourd'hui ont pour cause ou pour rétexte celle du droit des gens, 50. Tout le monde, du temps de Charlemagne, étoit obligé d'y aller, III, 189.-Voyez Armées. Guerre civile. N'est pas toujours suivie de révolutions, I, 125.

C'est dans la guerre qu'il faut chercher l'origine du combat judiciaire, II, 461. — Celles qui ravagèrent les Gaules, après la conquête des barbares, sont la principale source de la servitude de la glebe et des fiefs, III, 431 et suiv.

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H.

Pourquoi, de très-utiles qu'étoient d'abord ces exercices, ils devinrent, dans la suite, funestes aux mœurs, I, 233, 234.

blier contre le crime de lèsemajesté, I, 365.-Ce fut par le moyen des commissaires qu'il se défit des pairs qui lui déplaisoient, 382.-A établi l'esprit d'industrie et de commerce en Angleterre, en y détruisant les monastères et les hôpitaux, II, 307.- En défendant la confrontation des témoins avec l'accusé, il fit une loi contraire à la loi naturelle, 369. — La loi par laquelle il condamnoit à mort toute fille qui, ayant eu un mauvais commerce avec quelqu'un, ne le déclaroit pas au roi avant d'épouser son amant, étoit contre la loi naturelle, ibid. HERCULE. Ses travaux prouvent que la Grèce étoit encore barbare de son temps, II, 330. Hérédité. La même personne n'en

doit pas recueillir deux, dans une démocratie où l'on veut conserver l'égalité, I, 103. Hérésie. L'accusation de ce crime doit être poursuivie avec beaucoup de circonspection: exemples d'absurdités et de cruautés qui peuvent résulter d'une poursuite indiscrète, 1, 356.

Combien ce crime est susceptible de distinction, 359. Héritiers. Les cadets, chez les Tartares, en quelques districts de l'Angleterre et dans le duché de Rohan, sout héritiers exclusivement aux aînés, II, 33.- Il n'y avoit à Rome que deux sortes d'héritiers: les héritiers-siens

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ils étoient tous appelés à la succession, måles et femelles, ibid. Héroisme. Celui des anciens étonne

nos petites ámes, I, 85. Héros. Ecrivent toujours leurs propres actions avec simplicité, II, 165, 166.

Hierarchie. Pourquoi Luther la

conserva dans sa religion, tandis que Calvin la bannit de la sienne, II, 315. HILCON, pilote des Carthaginois.

Ses voyages, ses établissements; se fait échouer, pour ne pas apprendre aux Romains la route d'Angleterre, II, 170. IIPPOLYTE. Eloge de ce rôle dans

la Phèdre de Racine, II, 572. Histoire. Les monuments qui nous restent de celle de France sont une mer, et une mer à laquelle les rivages même manquent, III, 47.-Germe de celle des rois de la première race, 34. Historiens. Trahissent la vérité

dans les états libres comme dans ceux qui ne le sont pas, II, 98. -Source d'une erreur dans laquelle sont tombés ceux de France, III, 43 et suiv.-Doivent-ils juger de ce que les hom mes ont fait par ce qu'ils auroient dû faire? 161. HOBBES. Son erreur sur les pre

miers sentiments qu'il attribue à l'homme, I, 34.- Le nouvelliste ecclésiastique prend pour des preuves d'athéisme les raisonnements que l'auteur de l'Esprit des Lois emploie pour détruire le système de Hobbes et celui de Spinosa, III, 215.

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Hollande ( la). Est une république federative, et par là regardée en Europe comme éternelle, I, 250. Cette république fédérative est plus parfaite que celle d'Allemagne en quoi, 252.Comparee, comme république fédérative, avec celle de Lycie, 253, 254. Ce que doivent faire ceux qui y représentent le peuple, 299.- Pourquoi n'est pas subjuguée par ses propres armées, 310. Pourquoi le gouvernement modéré y convient mieux qu'un autre, II, 18. Quel est son commerce, 102.- - Dut son commerce à la violence et à la vexation, 97.Fait tel commerce sur lequel elle perd, et qui ne laisse pas de lui étre fort utile, 106.Pourquoi les vaisseaux n'y sont pas si bons qu'ailleurs, 139. — C'est elle qui, avec la France et l'Angleterre, fait tout le commerce de l'Europe, 197. — C'est elle qui, présentement, règle le prix du change, 219.

Hollandois. Profits qu'ils tirent du

privilége exclusif qu'ils ont de commercer au Japon et dans quelques autres royaumes des Indes, II, 109.- Font le commerce sur les errements des Portugais, 192. C'est leur commerce qui a donné quelque prix à la marchandise des Espagnols, 201. Voyez Hollande. HOMERE. Quelles étoient de son temps les villes les plus riches de la Grèce, II, 144.-Commerce des Grecs avant lui, 145. Homicide. Comment ce crime étoit puni chez les Germains, II, 38.

Comment on l'expioit chez les Germains, II, 329. Homicides. Doit-il y avoir des asi. les pour eux? II, 346, 347.

Hommage. Origine de celui que

doivent les vassaux, III, 208. Hommes. Leur bonheur comparé avec celui des bêtes, I, 32, 33.— Comme êtres physiques, sujets à des lois invariables; comme êtres intelligents, violent toutes les lois pourquoi. Comment rappelés sans cesse à l'observation des lois, ibid. - - Quels ils seroient dans l'état de pure nature, 130.- Par quelles causes se sont unis en société, 33. Changements que l'état de société a opérés dans leur caraclère, 35. Leur état relatif à chacun d'eux en particulier, et relatif aux différents peuples quand ils ont été en société, 36.-Leur situation déplorable et vile dans les états despotiques, 1. Leur vanité augmente à proportion du nombre de ceux qui vivent ensemble, 192, 493.. Leur penchant à abuser de leur pouvoir suites funestes de cette inclination, 291. Quelle est la connoissance qui les intéresse le plus, 349.-Leurs caractères et leurs passions dépendent des différents climats raisons physiques, 419 et suiv.- Plus les causes physiques les portent au repos, plus les causes morales doivent les en éloigner, 429.— Naissent tous égaux : l'esclavage est donc contre nature, 453. Beauté et utilité de leurs ouvrages, II, 20.-De leur nombre, dans le rapport avec la manière dont ils se procurent la subsistance, 21. Ce qui les gouverne, et ce qui forme l'esprit général qui résulte des choses qui les gouvernent, 57.— Leur propagation est troublée en mille manières par les passions, par les fantaisies et par

le luxe, 259, 260. Combien vaut un homme en Angleterre. Il y a des pays où un homme vaut moins que rien, 278.Sont portés à craindre ou à espérer sont fripons en détail, et en gros de très-honnêtes gens, de là le plus ou le moins d'attachement qu'ils ont pour leur religion, 344.- Aiment, en matière de religion, tout ce qui suppose un effort, comme en matière de morale, tout ce qui suppose de la sévérité, 349. Ont sacrifié leur indépendance naturelle aux lois politiques, et la communauté naturelle des biens aux lois civiles : ce qui en résulte, 394 et suiv.Il leur est plus aisé d'être extrêmement vertueux que d'être extrêmement sages, 536.-Est-ce être sectateur de la religion naturelle que de dire que l'homme pouvoit, à tous les instants, oublier son Créateur, et que Dien l'a rappelé à lui par les lois de la religion? III, 233, 234. Hommes de bien. Il y en a fort peu

dans les monarchies, I, 70. Hommes libres. Qui on appeloit

ainsi dans les commencements de la monarchie : comment et sous qui ils marchoient à la guerre, III, 163.

Hommes qui sont sous la foi du roi.

C'est ainsi que la loi salique désigne ceux que nous appelons aujourd'hui vassaux, III, 160. Hongrie. La noblesse de ce royaume a soutenu la maison d'Autriche, qui avoit travaillé sans cesse à l'opprimer, I, 230. Quelle sorte d'esclavage y est établi, 456.- Ses mines sont utiles, parce qu'elles ne sont pas abondantes, II, 202. Honnétes gens. Ceux qu'on nomme

ainsi tiennent moins aux bonnes maximes que le peuple, I, 98. Honnéte homme. Le cardinal de Richelieu l'exclut de l'administration des affaires, dans une monarchie, I, 68. — Ce qu'on entend par ce mot dans une monarchie, 82. Honneur. Ce que c'est il tient lieu de la vertu dans les monarchies, I, 68. Est essentiellement placé dans l'état monarchique, 71.- Effets admirables qu'il produit dans une monarchie, 71, 72.- Quoique faux, il produit, dans une monarchie, les mêmes elfets que s'il étoit véritable, 70. N'est point le principe des états despotiques, 71. Quoique dépendant de son propre caprice, il a des règles fixes, dont il ne peut jamais s'écarter, ibid. Est tellement inconnu dans les états despotiques, que souvent il n'y a pas de mot pour l'exprimer, ibid. — Seroit dangereux dans un état despotique, 72. Met des bornes à la puissance du monarque, 75, C'est dans le monde, et non au collège, que l'on en apprend les principes, 78. C'est lui qui fixe la qualité des actions, dans une monarchie, ibid. Dirige toutes les actions et toutes les façons de penser dans une monarchie, 81.-Empèche Crillon et d'Orte d'obéir à des ordres injustes du monarque, ibid. — C'est lui qui conduit les nobles à la guerre; c'est lui qui la leur fait quitter, 82. Quelles en sont les principales règles, ibid. -- Ses lois ont plus de force, dans une

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Honte. Prévient plus de crimes que les peines atroces, I, 173.

Punit plus le pere d'un enfant condamné au supplice, et vice versa, que toute autre peine, 188.

HOPITAL (le chancelier de L'). Erreur dans laquelle il est tombé, III, 23.

Hopitaux. Ne sont jamais nécessaires que dans les nécessités accidentelles; des secours momentanés sont toujours préférables aux hôpitaux fondes à perpétuité exemples des maux que causent ces établissements, II, 305 et suiv.

HORTENSIUS. Emprunta la femme de Caton, II, 400.

Hospitalité. C'est le commerce qui l'a bannie, II, 101.— - Jusqu'à quel point observée par les Germains, ibid.

HUGUES CAPET. Son avénement à la couronne fut un plus grand changement que celui de Pepin, III, 162. Comment la couronne de France passa dans sa

maison, 199. Humeur sociable. Ses effets, II, 515.

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