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céron les a adoptées, II, 353. La religion ne doit pas encourager les dépenses funéraires, ibid.

Gabelles. Celles qui sont établies

en France sont injustes et funestes, I, 402, 403. Gages de bataille. Quand ils étoient

reçus, on ne pouvoit faire la paix sans le consentement du seigneur, II, 484. Gains nuptiaux. Quels doivent être

ceux des femmes, dans les différents gouvernements, 1, 215, 216.

Galanterie. Dans quel sens est permise dans une monarchie, I, 79. Suites fâcheuses qu'elle entraîne, 205. D'où elle tire sa source: ce que ce n'est point; ce que c'est comment s'est accrue, II, 479.-Origine de celle de nos chevaliers errants, 480.Pourquoi celle de nos chevaliers ne s'est point introduite à Rome, ni dans la Grèce, ibid. - Tira une grande importance des tournois, ibid.

Gange. C'est une doctrine pernicieuse que celle des Indiens, qui croient que les eaux de ce fleuve sanctifient ceux qui meu rent sur ses bords, II, 325, 326. Gantois. Punis pour avoir mal à propos appelé de défaute de droit le comte de Flandre, II, 505.

Garçons. Sont moins portés pour le mariage que les filles : pourquoi, II, 268. Leur nombre, relatif à celui des filles, influe beaucoup sur la propagation, 176, 177.

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Gaules. Pourquoi les vignes y furent arrachées par Domitien, et replantées par Julien, II, 178. Etoient pleines de petits peuples, et regorgeoient d'habitants, avant les Romains, 278, 279.Ont été conquises par les peuples de la Germanie, desquels les François tirent leur origine, III, .30, 31.

Gaule méridionale. Les lois romaines y subsistèrent toujours, quoique proscrites par les Wisigoths, II, 445. Gaulois. Le commerce corrompit leurs mœurs, II, 100.- - Quelles étoient leurs charges dans la monarchie des Francs, III, 52.

Ceux qui, sous la domination françoise, étoient libres, marchoient à la guerre sous les comtes, 66. Gazetier ecclésiastique. Voyez Nou

velliste ecclésiastique.

GÉLON. Beau traité de paix qu'il fit

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que touchant le commerce, II, 117. GENGISKAN. S'il eût été chrétien,

il n'eût pas été si cruel, II, 312, 313. — Pourquoi, approuvant tous les dogmes mahométans, il méprisa si fort les mosquées, 345. -Fait fouler l'Alcoran aux pieds de ses chevaux, ibid. — Trouvoit le voyage de la Mecque absurde, ibid.

Gentilshommes. La destruction des hôpitaux, en Angleterre, les a tirés de la paresse où ils vivoient, II, 307.-Comment se battoient en combat judiciaire, 475. -Comment contre un vilain, 456.

- Vidoient leurs différends par la guerre, et leurs guerres se terminoient souvent par un combat judiciaire, 486.

GEOFROY, duc de Bretagne. Son as

sise est la source de la coutume de cette province, II, 544. Germains. C'est d'eux que les Francs tirent leur origine, I, 187. Ne connoissoient guère d'autres peines que les pécuniaires, ibid.

Les femmes étoient chez eux dans une perpétuelle tutelle, 210.- Simplicité singuliere de leurs lois en matière d'insultes faites tant aux hommes qu'aux femmes cette simplicité provenoit du climat, 440, 441. Ceux qui ont changé de climat ont changé de lois et de mœurs, 441, II, 101. — Quelle sorte d'esclaves ils avoient, 116. Loi civile de ces peuples, qui est la source de ce que nous appelons loi salique, 34. Ce que c'étoit chez eux que la maison et la terre de la maison, ibid.

Quel etoit leur patrimoine, et pourquoi il n'appartenoit qu'aux måles, 35. - Ordre bizarre dans leurs successions : raisons et sources de cette bi

zarrerie, 36 et suiv. - Gradation bizarre qu'ils mettoient dans leur attachement pour leurs parents, 37. Comment punis soient l'homicide, 38.- Etoient le seul peuple barbare où l'on n'eût qu'une femme : les grands en avoient plusieurs, 43. Austérité de leurs mœurs, 44. -Ne faisoient aucune affaire publique ni particulière sans être armés, 45. A quel âge, eux et leurs rois, étoient majeurs, 46. - On ne parvenoit chez eux à la royauté qu'après la majorité inconvénients qui firent changer cet usage, et de ce changement naquit la différence entre la tutelle et la baillie ou garde, 48 L'adoption se faisoit chez eux par les armes, 49.

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Etoient fort libres: pourquoi, 51. Pourquoi le tribunal de Varus leur parut insupportable, 54. Combien ils étoient hospitaliers, 81. Comment punissoient les crimes. La monnoie, chez eux, devenoit bétail, marchandise ou denrée, et ces choses devenoient monnoie, 209.

N'exposoient point leurs enfants, 298. Leurs inimitiés, quoique héréditaires, n'étoieut pas éternelies: les prètres avoient vraisemblablement beaucoup de part aux réconciliations, 329. -Différents caractères de leurs lois, 428 et suiv. - Etoient divisés en plusieurs nations qui n'avoient qu'un même territoire; et chacune de ces nations, quoique confondues, avoit ses luis, 432.-- Avoient l'esprit des lois personnelles, avant leurs conquètes, et le conservèrent après, 433. Quand rédigèrent leurs usages par écrit pour en faire des codes, 450. Esquisse de leurs moeurs : c'est dans ces

mœurs que l'on trouve les raisons de ces preuves que nos pères employoient par le fer ardent, l'eau bouillante et le combat singulier, 459 et suiv. La façon dont ils terminoient leurs guerres intestines est l'origine du combat judiciaire, 461.

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Leurs maximes sur les outrages, 476. C'étoit chez eux une grande infamie d'avoir abandonné son bouclier dans le combat, 477. C'est d'eux que sont sortis les peuples qui conquirent l'empire romain: c'est dans leurs mœurs qu'il faut chercher les sources des lois féodales, III, 30. C'est dans leur façon de se nourrir, dans la variation de leurs possessions et dans l'usage où étoient les princes de se faire suivre par une troupe de gens attachés à eux, qu'il faut chercher l'origine du vasselage, 31. Il y avoit chez eux des vassaux, mais il n'y avoit point de fiefs, ou plutôt les fiefs étoient des chevaux de bataille, des armes et des repas, 33. Leur vie étoit presque toute pastorale c'est de là que presque toutes les lois barbares roulent sur les troupeaux, 36. Il est impossible d'entrer un peu avant dans notre droit politique, si l'on ne connoît les lois et les mœurs des Germains: et, pour nous conduire à l'origine des justices seigneuriales, l'auteur entre dans le détail de la nature des compositions qui étoient en usage chez les Germains et chez les peuples sortis de la Germanie pour conquérir l'empire romain, 75 et suiv. Ce qui les a arrachés à l'état de nature où ils sembloient être encore du temps de Tacite, 77. Pourquoi, étant si pauvres, ils avoient tant de

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peines pécuniaires, 79, 80.Entendoient, par rendre la justice, protéger le coupable contre la vengeance de l'offensé, 82. Comment punissoient les meurtres involontaires, 83. C'est dans leurs mœurs qu'il faut chercher la source des maires du palais et de la foiblesse des rois, 128 et suiv. Germanie. Est le berceau des Francs, des Francs - Ripuaires et des Saxons, II, 40.· - Etoit pleine de petits peuples, et regorgeoit d'habitants avant les Romains, 278, 279.-Fut reconquise par les Francs après qu'ils en furent sortis, II, 430.

Glebe (servitude de la). Quelle en est, la plupart du temps, l'origine, I, 396.- N'a point été établie par les Francs entrant dans la Gaule, III, 35.- Etablie dans la Gaule avant l'arrivée des Bourguigons : conséquences que l'auteur tire de ce fait, 40. Gloire. Celle du prince est son or

gueil : elle ne doit jamais être le motif d'aucune guerre, I, 264,

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loit abuser, 458. - Raison qu'il allègue pour substituer le combat singulier à la preuve par serment, 462. Loi de ce prince qui permet aux accusés d'appeler au ombat les témoins que l'on produ soit contre eux, 489.

GONTRAN. Comment adopta Chil

debert, II, 49.

Goths. Leur exemple, lors de la conquête d'Espagne, prouve que les esclaves armés ne sont pas si dangereux dans une monarchie, 1, 461.- La vertu faisoit chez eux la majorité, II, 46. Comment le droit romain se conserva dans les pays de leur domination et de celle des Bourguignons, et se perdit dans le domaine des Francs, 437. La loi salique ne fut jamais reçue chez eux, 439, 440. La prohibibition de leurs mariages avec les Romains fut levée par Recessuinde: pourquoi, 444, 445.-Persécutés, dans la Gaule méridionale, par les Sarrasins, se retirent en Espagne : effets que cette émigration produisit dans leurs lois, ibid., 446. Gout. Se forme, dans une nation,

-

par l'inconstance même de cette nation nait de la vanité, II, 61.

Gouvernement. Il y en a de trois sortes quelle est la nature de chacune, I, 40. Exemple d'un pape qui abandonna le gouvernement à un ministre, et trouva que rien n'étoit si aisé que de gouverner, 57. — Diffé

rence entre sa nature et son

principe, 59.- Quels en sont les divers principes, 60. Ce qui le rend imparfait, 76.- Ne se conserve qu'autant qu'on l'aime, 86. Sa corruption commence presque toujours par celle

1

des principes, 219.

Quelles

sont les révolutions qu'il peut essuyer sans inconvénients, 229, 230.Suites funestes de la cor ruption de son principe, 232.

Quand le principe en est bon, les lois qui semblent le moins conformes aux vraies règles et aux bonnes mœurs y sont bonnes exemples, ibid. Le moindre changement dans sa constitution entraine la ruine des principes, 238. — Cas où, de libre et de modéré qu'il étoit, il devient militaire, 310.- Liai⚫son du gouvernement domestique avec le politique, 483. — Ses maximes gouvernent les hommes concurremment avec le climat, la religion, les lois, etc.; de la nait l'esprit général d'une nation, II, 57. Sa dureté est un obstacle à la population, 269. Gouvernement d'un seul. Ne dérive point du gouvernement paternel, 1, 37.

Gouvernement gothique. Son origine, ses défauts: est la source des bons gouvernements que nous connoissons, I, 313. Gouvernement militaire. Les empereurs qui l'avoient établi, sentant qu'il ne leur étoit pas moins funeste qu'aux sujets, chercherent à le tempérer, 1, 182. Gouvernement modéré. Combien est

difficile à former, I, 138. — Le tribut qui y est le plus naturel est l'impôt sur les marchandises, 409. Convient dans les pays formés par l'industrie des hommes, II, 18. Voyez Monarchie, République. Gouverneurs des provinces romaines. Leur pouvoir; leurs injustices, 343, I, 344.

GRACCHUS (TIBERIUS). Coup mortel qu'il porte à l'autorité du sénat, 1, 338.

Gráce. On ne peut pas demander, en Perse, celle d'un homme que le roi a une fois condamné, I, Le droit de la faire aux 74. coupables est le plus bel attribut de la souveraineté d'un monarque; il ne doit donc pas être leur juge, 162. Gráce (lettres de). Sont un grand ressort dans un gouvernement modéré, 1, 185. Gradués. Les deux dont le juge

est obligé de se faire assister dans les cas qui peuvent mériter une peine afflictive représentent les anciens prud'hommes qu'il étoit

obligé de consulter, II, 539, 540. Grandeur réelle des états. Pour l'augmenter, il ne faut pas diminuer la grandeur relative, I, 279.

Grandeur relative des états. Pour la conserver, il ne faut pas écraser un état voisin qui est dans la décadence, I, 260. Grands. Leur situation dans les états despotiques, I, 74. Comment doivent être punis dans une monarchie, 203. GRAVINA. Comment définit l'état civil, I, 37.

Gravion. Ses fonctions étoient les

mêmes que celles du comte et du centenier, III, 74.

Grèce, Combien elle renfermoit de sortes de républiques, I, 109.

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réputation, des biens qu'elle recevoit de l'univers, et de ceux qu'elle lui faisoit, 142 et suiv. Etoit pleine de petits peuples, et regorgeoit d'habitants avant les Romains, 278, 279.

3.

Pourquoi la galanterie de chevalerie ne s'y est point introduite, II, 480. Sa constititution demandoit que l'on punît ceux qui ne prenoient pas de parti dans les séditions, III, 2, Vice dans son droit des gens il étoit abominable, et étoit la source de lois abominables; comment il auroit dû être corrigé, 4. On n'y punissoit pas le suicide par les mêmes motifs qu'à Rome, 8. On y punissoit le recéleur comme le voleur: cela étoit juste en Grèce; cela est injuste en France: pourquoi, 12.

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Grecs. Leurs politiques avoient des idées bien plus nettes sur le principe de la démocratie que ceux d'aujourd'hui, I, 62. Combien ont fait d'efforts pour diriger l'éducation du côté de la vertu, 86. Regardoient le commerce comme indigne d'un citoyen, 94. La nature de leurs occupations leur rendoit la musique nécessaire, ibid. La crainte des Perses maintint leurs lois, 226 Pourquoi se croyoient libres du temps de Cicéron, 289. Quel étoit leur gouvernement dans les temps héroïques, 316 et suiv. surent jamais quelle est la vraie fonction du prince : cette ignorance leur fit chasser tous leurs. rois, 317. Ce qu'ils appeloient police, ibid. Combien il falloit de voix chez eux pour condamner un accusé, 351.D'où venoit leur penchant pour le crime contre nature, 358.

Ne

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