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a point d'inconvénient, dans une monarchie, qu'ils soient inégalement partagés entre les enfants

122.

Biens (cessions de) Voyez Cessions de biens.

Biens ecclésiastiques. Voyez Clergé, Evéques.

que

l'on

Biens fiscaux. C'est ainsi nommoit autrefois les fiefs, III, 65. Bienséances. Celui qui ne s'y conforme pas se rend incapable de faire aucun bien dans la société : pourquoi, I, 80.

BIGNON (M.). Erreur de cet auteur, III, 93.

Billon. Son établissement à Rome prouve que le commerce de l'Arabie et des Indes n'étoit pas avantageux aux Romains II, 181.

Bills d'attainder. Ce que c'est en Angleterre comparés à l'ostracisme d'Athènes, aux lois qui se faisoient à Rome contre

des citoyens particuliers, I, 377. Blé. C'étoit la branche la plus con

sidérable du commerce intérieur des Romains, II, 183.-Les terres fertiles en blé sont fort peuplées pourquoi, 277. Bohéme. Quelle sorte d'esclavage y est établi, II, 456.

Boissons. On lève mieux en Angleterre les impôts sur les boissons qu'en France, I, 401. Bonne-Espérance. Voyez Cap.

Bon sens.

Celui des particuliers

consiste beaucoup dans la médiocrité de leurs talents, I, 100. Bonzes, Leur inutilité pour le bien public a fait fermer une infinité de leurs monastères à la Chine, 1, 202. Bouclier. C'étoit chez les Ger

mains une grande infamie de l'abandonner dans le combat, et une grande insulte de repro

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II,

cher à quelqu'un de l'avoir fait Pourquoi cette insulte devint moins grande, II, 477. Boulangers. C'est une injustice ou→ trée que d'empaler ceux qui sont pris en fraude, II, 407. BOULAINVILLIERS ( le marquis de). A manqué le point capital de son système sur l'origine des fiefs jugement sur son ouvrage éloge de cet auteur III, 41. Bourguignons. Leur loi excluoit les filles de la concurrence avec leurs frères à la succession des terres et de la couronne 41. Pourquoi leurs rois portoient une longue chevelure, 43. Leur majorité étoit fixée à quinze ans, 45.— Quand et pour qui firent écrire leurs lois, 428. Par qui elles furent recueillies, 430. Pourquoi elles perdirent de leur caractère, ibid. Elles sont assez judicieuses, 431. Différences essentielles entre leurs lois et les lois saliques, 434 et suiv. Comment le droit romain se conserva dans les pays de leur domaine et de celui des Goths, tandis qu'il se perdit dans celui des Francs, 437 et suiv. Conservèrent long-temps la loî de Gondebaud, 442. Comment leurs lois cessèrent d'être en usage chez les François, 447.

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- Leurs lois criminelles étoient faites sur le même plan que les lois ripuaires, 456. Voyez Ripuaires. — Epoque de l'usage du combat judiciaire chez eux 468. Leur loi permettoit aux accusés d'appeler au combat les témoins que l'on produisoit contre eux, 488.-S'établirent dans la partie orientale de la Gaule; y portèrent les mœurs

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Cadavres. Peine chez les Germains contre ceux qui les exhumoient, III, 76. CADHISJA, femme de Mahomet. Coucha avec lui n'étant âgée que de huit ans, I, 474. Calicut. Royaume de la côte de Coromandel. On y regarde comme une maxime d'état que toute religion est borne, II, 365.

Calmouks, peuples de la grande Tartarie. Se font une affaire de conscience de souffrir chez eux toutes sortes de religions, II, 365. Calomniateurs. Maux qu'ils causent lorsque le prince fait luimême la fonction de juge, I, 164. Pourquoi accusent plu

C.

de l'esprit des LOIS. T. III.

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tôt devant le prince que devant les magistrats, I, 384. CALVIN. Pourquoi il bannit la hié

rarchie de sa religion, II, 315. Calvinisme. Semble être plus conforme à ce que Jésus-Christ a dit qu'à ce que les apôtres ont fait, II, 316.

Calvinistes. Ont beaucoup dimi. nué les richesses du clergé, III, 147.

CAMBYSE. Comment profita de la superstition des Egyptiens, II, 378.

CAMOENS (le). Beautés de son poëme, II, 191.

Campagne. Il y faut moins de fètes que, dans les villes, II, 235, 236.

Canada. Les habitants de ce pays

21

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Ce

Comment la couronne de France passa dans leur maison, 197. Capitale. Celle d'un grand empire est mieux placée au nord qu'au midi de l'empire, II, 12. Capitulaires. Ce malheureux compilateur Benoît Lévite n'a-t-il pas transformé une loi visigothe en capitulaire? II, 446. que nous nommons ainsi, 448. Pourquoi il n'en fut plus question sous la troisième race, De combien d'espè449. ces il y en avoit: on négligea le corps des capitulaires, parce qu'on en avoit ajouté plusieurs aux lois des Barbares, 449. Comment on leur substitua les coutumes, 452. - Pourquoi tombèrent dans l'oubli, 472. Cappadociens. Se croyoient plus li

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bres dans l'état monarchique que dans l'état républicain, I, 289. Captifs. Le vainqueur a-t-il droit de les tuer? I, 445.

CARACALLA. Ses rescrits ne devroient

pas se trouver dans le corps des lois romaines, III, 27. Caractère. Comment celui d'une nation peut être formé par les lois, II, 330. Caravane d'Alep. Sommes immenses

qu'elle porte en Arabie, II, 179. CARLOVINGIENS. Leur avénement à la couronne fut naturel, et ne fut point une révolution, III, 160-Leur avénement à la couronne comparé avec celui des Capétiens, 162. La couronne, de leur temps, étoit tout à la fois élective et héréditaire : preuves, 163 et suiv. - Causes de la chute de cette maison, 173. — Causes principales de leur affoiblissement, 182. Perdirent la couronne, parce qu'ils se trouvèrent dépouillés de tous leurs domaines, 197. Comment la couronne passa de leur maison dans celle des Capétiens, 199. Carthage. La perte de sa vertu la conduisit à sa ruine, I, 64. Époques des différentes gradations de la corruption de cette république, 238. - Véritables motifs du refus que cette république fit d'envoyer des secours à Annibal, 271. — Étoit perdue si Annibal avoit pris Rome, ibid.

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A qui le pouvoir de juger y fut confié, 338. - Nature de son Son comcommerce, II, 102. merce; ses découvertes sur les côtes d'Afrique, 164. Ses précautions pour empêcher les Romains de négocier sur mer, 169, 170. Sa ruine augmenta la gloire de Marseille, 1 7 1. Carthaginois. Plus faciles à vaincre chez eux qu'ailleurs pour

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Causes majeures. Ce que c'étoit autrefois parmi nous: elles étoient réservées au roi, II, 499. Celibat. Comment César et Auguste entreprirent de le détruire a Rome, II, 282 et suiv.-Comment les lois romaines le proscrivirent le christianisme le rappela, 285. —- Comment et quand les lois romaines contre le célibat furent énervées, 292. -L'auteur ne blâme point celui qui a été adopté par la religion, mais celui qu'a formé le libertinage, 297. Combien il a fallu de lois pour le faire observer à de certaines gens, quand, de conseil qu'il étoit, on en fit un précepte, 317.- Pourquoi il a été plus agréable aux peuples à qui il sembloit convenir le moins, 349. Il n'est pas mauvais en lui-même, il ne l'est que dans le cas où il seroit trop étendu, ibid. - Dans quel esprit l'auteur a traité cette matière: a-t-il eu tort de blåmer celui qui a le libertinage pour principe? et at-il en cela rejeté sur la religion des désordres qu'elle déteste? III, 260.

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Cens. Comment doit être fixé, dans une démocratie, pour y conserver l'égalité morale entre les citoyens, I, 106. Quiconque n'y étoit pas inscrit, à Rome, étoit au nombre des esclaves : comment se faisoit-il qu'il y eût des citoyens qui n'y fussent pas inscrits? II, 419. Cens. Voyez Census. Censeurs. Nommoient à Rome les nouveaux sénateurs: utilité de cet usage, I, 50.- Quelles sont leurs fonctions dans une démocratie, 12. Sagesse de leur établissement à Rome, 119. Dans quels gouvernemens ils sont nécessaires, 148. Leur pou

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Censure. Qui l'exerçoit à Lacédémone, I, 112 A Rome, ibid. Sa force ou sa foiblesse dépendoit, à Rome, du plus ou du moins de corruption, 238. Epoque de son extinction totale, ibid. — Fut détruite

à Rome par la corruption des inceurs, II, 282.

Census ou Cens. Ce que c'étoit

Ce

dans les commencements de la monarchie françoise, et sur qui se levoit, III, 57 et suiv. Ce mot est d'un usage si arbitraire dans les lois barbares, que les auteurs des systèmes particuliers sur l'état ancien de notre monarchie, entre autres l'abbé Dubos, y ont trouvé tout ce qui favorisoit leurs idées, 58. qu'on appeloit ainsi dans les commencements de la monarchie étoit des droits économiques, et non pas fiscaux, 59. Etoit, indépendemment de l'abus que l'on a fait de ce mot, un droit particulier levé sur les serfs par les maîtres preuves, ibid. et suiv. Il n'y en avoit point autrefois de général dans la mo-narchie qui dérivât de la police générale des Romains; et ce n'est point de ce cens chimérique que dérivent les droits seigneuriaux: preuves, 61.

Centeniers. Etoient autrefois des officiers militaires : par qui et pourquoi furent établis, III, 66. Leurs fonctions étoient les mêmes que celles du comte el du gravion, 74. -Leur ter

ritoire n'étoit pas le même que celui des fidèles, 92, 93. Centumvirs. Quelle étoit leur compétence à Rome, I, 334. Centuries. Ce que c'étoit; à qui elles procuroient toute l'autorité, I, 325.

Cérémonies religieuses. Comment multipliées, II, 348.

Cérites (tables des). Dernière classe

du peuple romain, II, 421. Cerné. Cette côte est au milieu des voyages que fit Hannon sur les côtes occidentales d'Afrique, II, 164.

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CÉSAR. Enchérit sur la rigueur des lois portés par Sylla, I, 182. Comparé à Alexandre, 285. Fut souffert parce que, quoiqu'il eût la puissance d'un roi, il n'en affectoit point le faste, II, 56. Par une loi sage, il fit que les choses qui représentoient la monnoie devinrent monnoie comme la monnoie même, 208. Par quelle loi il multiplia les mariages, 282. La loi par laquelle il défendit de garder chez soi plus de soixante sesterces étoit sage et juste: celle de Law, qui portoit la même défense, étoit injuste et funeste, III, 5. Décrit les mœurs des Germains en quelques pages ces pages sont des volumes; on y trouve les codes des lois barbares, 30, 31. CESARS. Ne sont point auteurs des

lois qu'ils publièrent pour favc/riser la calomnie, I, 373. Cession de biens. Ne peut avoir liea dans les états despotiques;, utile dans les états modérés, I, 137.

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