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45.-Sagesse de sa constitution, 48.- Pourquoi cette republique étoit la meilleure aristocratie possible, 50,-Avoit autant de citoyens du temps de son esclavage que lors de ses succès contre les Perses, 63.-En perdant la vertu, elle perdit sa liberté sans perdre ses forces: descriptions et causes des révolutions qu'elle a essuyées, 63 et suiv. Source de ses dépenses publiques, 100.-Contratradiction dans ses lois touchant l'égalité des biens, 102.-On y pouvoit épouser sa sœur consan. guine, et non sa sœur utérine. Esprit de cette loi, 103.- Le sénat n'y étoit pas la même chose que l'aréopage, 111, 112.—Il y avoit dans cette ville un magistrat particulier pour veiller sur la conduite des femmes, 207.La victoire de Salamine corrompit cette république, 224. Causes de l'extinction de la vertu dans cette ville 226. Son ambition ne porta nul préjudice à la Grèce, parce qu'elle cherchoit non la domination, mais la prééminence sur les autres républiques, 240.-Comment on y punissoit les accusateurs qui n'avoient pas pour eux la cinquième partie des suffrages, 378,379.— Les lois y permettoient à l'accusé de se retirer avant le jugement, 379.-L'abus de vendre les débiteurs y fut aboli par Solon, 379, 380.-Comment on y avoit fixé les impôts sur les personnes, 398, 399. Pourquoi les esclaves n'y causèrent jamais de trouble, 462.-Lois justes et favorables établies par cette république en faveur des esclaves, II, 30. - La faculté de répudier y étoit respective entre le mari et la femme, I, 468. Son commerce, II, 102, 103.-Solon y

abolit la contrainte par corps: la trop grande généralité de cette loi n'étoit pas bonne, 116.—Eut l'empire de la mer; elle n'en profita pas pourquoi, 142. Son commerce fut plus borné qu'il n'auroit dû l'être, 143. Les bâtards tantôt y étoient citoyens, et tantôt ils ne l'étoient pas, 265. — Il y avoit trop de fêtes, II, 335. Raisons physiques de la maxime reçue à Athènes, par laquelle on croyoit honorer davantage les dieux en leur offrant de petits présents qu'en immolant des bœufs, II, 337, 338. Dans quel cas les enfants y étoient obligés de nourrir leurs pères tombés dans l'indigence justice et injustice de cette loi, 373. Avant Solon, aucun citoyen n'y pouvoit faire de testament comparaison des lois de cette république, à cet égard, avec celles de Rome, 412, 413. L'ostracisme y étoit une chose admirable, tandis qu'il fit mille maux à Syracuse, , III, 7. — Il y avoit une loi qui vouloit qu'on fit mourir, quand la ville étoit assiégée, tous les gens inutiles. Cette loi abominable étoit la suite d'un abominable droit des gens, 18. L'auteur a-t-il fait une faute, en disant que le plus petit nombre y fut exclus du cens fixé par Antipater, III, 295. Athéniens. Pourquoi n'augmentèrent jamais les tributs qu'ils levèrent sur les Elotes, I, 396.Pourquoi ils pouvoient s'affranchir de tout impôt, 407.-Leur humeur et leur caractère étoient à peu près semblables à celui des François, II, 60. — Quelle étoit originairement leur monnoie: ses inconvénients, 207. ATTILA. Son empire fut divisé,

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parce qu'il étoit trop grand pour une monarchie, I, 241. épousant sa fille, il fit une chose permise par les lois scythes, 388. Attique. Pourquoi la démocratie

s'y établit plutôt qu'à Lacédémone, II, 13. ATUALPA, Jnca. Traitement cruel que lui firent les Espagnols, II, 250.

Aubaine. Epoque de l'établissement de ce droit insensé : tort

qu'il fit au commerce, II, 184. AUGUSTE. Se donna bien de garde

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de détruire le luxe; il fondoit une monarchie, et dissolvoit une république, I, 197. - Quand et comment il faisoit valoir les lois faites contre l'adultère, 211. - Attacha aux écrits la peine du crime de lèse-majesté; et cette loi, acheva de porter le coup fatal à la liberté, 369. Loi tyrannique de ce prince, 372. La crainte d'être regardé comme tyran l'empêcha de se faire appeler Romulus, II, 56. Fut souffert, parce que, quoiqu'il eût la puissance d'un roi, il n'en affectoit point le faste, ibid.- Avoit indisposé les Romains par des lois trop dures; se les réconcilia en leur rendant un comédien qui avoit été chassé raisons de cette bizarrerie, 57. -Entreprend la conquête de l'Arabie, prend des villes, gagne des batailles, et perd son armée, 1 79.- Moyens qu'il employa pour multiplier les mariages, 283. Belle harangue qu'il fit aux chevaliers romains, qui lui demandoient la révocation des lois contre le célibat, 284. Comment il opposa les lois civiles aux cérémonies impures de la religion, 326.

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Fut le premier qui autorisa les fideicommis, 416.

AUGUSTIN (Saint). Se trompe en trouvant injuste la loi qui ôte aux femmes la faculté de pouvoir être instituées héritières, II, 374. Aumones. Celles qui se font dans les rues ne remplissent pas les obligations de l'état envers les pauvres : quelles sont ces obligations, II, 305.

AURENG - ZEB. Se trompoit en

croyant que s'il rendoit son état f riche il n'auroit pas besoin d'hôpitaux, II, 306.

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Auteurs. Ceux qui sont célèbres, et qui font de mauvais ouvrages, reculent prodigieusement le progrès des sciences, III, 63, Authentiques. HoDIE QUANTISCUMQUE est une loi mal entendue, II, 38 r. QUOD HODIE est con traire au principe des lois civiles, 382. Auto-da-fé. Ce que c'est: combien cette cruelle exécution est injuste et ridicule, II, 359. Autorité royale. Dans les mains d'un habile homme, s'étend ou se resserre, suivant les circonstances. Elle doit encourager, et laisser aux lois le soin de me

nacer, I, 385. AUTRICHE (la maison d'). Faux principe de sa conduite en Hongrie, I, 230. - Fortune prodigieuse de cette maison, II, 192. Pourquoi elle possède l'empire depuis si long-temps, III,

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interdit la faculté de plaider, III, 22. Avortement. Les Américaines se le procuroient pour ne pas fournir des sujets à la barbarie, II,

270.

Avoués. Menoient à la guerre les

Bachas. Pourquoi leur tête est toujours exposée, tandis que celle du dernier sujet est toujours en sûreté, I, 72. →→ Pourquoi ab solus dans leurs gouvernements, 140. Terminent les procès en faisant distribuer à leur fantaisie des coups de bâton aux plaideurs, 156. Sont moins li bres en Turquie qu'un homme qui, dans un pays où l'on suit les meilleures lois criminelles possibles, est condamné à être pendu, et doit l'être le lendemain, 350, 351. Bactriens. Alexandre abolit un usage barbare de ce peuple, I, 269.

Baillie ou garde. Quand elle a commencé à être distinguée de la tutelle, II, 48. Baillis. Quand ont commencé à être ajournés sur l'appel de leurs jugements; et quand cet usage a cessé, II, 513. Comment rendoient la justice, 538. Quand et comment leur juridiction commença à s'étendre, 540.

Ne jugeoient pas d'abord; faisoient seulement l'instruction, et prononçoient le jugement fait par les prud'hommes: quand commencèrent à juger eux-mêmes, et même seuls, ibid. - Ce n'est point par une loi qu'ils ont été créés et qu'ils ont eu le droit

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de juger, 541. L'ordonnance de 1 287, que l'on regarde comme le titre de leur création, n'en dit rien elle ordonne seulement qu'ils seront pris parmi les laîques preuves, 542.

BALBI. Pensa faire étouffer de rire le roi de Pégu, en lui apprenant qu'il n'y avait point de roi à Venise, II, 55. Baleine. La pêche de ce poisson ne rend presque jamais ce qu'elle coûte elle est cependant utile aux Hollandois, II, 107.

BALUSE. Erreur de cet auteur prou

vée et redressée, III, 124. Ban. Ce que c'étoit dans le commen

cement de la monarchie, III, 70. Banques. Sont un établissement propre aux états qui font le commerce d'économie: c'est trop en risquer les fonds que d'en établir dans une monarchie, II; - Ont avili l'or et l'argent,

III.201.

Banque de Saint-George. L'influence qu'elle donne au peuple de Gênes dans le gouvernement fait toute la prospérité de cet état, I, 40. Banquiers. En quoi consiste leur art et leur babileté, II, 226 et suiv. -Sont les seuls qui gagnent lorsqu'un état hausse ou baisse sa monnoie, 228 et suiv.-Comment

peuvent être utiles à un état, 242.

Bantam. Comment les successions y sont réglées, I, 132. Ily a dix femmes pour un homme: c'est un cas bien particulier de la polygamie, 478. On y marie les filles à treize et quatorze ans, pour prévenir leurs débauches, 486, 487.-[] y naît trop de filles pour que la propagation y puisse être proportionnée à leur nombre, 270,

271.

Barbares. Différence entre les bar

bares et les sauvages, II, 23.Les Romains ne vouloient point de commerce avec eux, 237.Pourquoi tiennent peu à leur religion, 346.

Barbares qui conquirent l'empire

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romain. Leur conduite, après la conquête des provinces romaines, doit servir de modèle aux conquérants, I, 266, 267.— C'est de ceux qui ont conquis l'empire romain et apporté l'ignorance dans l'Europe, que nous vient la meilleure espèce de gouvernement que l'homme ait pu imaginer, 314.- Ce sont eux qui ont dépeuplé la terre, 346.-Pourquoi ils embrasserent si facilement le christianisme, II, 345.- Furent appelés à l'esprit d'équité par l'esprit de liberté; faisoient les grands chemins aux dépens de ceux à qui ils étoient utiles, 395, 396.-Leurs lois n'étoient point attachées à un certain territoire: elles étoient toutes personnelles, 432.-Chaque particulier suivoit la loi de la personne à laquelle la nature l'avoit subordonné, 433. Étoient sortis de la Germanie: c'est dans leurs mœurs qu'il faut chercher les sources des lois féodales, III, 30.-Est-il vrai qu'après la conquête des Gaules ils firent

un réglement général pour établir partout la servitude de la glèbe ? 35.-Pourquoi leurs lois sont écrites en latin: pourquoi on y donne aux mots latins un sens qu'ils n'avoient pas originairement: pourquoi on y en a forgé de nouveaux, II, 514. Barons. C'est ainsi que l'on nommoit autrefois les maris nobles, II, 486.

BASILE, empereur. Bizarrerie. des punitions qu'il faisoit subir, I, 184.

Bátards. Il n'y en a point à la

Chine; pourquoi, II, 264.-Sont plus ou moins odieux, suivant les divers gouvernements, suivant que la polygamie ou le divorce sont permis ou défendus, ou autres circonstances, 265.-Leurs droits aux successions dans les différents pays sont réglés par les lois civiles ou politiques, 376. Baton. C'a été pendant quelque

temps la seule arme permise dans les duels; ensuite on a permis le choix du bâton ou des armes; enfin la qualité des combattants a décidé, II, 120.-Pourquoi encore aujourd'hui regardé comme l'instrument des outrages,

122.

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Bavarois. Quand et par qui leurs lois furent rédigées, II, 428. Simplicité de leurs lois : causes de cette simplicité, 429.—On ajoute plusieurs capitulaires à leurs lois: suites qu'eut cette opération, 449. Leurs lois criminelles étoient faites sur le même plan que les lois ripuaires, 456. Voyez Ripuaires.-Leurs lois permettoient aux accusés d'appeler au combat les témoins que l'on produisoit contre eux, 489. BAYLE. Paradoxes de cet auteur, II, 309, 316.-Est-ce un crime de dire que c'est un grand homme?

et est-on obligé de dire que c'étoit un homme abominable ?·III,

227.

Beau-fils. Pourquoi il ne peut épou

ser sa belle-mère, II, 391. Beaux-frères. Pays où il doit leur être permis d'épouser leur bellesœur, II, 392, 393. BEAUMANOIR. Son livre nous apprend que les harbares qui conquirent l'empire romain exercèrent avec modération les droits les plus barbares, II, 395.-En quel temps il vivoit, 471.-C'est chez lui qu'il faut chercher la jurisprudence du combat judiciaire, 481.Pour quelles provinces il a travaillé, 528. Son excellent ouvrage est une des sources des coutumes de France, 545. Beau-père. Pourquoi ne peut épou

ser sa belle-fille, II, 391. BELIEVRE ( le président de ). Son

discours à Louis XIII, lorsqu'on jugeoit devant ce prince le duc de La Valette, I, 163. Belle-fille. Pourquoi ne peut épouser son beau-père, II, 391. Belle-mère. Pourquoi ne peut épouser son beau-fils, 11, 391. elles-sœurs. Pays où il leur doit être permis d'épouser leur beaufrère, II, 392.

énéfices. La loi qui en cas de mort de l'un des deux contendans, adjuge le bénéfice au survivant, fait que les ecclésiastiques se battent, comme des dogues anglais, jusqu'à la mort, III, 3, 4. Bénéfices. C'est ainsi que l'on nommoit autrefois les fiefs et tout ce qui se donnoit en usufruit, III, 65. Ce que c'étoit que se recommander pour un bénéfice, 92. Bénéfices militaires. Les fiefs ne tirent point leur origine de cet établissement des Romains, III, 51. Il ne s'en trouve plus du temps de Charles-Martel; ce qui

prouve que le domaine n'étoit pas alors inaliénable, 138.

Bengale (golfe de). Comment découvert, II, 155.

BENOIT LEVITE. Bévue de ce malheureux compilateur des capitulaires, II, 446.

Besoins. Comment un état bien policé doit soulager et prévenir ceux des pauvres, II, 305. Bétes. Sont-elles gouvernées par les lois générales du mouvement, ou par une motion particulière? Quelle sorte de rapport elles ont avec Dieu; comment elles conservent leur individu, leur espèce: quelles sont leurs lois: les suivent-elles invariablemment? Leurs avantages et leurs désavantages comparés aux nôtres, I, 32. Bétis. Combien les mines d'or qui étoient la source de ce fleuve produisoient aux Romains, 11, 168.

Bien. Il est mille fois plus aisé de faire le bien que de le bien faire, II, 536.

Bien (gens de). Il est difficile que les inférieurs le soient quand la plupart des grands d'un état sont malhonnêtes gens, I, 67, 68. – Sont fort rares dans les monarchies: ce qu'il faut avoir pour l'être, 69.

Bien particulier. C'est un paralogisme de dire qu'il doit céder au bien public, II, 394. Bien public. Il n'est vrai qu'il doit l'emporter sur le bien particulier que quand il s'agit de la liberté du citoyen, et non quand il s'agit de la propriété des biens, II, 394.

Biens. Combien il y en a de sortes

parmi nous: la variété dans leurs espèces est une des sources de la multiplicité de nos lois, et de la variation dans les jugements de nos tribunaux, I, 152.—Il n'y

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