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Antilles. Nos colonies dans ces

îles sont admirables, II, 202. Antioche. Julien l'Apostat y causa

une affreuse famine, pour y avoir baissé le prix des denrées, II, 215. ANTIPATER. Forme à Athènes par sa loi sur le droit de suffrage la meilleure aristocratie qui fût possible, I, 52. Antiquaires. L'auteur se compare à celui qui alla en Egypte, jeta un coup d'œil sur les pyramides, et s'en retourna, II, 546, 547. ANTONIN. Abstraction faite des vérités révélées, est le plus grand objet qu'il y ait eu dans la nature, II, 320. Antrustions. Etymologie de ce mot, III, 64.-On nommoit ainsi, du temps de Marculfe, ce que nous nommons vassaux, ibid.-Etoient distingués des Francs par les lois

mêmes, 65. Ce que c'étoit : il paroît que c'est d'eux que l'auteur tire principalement l'origine de notre noblesse françoise, 107.— C'étoit à eux principalement que l'on donnoit autrefois les fiefs,

112,

113.

Appel. Celui que nous connoissons aujourd'hui n'étoit point en usage du temps de nos pères : ce qui en tenoit lieu, II, 491.-Pourquoi étoit autrefois regardé comme félonie, ibid. -Précautions qu'il falloit prendre pour qu'il ne fût point regardé comme félonie, 492. Devoit se faire autrefois sur-le-champ et avant de sortir du lieu où le jugement avoit été prononcé, 511. — Différentes observations sur les appels qui étoient autrefois en usage, ibid.-Quand il fut permis aux vilains d'appeler de la cour de leur seigneur, ibid. Quand on a cessé d'ajourner les seigneurs et les baillis sur les appels de leurs jugements, 513. - Origine de cette façon de prononcer sur les appels dans les parlements: La cour met l'appel au néant : La cour met l'appel et ce dont a été appelé au néant, 514. C'est l'usage des appels qui a introduit celui de la condamnation aux dépens, 517. — Leur extrême facilité a contribué à abolir l'usage constamment observé dans la monarchie, suivant lequel un juge ne jugeoit jamais seul, 539. Pourquoi Charles VII n'a pu en fixer le temps dans un bref délai, et pourquoi ce délai s'est étendu jusqu'à trente ans, III, 20. Appel de défaute de droit. Quand

cet appel a commencé d'être en usage, II, 501. Ces sortes d'appels ont souvent été des points remarquables dans notre

. En

Voyez Dé

histoire: pourquoi, 502. quel cas, contre qui il avoit lieu formalités qu'il falloit observer dans cette sorte de procédure devant qui il se relevoit, 503 et suiv.- Concouroit quelquefois avec l'appel de faux jugement, 504. Usage qui s'y observoit, 511. faute de droit. Appel de faux jugement. Ce que c'étoit contre qui on pouvoit l'interjeter précautions qu'il falloit prendre pour ne pas tomber dans la félonie contre son seigneur, ou être obligé de se battre contre tous ses pairs, II, 491 et suiv.-Formalités qui devoient s'y observer suivant les différents cas, 492.- Ne se décidoit pas toujours par le combat Judiciaire, 497.- Ne pouvoit avoir lieu contre les jugemens rendus dans la cour du roi, ou dans celle des seigneurs par les hommes de la cour du roi, 498.

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Saint Louis l'abolit dans les seigneuries de ses domaines, et en laissa subsister l'usage dans celles de ses barons, mais sans qu'il y eût de combat judiciaire, 506.

- Usage qui s'y observoit, 512. Appel de faux jugement à la cour du roi. Etoit le seul appel établi; tous les autres proscrits et punis, II, 501. Appelen jugement.Voy.Assignation. APPIUS (décemvir). Son attentat sur Virginie affermit la liberté à Rome, I, 381.

Arabes. Leur boisson avant Mahomet étoit de l'eau ; le climat l'exige, I, 432.-Leur liberté, II, 30.-Leurs richesses; d'où ils les tirent leur commerce; leur inaptitude à la guerre : comment ils deviennent conquérants, 178. Comment la religion adoucissoit chez eux les fureurs de la guerre,

327.-L'atrocité de leurs mœurs fut adoucie par la religion de Mahomet, 328, 329.-Les mariages entre parents au quatrième degré sont prohibés chez eux : ils ne tiennent cette loi que de la nature, 389, 390. Arabie. Alexandre a-t-il voulu y établir le siége de son empire? II, 150.-Son commerce étoit-il utile aux Romains? 180.-C'est le seul pays, avec ses environs, où une religion qui défend l'usage du cochon peut être bonne; raisons physiques, II, 338.

Aragon. Pourquoi on y fit des lois somptuaires dans le treizième siècle, I, 199. Le clergé y a moins acquis qu'en Castille, parce qu'il y a en Aragon quelque droit d'amortissement, II, 351, ARBOGASTE. Sa conduite avec l'em

pereur Valentinien est un exemple du génie de la nation françoise à l'égard des maires du palais, III, 131.

Arcades. Ne devoient la douceur de leurs mœurs qu'à la musique, I,

92.

ARCADIUS. Maux qu'il causa à l'empire en faisant la fonction de juge, I, 164. Ce qu'il pensoit des paroles criminelles, I, 368. Appela les petits-enfants à la suc cession de l'aïeul maternel, II, 427.

ARCADIUS et HONORIUS. Farent ty rans, parce qu'ils étoient foibles, I, 361.-Loi injuste de ces princes, 391. Areopage. Ce n'étoit pas la méme. chose que le sénat d'Athènes, I, III.-Justifié d'un jugement qui paroît trop sévère, 149. Areopagite. Puni avec justice pour avoir tué un moineau, I, 149. Argent. Funestes effets qu'il produit, I, 90.- Peut être proscrit d'une petite république: négessaire dans

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un grand état, 91. - Dans quel sens il seroit utile qu'il y en eût peu: dans quel sens il seroit utile qu'il y en eût beaucoup, II, 212. -De sa rareté relative à celle

de l'or, 217. Différents égards sous lesquels il peut être considéré: ce qui en fixe la valeur relative: dans quel cas on dit qu'il est rare: dans quel cas on dit qu'il est abondant dans un état, 218.-Il est juste qu'il produise des intérêts à celui qui le prête, 247. Voyez Monnoie. Argiens. Actes de cruauté de leur part détestés par tous les autres états de la Grèce, 1, 175. Argonautes. Etoient nommés aussi Miniares, II, 144, 145. Argos. L'ostracisme y avoit lieu, III, 6.

Ariane (1). Sa situation. Sémira

mis et Cyrus y perdent leurs armées; Alexandre, une partie de la sienne, II, 146. ARISTÉE. Donne des lois dans la Sardaigne, II, 16. Aristocratie. Ce que c'est, I, 41.

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-Les suffrages ne doivent pas s'y donner comme dans la démocratie, 45. Les suffrages doivent y être secrets, 47.—Quelles sont les lois qui en dérivent, 49 et suiv. Entre les mains de qui réside la souveraine puissance, ibid. Ceux qui y gouvernent y sont odieux combien les distinctions y sont afiligeantes: comment elle peut se rencontrer dans la démocratie: quand elle est renfermée dans le sénat comment elle peut être divisée en trois classes: autorité de chacune de ces trois classes: il est utile que le peuple y ait une certaine influence dans le gouvernement: quelle est la meilleure qui soit possible: quelle est la plus imparfaite, 45 et suiv.

Quel en est le principe, 64, 65.

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Inconvénients de ce gouvernement, ibid.—Quels crimes commis par les nobles y sont punis: quels restent impunis, ibid.Quelle est l'âme de ce gouvernement, ibid.- Comment les lois doivent se rapporter au principe de ce gouvernement, 114 et suiv. Quelles sont les principales sources des désordres qui y arrivent, 115.-Les distributions faites au peuple y sont utiles, 117.-Usage qu'on y doit faire des revenus de l'état, ibid.-Par qui les tributs y doivent être levés, ibid. Les lois y doivent être telles que les nobles soient contraints de rendre justice au peuple, 118. - Les nobles ne doivent être ni trop pauvres ni trop riches: moyen de prévenir ces deux excès, 119.-Les nobles n'y doivent point avoir de contestations, 120. Le luxe en doit être banni, 196.- De quels habitants est composée, ibid. Comment se corrompt le principe de ce gouvernement: 1° si le pouvoir des nobles devient arbitraire; 2° si les nobles deviennent héréditaires; 3° si les lois font sentir aux nobles les délices du gouvernement plus que ses périls et ses fatigues; 4° si l'état est en sûreté au dehors, 225 et suiv.-Ce n'est point un état libre par sa nature, 291.— Pourquoi les écrits satiriques y sont punis sévèrement, 369. C'est le gouvernement qui approche le plus de la monarchie: conséquences qui en résultent, II, 13.

Aristocratie héréditaire. Inconvénients de ce gouvernement, I,

225.

ARISTODÈME. Fausses précautions

son

qu'il prit pour conserver pouvoir dans Cumes, I, 276. ARISTOTE. Refuse aux artisans le droit de cité, I, 93.-Ne connoissoit pas le véritable état monarchique, 314.-Dit qu'il y a des esclaves par nature, mais ne le prouve pas,453. Sa philosophie causa tous les malheurs qui accompagnèrent la destruction du commerce, II, 186. Ses préceptes sur la propagation, 278.-Sources du vice de quelques unes de ses lois, 121. Armées. Précautions à prendre pour qu'elles ne soient pas, dans la main de la puissance exécutrice, un instrument qui écrase la liberté publique: de qui elles doivent être composées; de qui leur nombre, leur existence et leur subsistance doivent dépendre: où elles doivent habiter en temps de paix; à qui le commandement en doit appartenir, I, 310. -Étoient composées de trois classes d'hommes dans les commencements de la monarchie: comment étoient divisées, III, 70 et suiv. Comment et par qui étoient commandées sous la première race de nos rois: grades des officiers qui les commandoient, comment on les assembloit, 66, 130, 131. Etoient composées de plusieurs milices,

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riété,1, 15 1 et suiv.—Origine de la formule de ceux qui se prononcent sur les appels, II, 513.— Quand on a commencé à en faire des compilations, 531. ARRIBAS, roi d'Epire. Se trompa dans le choix des moyens qu'il employa pour tempérer le pouvoir monarchique, I, 315. Arrière-fiefs. Comment se sont formés, III, 187.-Leur établissement fit passer la couronne de la maison des Carlovingieus dans celle des Capétiens, 199. Arrière-vassaux. Étoient tenus au service militaire en conséquence de leurs fiefs, III, 66. Arrière-vasselage. Ce que c'étoit dans les commencements: comment est parvenu à l'état où nous le voyons, III, 187. ARTAXERXES. Pourquoi il fit mourir tous ses enfants, I, 133. Artisans. Ne doivent point, dans une bonne démocratie, avoir le droit de cité, 1,93.

Arts. Les Grecs, dans les temps

héroïques, élevoient au pouvoir suprême ceux qui les avoient inventės, I, 316.-C'est la vanité qui les perfectionne, II, 61.— Leurs causes et leurs effets, 132. -Dans nos états ils sont nécessaires à la population, 301, 302. As. Révolution que cette monnoie essuya à Rome dans sa valeur, III, 140. Asiatiques. D'où vient leur penchant par le crime contre nature, I, 359.-Regardent comme autant de faveurs les insultes qu'ils reçoivent de leurs princes, 388. Asie. Pourquoi les peines fiscales y sont moins sévères qu'en Europe, I, 405.—On n'y publie guère d'édits que pour le bien et le soulagement des peuples: c'est le contraire en Europe, 410. Pourquoi les derviches y sont en

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si grand nombre, 429, 430.C'est le climat qui y a introduit et qui y maintient la polygamie, 475. Il y naît beaucoup plus de filles que de garçons: la polygamie peut donc y avoir lieu, 478.-Pourquoi, dans les climats froids de ce pays, une femme peut avoir plusieurs hommes, ibid. Causes physiques du despotisme qui la désole, II, 2 et suiv. Ses différents climats comparés avec ceux de l'Europe: causes physiques de leurs différences: conséquences qui résultent de cette comparaison pour les mœurs et le gouvernement de ses différentes nations: raisonnements de l'auteur confirmés à cet égard par l'histoire : observations historiques fort curieuses, ibid.—Quel étoit autrefois son commerce: comment et par où il se faisoit, 132. Epoques et causes de sa ruine, 174.-Quand et par qui elle fut découverte; comment on y fit le commerce, 191 et suiv.

Asie mineure. Etoit pleine de pe

tits peuples, et regorgeoit d'habitants avant les Romains, II, 278, 279.

Asile. La maison d'un sujet fidèle

aux lois et au prince doit être son asile contre l'espionnage, I, 383.

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41.- Exemple célèbre des malheurs qu'entraîne ce défaut de précaution, ibid. — Pourquoi à Rome on ne pouvoit pas faire de testament ailleurs, II, 412. Assemblées de la nation chez les Francs, II, 51. Etoient fréquentes sous les deux premières races: de qui composées : quel en étoit l'objet, II, 448. Assignations. Ne pouvoient à Rome se donner dans la maison du défendeur: en France, ne peuvent pas se donner ailleurs. Ces deux lois qui sont contraires dérivent du même esprit, III, 10. Assises. Peines de ceux qui y avoient été jugés, et qui, ayant demandé de l'être une seconde fois, succomboient, II, 500.

Associations de villes. Plus nécessaires autrefois qu'aujourd'hui: pourquoi, I, 250.

Assyriens. Conjectures sur la source de leur puissance et de leurs grandes richesses, II, 132. Conjectures sur leur communication avec les parties de l'Orient et de l'Occident les plus reculées, 133. Ils épousoient leurs mères par respect pour Sémiramis, 391.

Athées. Parlent toujours de religion,

parce qu'ils la craignent, II, 341. Atheisme. Vaut-il mieux pour la société que l'idolâtrie, II, 310.

-N'est pas la même chose que la religion naturelle, puisqu'elle fournit les principes pour combattre l'athéisme, III, 238, 239. Athènes. Les étrangers que l'on y trouvoit mêlés dans les assemblées du peuple étoient punis de mort, pourquoi, I, 42.—Le bas peuple n'y demanda jamais à être élevé aux grandes dignités, quoiqu'il en eût le droit: raisons de cette retenue, 44.· -Comment le peuple y fut divisé par Solon,

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