Tablettes napolitaines |
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... mari- time , qui semble rivaliser avec la perspective terrestre , pour faire éclore dans l'âme mille idées et mille sensations nouvelles . Que vien- nent faire ici ces escadres de diverses cou- leurs ? Représenteraient - elles des ...
... mari- time , qui semble rivaliser avec la perspective terrestre , pour faire éclore dans l'âme mille idées et mille sensations nouvelles . Que vien- nent faire ici ces escadres de diverses cou- leurs ? Représenteraient - elles des ...
Page 53
... mari , c'est votre femme ; il avait ses raisons , et maniait habilement les esprits . Le succès répondit à son talent oratoire ; il fit une abondante ré- colte et reçut la rançon de beaucoup d'âmes , qui furent , sans doute , délivrées ...
... mari , c'est votre femme ; il avait ses raisons , et maniait habilement les esprits . Le succès répondit à son talent oratoire ; il fit une abondante ré- colte et reçut la rançon de beaucoup d'âmes , qui furent , sans doute , délivrées ...
Page 118
... , elle le suit des yeux et le couve en quelque sorte de ses regards . Les liaisons de son mari avec un chapelain de la cathédrale entretiennent sa sollicitude maternelle . Un matin , en se réveillant , elle ne trouve 118 ÉTRANGE COMMERCE.
... , elle le suit des yeux et le couve en quelque sorte de ses regards . Les liaisons de son mari avec un chapelain de la cathédrale entretiennent sa sollicitude maternelle . Un matin , en se réveillant , elle ne trouve 118 ÉTRANGE COMMERCE.
Page 119
... mari , tout cela fut prompt comme sa douleur ; elle tombe alors sans connais- sance , une fièvre dévorante la saisit ; dans son délire elle demande son fils , on le lui présente pâle , les traits altérés par l'horrible mutilation : ce n ...
... mari , tout cela fut prompt comme sa douleur ; elle tombe alors sans connais- sance , une fièvre dévorante la saisit ; dans son délire elle demande son fils , on le lui présente pâle , les traits altérés par l'horrible mutilation : ce n ...
Page 125
... mari d'une femme qu'il a , dit - on , séduite . Son défenseur a requis le tribunal de nom- mer des commissaires pour reconnaître le chemin , théâtre prétendu de l'assassinat . Ces commissaires ont déclaré que le chemin en question n ...
... mari d'une femme qu'il a , dit - on , séduite . Son défenseur a requis le tribunal de nom- mer des commissaires pour reconnaître le chemin , théâtre prétendu de l'assassinat . Ces commissaires ont déclaré que le chemin en question n ...
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Common terms and phrases
Abruzzes âmes du purgatoire antique Apennins beau beauté Belelli brigands cafés castrats cendres Cérès ciel cœur colonnes d'Herculanum d'Isis DELILLE dévots dieu dieux Diomède dis-je divin doigt donner Doriens édifice églises enfant espèce femme foule Galdi golfe golfe de Baies Grèce grotte de Pausilippe habitans Herculanum hommes individus j'ai j'aperçois jeune jour l'air l'église l'Énéide lieu Lucaniens main maisons de Pompéi marbre ment mer tyrrhénienne mère milieu mille mœurs montagne monumens mort murs Nævolea Naples Napolitains nature nobles oreilles palais parens passe pensée péristyle petite peuple physionomie pieds ples Pompéi porte Portici Posidonie prêtres promenant qu'un rasins regards religieux reliques Rome royaume royaume de Naples ruines de Pestum saint Salerne sang semble sent sentimens seul siècles sites soleil sortir spectacle St-Janvier St-Pierre statue Strabon Sybarites syrène Tablettes Romaines temple de Neptune terre tête tion tofana Tolède tombeaux trouve Tyche vaste Vésuve vésuvienne Virgile visage voilà volcan voluptueuses yeux
Popular passages
Page 153 - L'art plus heureux de séduire les cœurs, De cent plaisirs font un plaisir unique.
Page 175 - Chaque peuple à son tour a brillé sur la terre, Par les lois, par les arts, et surtout par la guerre ; Le temps de l'Arabie est à la fin venu.
Page 21 - II eut l'emploi qui certes n'est pas mince, Et qu'à la cour, où tout se peint en beau, Nous appelons être l'ami du prince, Mais qu'à la ville, et surtout en province, Les gens grossiers ont nommé maq Monsieur Bonneau, sur le bord de la Loire, Était seigneur d'un fort joli château.
Page 55 - L'air de mollesse, l'art de composer leurs visages, leur parure vaine, leur démarche languissante, leurs regards qui semblaient chercher ceux des hommes, leur jalousie entre elles pour allumer de grandes passions, en un mot, tout ce que je voyais dans ces femmes me semblait vil et méprisable : à force de vouloir plaire, elles me dégoûtaient. On me conduisit au temple de la déesse : elle en a plusieurs dans cette île; car elle est particulièrement adorée à Cythère, à Idalie et à Paphos.
Page 3 - W') ces campagnes fécondes Que le Clain trop souvent engloutit sous ses ondes; Tels les champs du Vésuve , et ces heureux vallons Dont la riche Capoue admire les moissons. Apprenons maintenant par quelle épreuve sûre On peut des sols divers distinguer la nature.
Page 121 - On l'appelle Chicane; et ce monstre odieux Jamais pour l'équité n'eut d'oreilles ni d'yeux. La Disette au teint blême, et la triste Famine, Les Chagrins dévorants, et l'infâme Ruine, Enfants infortunés de ses raffinements, Troublent l'air d'alentour de longs gémissements.
Page 7 - Ebranle au loin la rive en son noir fondement : Inarime en frémit, et du géant Typhée Presse d'un nouveau poids la poitrine étouffée; L'air en tremble, la mer craint tm second chaos, Et de son vieux limon noircit au loin les flots.
Page 121 - Normands à midi fréquenté. Là, sur des tas poudreux de sacs et de pratique, Hurle, tous les matins, une sibylle étique : On l'appelle Chicane; et ce monstre odieux Jamais pour l'équité n'eut d'oreilles ni d'yeux.
Page 105 - Un jour le laboureur, dans ces mêmes sillons Où dorment les débris de tant de bataillons, Heurtant avec le soc leur antique dépouille, Trouvera, plein d'effroi, des dards rongés de rouille, Verra de vieux tombeaux sous ses pas s'écrouler, Et des soldats romains les ossements rouler.
Page 168 - Permettez qu'un mortel, de vos rives funèbres Trouble le long silence et les vastes ténèbres, Et sonde dans ses vers., noblement indiscrets, L'abîme impénétrable où dorment vos secrets. Tous les deux s'avançant dans ces tristes royaumes Habités par le vide, et peuplés de fantômes...