Tablettes napolitaines |
From inside the book
Results 1-5 of 39
Page i
... j'ai dit dans l'avant - propos de la 1re édition de cet ouvrage . C'est que les Tablettes Napolitaines doivent être considérées comme le complé- ment des Tablettes Romaines . Toutes les deux réunies présentent sur les mœurs de l'Italie ...
... j'ai dit dans l'avant - propos de la 1re édition de cet ouvrage . C'est que les Tablettes Napolitaines doivent être considérées comme le complé- ment des Tablettes Romaines . Toutes les deux réunies présentent sur les mœurs de l'Italie ...
Page iii
... j'ai dit et prouvé dans ces Tablettes que Romain actuel , comparé au Napolitain , semble un esprit - fort . le Ce qui donne encore une importance di- dactique aux mœurs napolitaines , c'est que l'on y trouve la fusion des mœurs grecques ...
... j'ai dit et prouvé dans ces Tablettes que Romain actuel , comparé au Napolitain , semble un esprit - fort . le Ce qui donne encore une importance di- dactique aux mœurs napolitaines , c'est que l'on y trouve la fusion des mœurs grecques ...
Page 23
... les ailes d'un ange , et dès que j'ai reconnu madame la comtesse Fal .. , ou madame la marquise Hor ... , ou toute autre , j'écris un petit billet à la délinquante , - T --- et je demande le prix de ma discrétion MADONNA , PULICINELLO . 23.
... les ailes d'un ange , et dès que j'ai reconnu madame la comtesse Fal .. , ou madame la marquise Hor ... , ou toute autre , j'écris un petit billet à la délinquante , - T --- et je demande le prix de ma discrétion MADONNA , PULICINELLO . 23.
Page 27
... a condamné la Sainte- Vierge à présider à tous les actes de sa vie . Sous son portrait brûlent des lampes dont l'huile empeste l'atmosphère . J'ai vu des femmes tremper leurs doigts dans cette sainte MADONA , PULICINELLO . 27.
... a condamné la Sainte- Vierge à présider à tous les actes de sa vie . Sous son portrait brûlent des lampes dont l'huile empeste l'atmosphère . J'ai vu des femmes tremper leurs doigts dans cette sainte MADONA , PULICINELLO . 27.
Page 28
Joseph Hippolyte de Santo Domingo. J'ai vu des femmes tremper leurs doigts dans cette sainte - ampoule comme dans l'eau bénite . Comment Rome , qui a déployé un génie si fécond , si inventif dans le culte des images , s'est - elle laissé ...
Joseph Hippolyte de Santo Domingo. J'ai vu des femmes tremper leurs doigts dans cette sainte - ampoule comme dans l'eau bénite . Comment Rome , qui a déployé un génie si fécond , si inventif dans le culte des images , s'est - elle laissé ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Abruzzes âmes du purgatoire antique Apennins beau beauté Belelli brigands cafés castrats cendres Cérès ciel cœur colonnes d'Herculanum d'Isis DELILLE dévots dieu dieux Diomède dis-je divin doigt donner Doriens édifice églises enfant espèce femme foule Galdi golfe golfe de Baies Grèce grotte de Pausilippe habitans Herculanum hommes individus j'ai j'aperçois jeune jour l'air l'église l'Énéide lieu Lucaniens main maisons de Pompéi marbre ment mer tyrrhénienne mère milieu mille mœurs montagne monumens mort murs Nævolea Naples Napolitains nature nobles oreilles palais parens passe pensée péristyle petite peuple physionomie pieds ples Pompéi porte Portici Posidonie prêtres promenant qu'un rasins regards religieux reliques Rome royaume royaume de Naples ruines de Pestum saint Salerne sang semble sent sentimens seul siècles sites soleil sortir spectacle St-Janvier St-Pierre statue Strabon Sybarites syrène Tablettes Romaines temple de Neptune terre tête tion tofana Tolède tombeaux trouve Tyche vaste Vésuve vésuvienne Virgile visage voilà volcan voluptueuses yeux
Popular passages
Page 153 - L'art plus heureux de séduire les cœurs, De cent plaisirs font un plaisir unique.
Page 175 - Chaque peuple à son tour a brillé sur la terre, Par les lois, par les arts, et surtout par la guerre ; Le temps de l'Arabie est à la fin venu.
Page 21 - II eut l'emploi qui certes n'est pas mince, Et qu'à la cour, où tout se peint en beau, Nous appelons être l'ami du prince, Mais qu'à la ville, et surtout en province, Les gens grossiers ont nommé maq Monsieur Bonneau, sur le bord de la Loire, Était seigneur d'un fort joli château.
Page 55 - L'air de mollesse, l'art de composer leurs visages, leur parure vaine, leur démarche languissante, leurs regards qui semblaient chercher ceux des hommes, leur jalousie entre elles pour allumer de grandes passions, en un mot, tout ce que je voyais dans ces femmes me semblait vil et méprisable : à force de vouloir plaire, elles me dégoûtaient. On me conduisit au temple de la déesse : elle en a plusieurs dans cette île; car elle est particulièrement adorée à Cythère, à Idalie et à Paphos.
Page 3 - W') ces campagnes fécondes Que le Clain trop souvent engloutit sous ses ondes; Tels les champs du Vésuve , et ces heureux vallons Dont la riche Capoue admire les moissons. Apprenons maintenant par quelle épreuve sûre On peut des sols divers distinguer la nature.
Page 121 - On l'appelle Chicane; et ce monstre odieux Jamais pour l'équité n'eut d'oreilles ni d'yeux. La Disette au teint blême, et la triste Famine, Les Chagrins dévorants, et l'infâme Ruine, Enfants infortunés de ses raffinements, Troublent l'air d'alentour de longs gémissements.
Page 7 - Ebranle au loin la rive en son noir fondement : Inarime en frémit, et du géant Typhée Presse d'un nouveau poids la poitrine étouffée; L'air en tremble, la mer craint tm second chaos, Et de son vieux limon noircit au loin les flots.
Page 121 - Normands à midi fréquenté. Là, sur des tas poudreux de sacs et de pratique, Hurle, tous les matins, une sibylle étique : On l'appelle Chicane; et ce monstre odieux Jamais pour l'équité n'eut d'oreilles ni d'yeux.
Page 105 - Un jour le laboureur, dans ces mêmes sillons Où dorment les débris de tant de bataillons, Heurtant avec le soc leur antique dépouille, Trouvera, plein d'effroi, des dards rongés de rouille, Verra de vieux tombeaux sous ses pas s'écrouler, Et des soldats romains les ossements rouler.
Page 168 - Permettez qu'un mortel, de vos rives funèbres Trouble le long silence et les vastes ténèbres, Et sonde dans ses vers., noblement indiscrets, L'abîme impénétrable où dorment vos secrets. Tous les deux s'avançant dans ces tristes royaumes Habités par le vide, et peuplés de fantômes...