Revue philosophique de la France et de l'étranger, Volume 24Presses universitaires de France, 1887 - Philosophy |
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affirmation animaux Aristote c'est-à-dire caractère cause cellules cérébrale cerveau chlorophylle chose chromatophores cils cils vibratiles complète conception conditions connaissance conscience conséquent considérable corps crime criminel critique croyance d'autres Descartes déterminer développement différentes dire doctrine document effet éléments état étude excitations expériences extérieur Félida femme fétichisme flagellum Fonsegrive forme générale homme humaine idées Infusoires l'amour l'auteur l'esprit l'état l'évolution l'histoire l'homme l'idée l'observation libre arbitre logique loi de Weber lois malade matériel mécanisme Mélissos ment mentale métaphysique méthode Micro-organismes monde monisme morale moteurs mouvements muscles musculaire nature nerveux normal noyau objet observations organes Paramécies Parménide Pascal passe pensée perception phénomènes philosophie Philotès physiologique physique positive positivisme première principe produit protoplasma Protozoaires pseudopodes psychique psychologie qu'un question raison rapport reste rien s'est science scientifique sens sensation sentiment serait seulement sexuelle simple sociale société sorte souvent spermatozoïdes spiritualiste substance sujet système Taine tendance théorie thèse tion trouve Volvox vrai Wundt zoospores
Popular passages
Page 340 - Cette immunité est consacrée par l'article 64 du Code pénal : « II n'ya ni crime ni délit lorsque le prévenu était en état de démence au temps de l'action, ou lorsqu'il a été contraint par une force à laquelle il n'a pu résister.
Page 371 - Il ne faut point mener les hommes par les voies extrêmes : on doit être ménager des moyens que la nature nous donne pour les conduire. Qu'on examine la cause de tous les relâchements, on verra qu'elle vient de l'impunité des crimes , et non pas de la modération des peines.
Page 371 - On est responsable non seulement du dommage que l'on cause par son propre fait, mais encore de celui qui est causé par le fait des personnes dont on doit répondre, ou des choses que l'on a sous sa garde.
Page 253 - Qui croiroit que ce châtiment d'enfant , reçu à huit ans par la main d'une fille de trente , a décidé de mes goûts , de mes désirs , de mes passions, de moi pour le reste de ma vie...
Page 147 - ... qu'il ya telle liaison entre notre âme et notre corps , que lorsque nous avons une fois joint quelque action corporelle avec quelque pensée , l'une des deux ne se présente point à nous par après que l'autre ne s'y présente aussi...
Page 256 - J'allais chercher des allées sombres, des réduits cachés, où je pusse m'exposer de loin aux personnes du sexe dans l'état où j'aurais voulu pouvoir être auprès d'elles. Ce qu'elles voyaient n'était pas l'objet obscène, je n'y songeais même pas; c'était l'objet ridicule.
Page 619 - De sorte que toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement...
Page 392 - L'admiration est une subite surprise de l'âme, qui fait qu'elle se porte à considérer avec attention les objets qui lui semblent rares et extraordinaires.
Page 255 - ... le sang, plus j'avais l'air d'un amant transi. On conçoit que cette manière de faire l'amour n'amène pas des progrès bien rapides, et n'est pas fort dangereuse à la vertu de celles qui en sont l'objet. J'ai donc fort peu possédé, mais je n'ai pas laissé de jouir beaucoup à ma manière, c'est-à-dire par l'imagination. Voilà comment mes sens, d'accord avec...
Page 147 - Et l'odeur des roses peut avoir causé un grand mal de tête à un enfant lorsqu'il était encore au berceau, ou bien un chat le peut avoir fort épouvanté sans que personne y ait pris garde ni qu'il en ait eu après aucune mémoire, bien que l'idée de l'aversion qu'il avait alors pour ces roses ou pour ce chat demeure imprimée en son cerveau jusques à la fin de sa vie.